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Show ' des cartilages. D'autres fois les bords sont irréguliers, déchirés, non verruqueux. Au bout d'un certain temps la muqueuse s'hypertrophie même un peu plus loin que les bords. Les parties souples, les plis ; elles sont plutôtétendues que deviennent difformes, rigides; de la des tiraillements des cartilagcs aryténoïdes, del'épiglotte, etc., point estruction est la plus fréquente. queuse. Au-dessous des cordes sur lequel Stokes a surtout insisté. . Le fond de l'ulcère est d'abord lisse, plus tard irrégulier, et il devient infundibuliforme, à mesure que les bords deviennent plus saillants. La sécrétion de l'ulcère ne s'éloigne pas d'abord beaucoup du caractère muco-purulent du catarrhe; mais plus tard ce liquide devient trouble, jaune, épais ou grisàtrc, ».t folliculaires, de même qu'elle iques. sont la cause la plus fréquente fois altération dans la cohésion et formation exagérée de ses cellules. Les épithéliums vibraliles dispa- raissent plus facilement que les épilhéliums pavimenteux des cordes vocales. Plus tard on trouve dans u d'origine typhoïde est bien le liquide sécrété une multitude de corpuscules de pus, et parfois aussi des cristaux margariques, des phosphates et des masses de vibrions. Les champignons du muguet (|), que l'on y trouve quelquefois, n'y existent jamais en quantité notable et n'ont aucune importance. Enfin, il y a toujours dans ce liquide fort '0is causes n'a agi, sont une assez notable quantité de mucus. tomberait également dans une élevé ;ale. Déjà M. Louis s'est cordes cères de l'épiglotte, des euse, et e l a diathèse tubercul en ce sens t à fait indirect e, ment les mer en irritant locale à fond. Mais »ulait la discuter juste dans ses t si exact e t si Dans le catarrhe chronique on observe aussi une espèce de réparation de l‘eprthelwm autour des ulcères et presque toujours du pavimenteux même là où, à l'état normal, CClUH" €"… "b……" 0" cylindrique. Toutefois ces cellules sont plus foncées, plus enroulées, moins coherenles entre elles, le noyau est plus distinct, et quelquefois on y trouve des traces d'une division endogene. Leur CUlllellu granuleux, quelquefois abondant, n'est point de nature graisseuse; on trouve des cellules à la a peu de petites surface de_l'ulcère. Le tissu de la membrane muqueuse ambiante sinfiltre peu changement, toutefois. dans sa cohesmn; cell"leS, les fibres disparaissent presque; on observe peu de coloration pâle. Nous regrettons là ou ces infiltrations cellulaires sontabondantes, la muqueuse prend une douteuse dela therculeuse non e l'on a pris lcères naissants qu contenu nes par leur e [] voiede Paris, 1853. p. nes. uégétauæparasites sur l'homme et les animaux, … v°yez Cl). Robin, Histoire naturelle des ._…A.»q ou mêlé de sang et même de parcelles nécrosées des tissus; mais une partie de ce liquide peut bien provenir quelquefois des ulcères pulmonaires. » la à avait y il qu'ensuite et détaché, d'abord était L'étude microscopique a démontré que l'épithélium .f,',.n!, ]S dangereuses et plus latentes .".. partie le fond de l'ulcère. On les observe de préférence lorsque les ulcérations proviennent d'une carie r !. "- l'ulcération arrondie on irrégulière. Plus tard les bords sont plus durs, plus saillants, froncés et garnis t ÆAÂÂÏÊÊCÆAA. rongeur peu considérable sur la muqueuse ambiante, quelquefois elle est prononcée seulement tout autour de l'ulcère, de même que c'est aussi autour de ses bords que la muqueuse est de préférence tuméfiée, ramollie ou mamelonnée. Au commencement, il est vrai, les bords sont plutôt lisses, et ort, on comprend qu'elle ait résistance plus grande du tissu s vocales inférieures forme une elquefois à la propagation de .' l‘,". ‘l" '.'l','.‘ t'". vit-r.". «. . tantôt un catarrhe compliqué d'une affection tuberculeuse ou syphilitique. Dans ce cas, on trouve une de petits prolongements papillaires ou même d'excroissances verruqueuses, végétations qui masquent en te couche est détruite, surtout AA,,_ 1° Ulcère catarrhal simple. - Cet ulcère a pour point de départ tantôt une affection catarrhale simple, plus dangereuse que celle qui ms aphtheuses affectent plutôt ' ‘flAA Àaaa.fl…x:s Hastings, sous le nom de clergyman's sara-throat. Il est vrai que, dans ce cas, il existe quelquefois aussi une tuberculisation pulmonaire; mais ce fait est loin d'être constant. Nous allons suivre M. Rheiner à présent dans la description des diverses ulcérations du larynx, en y ajoutant çà et là quelques re- marques pour compléter le résultat de ses recherches. ' "N‘A-«là -'-\Af nrface des carlilages. Lorsque :tion à la partie postérieure du de Jansen; suivant le premier irement. CependantM. Rheiner , il a trouvé plusieurs fois les … ulcère triangulaire, à bords nelle le cartilage était dénudé rencontrée dans ces circon- plus profondes, ulcérations analogues à celles qu'on a observées dans le pharynx, et que l'on rencontre surtout chez les personnes qui fatiguent beaucoup leur voix : cette affection est désignée, d'après Û'}f_\A postérieure dela bouche et du glotle, qu'elle peut détruire en rut aussi s‘étendre promptement Green, que si, dans la formation des ulcérations étendues du larynx dans la phthisie laryngée proprement dite, l'affection tuberculeuse prédominait, la syphilis ne venant qu'en seconde ligne; d'un autre côté, cependant, on rencontrait quelquefois des ulcérations folliculaires dans le larynx sans autres lésions *-‘x a face interne de s ventricule. follwulnires ont le plus souvent est ] influence du frottement sur l'origine de ces ulcères comme l'indique le siége symétrique sur les faces opposée_ s en contact., Une fois l'auteur y a trouvé un petit abcès circonscrit entre le cartilage et la muqueuse; . _il a rencontre _ _ aussi des petits ulcères à la fac e inférieure de l'épiglotte, exactement aux endrmts" qu1, lors' de laberssement de ce cartil age, se trouvaient correspondre aux pointes des cartilages arytéumdes. 0rdma1rement les ulcérations du larynx ét aient plus avancées à droite qu'à gauche. C'est avec beaucoup de justesse que M. Rheiner insiste sur le fait déjà indiqué par Hastings et Horace «A___ gane. M. Louis indique comme es vocales elle s-mêmes, surtout 595 ,. métamorphose graisseuse, et plus tard ulcérées. Un fait bien intéressant, sur lequel M. Rheiner insiste, ;: nt par (les } profondeur jusqu'aux earli- MALADIES un LABYNX ET DE LA ‘rnxcnr‘;u. , L‘a/\ A«ÂÂÂVÂA.AQAA/‘" itférenles les unes des au perforation du larynx se faiieil: 1rtie supérieu re de l'œsophai _ Cependant c'est de la meuf - vnges; ils commen ce |