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Show ANATOMIE PATIIOLOGIQUE SPÉCIALE. 660 maladie este d'accidents graves du côté état de santé satisfaisant, n'ayant plusjamais présenté, depuis cette époque, une fois che des voies respiratoires. sujets atteints Parmi les altérations non gangréneuses qui se trouve nt dans nos analyses chez des tout au plus de gangrène pulmonaire, il y avait des lésions variées et dont le caractère commun est d'une hydroc frappé du d'avoir prédisposé, par la débilitalion, au développement de la gangrène. Nous avons été fait que, dans cinq de nos observations, les caillots du cœur, décrits avec soin, étaient fermes, décolorés, avec peu de sang mou et noir. Nous avons trouvé deux fois le cœur atrophié, une fois petit et mou, une autre fois avec dilatation et amincissement de ces cavités; trois fois il existaitdes traces de péricardite, dont une fois avec adhérence. Chez un malade, il existait de l'œdème sous-muqueux du larynx, avec ulcère de cet organe. Quatre malades avaient des tubercules pulmonaires récents; une de nos malades deux fois un iléo-Cæcale . €th‘ême, un pourrions aj survenue 001 surtout érup maladie; vie Voici les ma était atteinte de ramollissement cérébral; chez une autre, le foie était le siège d'une cirrhose avancée. Chez deux malades, l'estomac et l'intestin étaient le siège d'un ramollissement, une fois accompagné Variol< d'un état mamelonné; chez un malade il existait une pyélite suppurée. D'après MM. Rilliet et Barthez, Scarla il paraît que les phlegmasies gastro-intestinales et les tubercules pulmonaires coïncident beaucoup plus souvent avec la gangrène pulmonaire chez les enfants que chez l'adulte. Ils ont observé ces deux complications dans plus de la moitié des cas. Entéri Tuben Si nous jetons un coup d'oeil sur les circonstances dans lesquelles la gangrène pulmonaire est survenue, nous ne trouvons pas des proportions d'une grande valeur par rapport au sexe. Dans nos 21 faits, Nous vent Bouge gcol gangrène pu 8 se rapportent à des hommes, 13 à des femmes et 3 à des enfants dont le sexe n'est pas indiqué. frappé de H Nous avons noté l'âge dans 19 cas, et nous avons trouvé qu'aucun n'en était exempt, depuis l'enfance de la bouch jusqu'à la vieillesse; toutefois la pr0portion d'un tiers à peu près, passé cinquante-cinq ans, indiquerait une plus forte disposition dans la vieillesse qu'aux autres âges. Nous avons cependant vu, d'après les relevés de MM. Rilliet et Barthez, que l'enfance était assez fortement atteinte de gangrène pulmonaire; ils l'ont plus souvent rencontrée chez les garçons que chez les filles. Quant à l'âge, le tableau ne montre pas de grandes différences pour les diverses époques de l'enfance, depuis l'âge de deux ans et demi jusqu'à quinze. Voici les deux tableaux, qui ne permettent guère de comparaison, qui se complètent mutuellement, et démontrent une fois de plus le fait souvent signalé des traits de ressemblance qui existent occasion d'c Même po dont on ne < phthisie pul signes phys solides de ga ne constitu« entre les maladies de l'enfance et celles de la vieillesse : comme nou LEBERT. De 1 a …LLlET ET n.mrnaz. cette odeur 5 ans ........... 1 Age sur 18 malades. . 2 ans et6 mois. . 1 5 à 10 ans ........... 1 -- 3 ans ....... 2 du tissu pul 10a15ans ........... 1 --- hans....... 2 fétides, fria 20 à 25 ans ........... 3 - 5 ans ....... 1 reuse, qu'or 252130ans...………… 1 -- Sans ....... ? 30à35ans ........... 1 - Sam.-....- 2 35àb0ans ........... 3 .- 9ans....... 2 noiràlre, sa AO 21 A5 aus ........... 1 _ 10 ans ....... 2 quel que so 115 à 50 ans ........... 1 - 13 ans ....... 1 55 à 60 ans ............ à - 15 ans. ‘! 70 a 75 ans ........... 2 peut montre chez ces me TOTAL. . . Î . . . . . . -- l ' TOTAL. . . 16 uoncé. Des ont été obse travers l'un La gaugrène pulmonaire n'est souvent pas une maladie primitive, en ce sens que, dans beaucoup de cas, d'autres maladies plus ou moins graves l'ont précédée. Sur nos 24 cas, quatorze fois les poumons étaient Dans un de et plus tard malades, mais sept fois il nous était difficile de déterminer si l'affection chronique de la poitrine, la toux, de dehors e la dyspnée, les crachemeuts de samr… etc., tenaient à une bronchite chronique ou à une apoplexie pul- Nous por monaire antérieure à la gangrène, ou si nous avions affaire à une gangrène pulmonaire il marche terminant p insidieuse et lente. Le fait est que ces sujets n'étaient pas tuberculeux. Une seule fois une pneumonie d'après nos franche avait précédé la gangrène; quatre fois elle est survenue dans le courant d'une tuberculisation dix-huit mon pulmonaire, compliquée deux fois de tubercules des intestins. Dans le cas de M. Pigné, il existait une Observé Cell obstruction des artères bronchiques; dans un de nos cas, il y avait des abcès pulmonaires avec pyohémie générale. Des affections cérébrales ont précédé cinq fois le développement de la gangrène, deux fois la les malades maladies clu ANAT. !‘ |