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Show s altérations plllegma_ c'est dans un bien plus :ndance à occuper (les econdaires réside-t-elle .‘ de vastes collections ncret, ce qui s'observe ne aussi dans quelques êpôt fibreux accidentel. l'ulcération, ce qui est :- et le système osseux. MALADIES nus BRONCHES. 691 parativementà la population tout entière d'un pays. Les seuls éléments (1, une bonne 0 b s ervation ‘ nous que a été un travail ayons trouvés ‘dans ce genre . inédit que M. le docteur Marc d'Espine (de Genève) a bien voulu mettre a notre disposition, travail qui détermine l'âge difié1‘e ntiel des tuberculeux ar ra ( ' toute la population du canton de Genève. Il est vrai que ces observ ations ont été lutûtpf '! Pp0r la mortalité génevoise; mais comme la phtliisié n'est pas une malad ie de longue duréb et …lessa sur durée& moyenne est, pendant l'enfance, au-dessous d'un an, et d'un an et demi chez l'addlte ((WL les cas très chroniques étant plutôt l'exception), toutes les notes de M. Marc d'Espi ne sur l'âae e t la mortalité sont applicables au début de la maladie, en faisant la légè re défalcation qui correspond 0 à la durée moyenne. Cette statistique porte sur 375 individus morts de la phthisie pulmonaire pendant les années 1838 et 1839. itiers d'une membrane Dans les tableaux de mortalité publiés ultérieurement par le même auteur (1), nous avons, à peu de _) plus abondante. Les chose pres, le même résultat que celui des années indiquées; nous n'ajouterons plus tard que sommairement quelques-uns des principaux chiffres pour les années suivantes. Int que ceux des autres 1 les reins, dans l'inté- l‘Illel'. de l'atteinte générale rétion à noter. …e la diathèse phlegmaelle soit excitée parle Dans le canton de Zurich, la mortalité par phthisie pulmonaire est indiquée, d'après les relevés faits dans le Compte rendu du conseil de santé, analysé par un de mes élèves, M. le docteur Weller (2), de près de 10 pour 100, rapport évidemment inférieur aux décès totaux par tuberculisation générale, d'après la grande fréquence que nous connaissons à cette maladie dans ce pays. Dans les années 1840, 1848, 1849, 1850 et 1851, le nombre total des décès tuberculeux a été de 2711, qui offrent la répartition suivante, selon l'âge; nous mettons en regard de ce relevé le tableau du docteur Marc d'Espine, et nous y ajoutons le tableau de nos analyses, portant sur 104 de nos observations: rames devient rarement 11011TALITÈ GENEVOIs'E. MES onsunvni0N5. )IORTAI.ITÉ zumcnmsu. ant une tendance bien Ati-dessous de 5 ans. 40 Mi. Ati-dessous de 10 ans . De 5 à 10 ans. . . 21 20 De 10 a 20 ans . . . 257 10 à 15 ans. . . 23 5 20 à 30 ans. . . . 603 MS 15 a 20 ans. . . 33 12 30 à 110 ans. . . . 20 a 25 ans. . . 58 28 40 a 50 ans. . . . 361 25 a 30 ans. . . 116 20 50 à 60 ans. . . . 338 tc, dans le larynx, dans contre enfin quelquefois et le tissu adipeux : le tout où il existe à l'état :xceptionnel, cet organe 30 à 35 ans. . . 0.5 21 60 à 70 ans. . . . 350 35 51 W ans. . . 30 9 110 à 55 ans. . . 25 14 70 a 80 ans. . . . 80 à 90 ans. . . . 98 7 45 a 50 ans. . . 12 12 -- 50 à 60 ans. . . 18 0 2711 60 a 70 ans. . . 14 2 55 cas rares, la substance 70 a 80 ans. . . i matière grasse tendà toutes les membranes es .e matière, des troubl sont .ége. Ces troubles tion ultiplicité et l'irradia eux et es dépôts tubercul nutrition a digestion. La filtration -cul subit une in séreuse. ion d'cxbalation pulmos les tubercules e différeni‘ la fréquenc llis, les uns nt été recuei leur valeur ux d'adultes, qui ava ieut 35 recherches ue âge, com- 249 [: 1 375 -10_lt' mais Les tubercules pulmonaires sont donc fréquents pendant tout le cours de la vie humaine, avec ans, 10 avant avec des variations qui, partout, offrent une fréquence plus grande pour l'enfance et 20, moyenne absolue diminution entre 10 et 15, proportion de nouveau croissante entre 15 30 et 35, et proportion plus entre 20 et 30, toujours grande fréquence entre 30 et 40, surtout ‘entre 40 ans, et surtout après 45, forte qu'aux divers âges avant 20 ans. Le nombre est décroissant après dans la vieillesse avancée. mais il est encore co nsidérable jusqu'à 70 ans, pour ne devenir rare que sur la mortalité génevoise pendant Si nous ajoutons, pour l'âge des tubercule ux, l'analyse des tableaux de 1055 en tout, dont nous allons les années 1842, 1843, 1844 et 1845, nous arrivons au chilfre synoptique : réduire les proportions par rapport au chiffre de 1000. Voici ce tableau DC 5 ans, 98 tuberculeux : 0,093 pour 1000. -- : 0,031 -- 5 il 10 ans, -- 0,037 = - 10 a 15 ans, 1 ii 1) a 70 ans, - 20 a 25 ans, ‘25 a 30 ans, 30 a 155 ans, - - -- : 0,084 -- : 0,‘1ù‘2 - :: 0,120 : 0,111 -- 0.106 ‘ p iur 1000. De 215 il lit) ans, 98 tuberculeux : - 0,004 : -- !10 a !15 ans, -- 0.000 : - ans, 45 a 50 50 it 00 ans, 60 a 70 ans, 70 a 80 ans, - : 0,005 - -- : 0,050 -- -- : 0.000 -'- - t. .‘xÀ.\\ I, p. al.. , t. .\_\.\\ Ill, p. _bJ. (1) .lmmlrs d'hygiène et de médeczuc legale, Zurich, 1854. @) l)‘citrucgc ;ur .5'tzdt'sti/f «le: Lungeu/r;'un/rlæi/wiï. leux à Chfl(l -Lclln*k'\'-l ‘.... c.--. .,»3 *ÂÂÂÂAnA régions. C'est ainsi que .tomac, offre plutôt des |