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Show MALADIES DES VAISSEAUX SANGUlNS ET LYNPHATIQUIÊS. ane d'enveloppe noyaux. D'après analogie avec le nt du sucre. On 55| àl'occa5ion de l'hypertrophie des glandes en général et des glandes lymphatiques en particul ier, dans la partie générale de cet ouvrage. D'après Virchow (1), la dégénération amyloïde des glandes lymphatiques s'accompagne d'un engor- été de chirurgie. . gement hypertro phique qui se r encontre surtoutchez des individus cachectiques, parfois chez des scrofu- leur. Les follicules de la substance corticale deviennent presque transparents et ressemb lent à des grains de sagou; puis l'altération s'étend plus profondément. On y trouve des masses fibreuses concentriques qui renferment des corpuscules amyloïdes provenant probablement des cellules glandul aires dégénérées, dont la COl0Fallûn bleue 5 Obllelll par la réaction comme au moyen du contact successifde la préparation rait méconnaître microscopique avec de l'eau iodée et de l'acide sulfurique. , forte encore de alyses faites par phe, opinion que 1ctiou habituelle. quelques [cas, et @ ". - De la tuberculisation des glandes lylllpllfltillli(‘5- amont, la marche Le tubercule a une prédilection marquée pour les glandes lymphatiques des diverses régions du corps, les, la première, soit pour celles qui se trouvent à la surface, au cou ou sur les membres, par exemple, soit pour les glandes lymphorrhagies, bronchiques, mésentériques, etc. Au début, l'exsudation tuberculeuse se fait au milieu d'un parenchyme )he péuts'écouler glandulaire parfaitement sain ou légèrement hypérémié, non-seulement sur un ou plusieurs points de la même glande, mais aussi dans un grand nombre de glandes àla fois. Dans le principe on trouve tes au-dessous. ll :as de Fetzer, la tantôt des granulations tuberculeuses miliaires jaunes, tantôt des granulations grises, demi-transerrentes. ) Chez le malade a Desjardins, les ile-huit, et l'on a enlein, les pertes Comme ailleurs, l'exsudation gélatiniforme peut ici accompagner l'excrétion des éléments du tubercule; 500 grammes de .les amènent avec cif1er, sans arriver jamais à la suppuration. Tant dans les tubercules gélatiniformes que dans les tuber- la digestion, etc. es devenues fré- mais bientôt la coloration jaune et la consistance ferme prédominent partout, et l'on trouve un certain nombre de tubercules du volume d'une lentille et d'un pois, isolés, rapprochés ou confluents, au milieu d'un tissu glandulaire peu altéré. Dans cet état, le tubercule peut se ramollir, ou se sécher et se cal- cules jaunes caséeux, nous avons trouvé constamment des éléments cellulaires incomplets que nous avons décrits depuis longtemps comme corpuscules des tubercules, et qui sont partout les mêmes. La substance interglobulaiœ granuleuse, assez cohérente au début, se liquéfie plus tard par le ramollissement. Nous avons étudié avec un soin particulier les rapports qui existent entre les cellules et les noyaux :spèce de pléthore du parenchyme glandulaire et les corpuscules des tubercules, et nous n'avons jamais rien observé qui Malheureusement ressemblât à une transformation des unes dans les autres; il ya plus, si l'on voulait admettre cette hypo- qu'on puisse déjà le rare, cependant : pays chauds, du gne et en Suisse. .es et ':2 femmes. t convenable pour l. Beau, qui en a s, pour les varices :st à l'expérience nt, on s'exposerait n traitement comrd'hui, doit con- orsque les malades a action analogue lonnés sur ce P°"lt les cellules des glandes lymphatiques; Il est par conséquent bien autrement rationnel et contenue a l'observation, d'admettre qu'il y a là une exsudation spéciale avec des éléments microscopiques aussl constants que caractéristiques. Nous avons vu persister la matière tuberculeuse pendant bien des annees à l'état de crudité sans la voir subir ni ramollissement ni calcitication, dans les cas où, des engorgements ayant persisté à l'état stationnaire pendant des années, l'opération ou l'autopsie, en démontrant l'exrstence de tubercules crus, permettaient cette interprétation. ' , .Dans la moitié des cas environ, la glande qui renferme des tubercules, de plus en plus engorgee et des abcès dans J_le P0Uft0uft hypérémiée, s'enflamme, et il se forme une exsudation purulente qui produit , , ‘ _ . ement et la hque .ise le ramolhss 10n du tubucule, don fact 9" dans la substance de la glande, et favor laire autour de la J€S éléments se mêlent alors avec ceux de la suppuration ambiante. Le tissu cellu ' infl . ammatoire lent, avec glande participe d'autant plus à ce travail que déjà, antérieurement, un travail, ainsi que se exsudation plastique, y a produit de l'épaississement avec adhérence plus intime. C'est des et donnent heu a des cavern es, à eau forment ces abcès tuberculeux qui s'ouvrent plus tard au dehors dont nous parlerons de,/";äïlce ulcères, à des fistules par lesquelles s'élimine la matière tuberculeuse, surtout de celles du cou, qui, de pre cel-ml; font à l'heure. Les tubercules des glandes superficielles, au morn3'ÎpObse;vé travail de suppuration, existent souvent, sans qu'il y ait des tubercules subissent ce decider cette "question,.ai ‘ " Sine nombre dans d'autres organes. La statistique mortuaire ne saurait j de tubercules glandularres superhc1eh, que qu'un grand nombre de malades, atteints « [li/) . -- ( ler/mndl. ' e'.‘_ (mal ',‘."[Jl/.Ï(lc: - plzy,zl 1800 \\‘urzburg, … Ûie amyloidc [Jagcneration (lc/' Lyrnp/rd/‘dSùit. p "" ,A‘ !‘ ymphatiques, par A 5,…\ ll précédé de peu thèse, il serait en effet fort étrange et contraire à toutes les lois de la morphologie, que les corpuscules du tubercule étant les mêmes dans les os et dans les centres nerveux, dans les glandes lymphatiqucs, dans les poumons, tous ces tissus divers se métamorphosassent en cette même substance, identique avec 5QRQQ.:RMA.Râana-ÂÂÂAAAnA 5 d'Amussat, des |