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Show - .; .. < «,.-a .- ,.» «\n-w.:in-æqœv-‘Lp-v :FäzM M.M-_ --- _, : . * muy-t --v-. . LE. HÛLOGlQUE GENERA ANATOMIE Pi\'l‘ ‘ nee ' b se ' f , pat- la ' ' mnn‘lllOll ' de- l ' mfla 26 peré ' ' use ' veine ' nue l'hv s.ype' rénne ' pulmonane, on rane memb s l'h Dan ' , de ces ons de consistance et d épaisseur d'alt \ . érati . ! sence de l‘ame]. ce de l'élasticité du tissu, l'ab istan . . -] ers r lai ! "'ene obs les t ave e, pour 311151 dire, ] uit plastique, moul . t un prod , en tu r ti co i ns is qu ho da ' am gt s ‘ ' ue n'a " lissement et surtout de ce n etL'hypérémié cadavériq bieres. … onai swulcs pu ont sta ' u conpa… ble l , onres ‘ sur IOŒ CUIest ‘ ‘ te lési ca…Clè de que Pas. on "almhé57 colorante du sang, mais l'habitude en anatomie bibition et l'liypeiemic. l'im e, re vu mie , pre a dre fon con t peu On on. siti tinguer le sang imbibé du sang l'œil un, font toujours dis pathologique et un examen attentif, mé me à . renfermé dans des arborisations vasculaires. . , lume -‘ de ‘0 , des ormnes 0 , , q ui pal "" exces les hypérémies mécaniques, ordinairement produites ! Parmi _V ' , ; c est son hyperemœ insiste avec raison Rokitansky (l) gênent le cours du sang, il en est une sur laquelle des hémor, J'ai prompte très nt départ fréque e manière 17 de est, entremutres, le. ,point produite par le vide, ca; racuo, hypérémie qui mort la . d , … érémie qui s est termine ( un rhagies utérines graves, après un accouchemth . iyp " " _ exemple remarquable de cette forme e observé, au commencement de 1851, un très nom Le d'une malade 10n ‘ e ap1 es ] evacuat ar suite d'une v iolente congestion pulmonaire, survenu . P e renfermé dans un kyste de l'ovaire qui, av ant l'opération, avait refoulé P e quantité de liquid d'une‘ grand . très liant le diaphragme et les poumons. .les . inflammatmre , trouble la structure, L'hvpérémie, lorsqu'elle persiste, même sans passer à l'état tage de la Circulation fonctions … et la nutrition de l'organe atteint. Si l'afflux sanguin se rapproche davan ' sanguine ne . soient pas normale et que la tonieité des vaisseaux et la vitesse de propulsion de la colonne notablement modifiées, il se développe un certain degré d'hypertrophie. Lorsque la gêne c1rculatmre . nutri- est portée au point de produire une exsudation séreuse, ce liquide, bien p auvre en substances tives, comprime et atrophie au contraire les organes dans lesquels il provoque une véritable hydrotomie. Les vaisseaux, longtemps distendus dans l'hypérémie, subissent avec le temps des changements dans leur nutrition : des dilatations variqueuses, ampullaires, cylindriques ou autres, avec épaississement ou amincissement des parois. Loin de se homer aux vaisseaux d'un certain calibre, ces changements peuvent s'étendre à toutes les parties de l'arbre vasculaire. Quant àla gangréne par simple hypéréini0 mécanique, je n'en nie pas la possibilité, tnais elle n'est pas rait bien démontrée par des faits rigoureusement observés. Un des effets beaucoup plus fréquents de l'hypérémie est l‘hémorrlmgie, dont la menstruation est intl le type physiologique. -- L'apoplexie pulmonaire a la suite des maladies du coeur est, on le sait, très de fréquente. - La rate, qui, par sa texture, est très disposée à l'hypérénde, est le siège par cela même de fréquentes hémorrhagies. - L'apoplexie cérébrale peut bien dépendre de l'hypéi'érnié , mais plus souvent elle est favorisée par l'altération athéromateuse des parois des artères cérébrales ou par leur oblitération partielle. Nous avons vu plus liant que les hémorrhagies tuberculeuses et cancéreuses reconnaissaient souvent l'hypérémie pour point de départ. L'hypérémie par cause générale accompagne une multitude d'affections morbides diverses, et présente (l'a alors, dans seslocalisations secondaires, pour ainsi dire, toutes les lésions intermédiaires entre elle etl'ill- viv (1) Op. cit.. t. I, p 162. (g. /îil/lflliii i/e /'xir4nr/fimifl rÎfl infirlw-fur. t. XV. |). Hifi et Suiv ..v-4.V1'vl. W,), ,4. ' . _ … w: _; .. 4.a..+ç(isç.[ -.4.;::o -,4_u 4..J-.‘u‘,,4_!.;i,+-4_tsç'u,is 4 o,,\,4 .4 "? _ts4u'. a+«f '. s+',i. "- cor tâc em cer la] et* log N' flammation. Le rhumatisme articulaire aigu peut ici servir d'exemple instructif. On a vu encore, en 1850, à l'occasion de la discussion de l'Académie de médecine sur le traitement du rhumatisme aigu ("2), combien les opinions des meilleurs pathologistes étaient divisées sur la question de savoir si cette maladie était de nature inflammatoire ou non. Je crois qu'il n'est pas impossible de concilier les opinions diverses qui ont été émises a ce sujet. Le rhumatisme se déclare à la suite d'un refroidissement ou sans cause extérieure bien appréciable, en vertu d'une prédisposition spéciale. La maladie une fois localisé e, l'examen clinique, aussi bien que la . . _ dissection anatomique, demonlre qu'il s' agit de l hyperémie a tous les degrés : plénitude sanguine dans ron (D L\' ' _\'\ a ma if ' vérique est accompagnée d'une un bibition re 7säägga_:} MMAÀ :SWM°°" naAaA .ÀAA‘ es capilla1r es et des ve sur la face interne des bronch nbarrassé pour affirmer si la 7 -on souv " a ' ' déc a' cad0_ ieump uen ypélarém séq l'hde t ce ven Sou i ,ant la vie.con d e pen {èr té exis 1 a np ou post eSt l ue lt‘H ven ")7‘ USM SBL dé |