OCR Text |
Show lllîS l‘lîtllll'tlTlth5 li'l' llliS 'l'l'Nllîl'l‘uS l"ll‘-ltÛ-l‘L:\S'l'lt}l"lîS. d'épaisseur, et prés de 1 mètre dans sa plus grande circonférence, et pesait au moins une dizaine de r les saillies livres. Le poids de plusieurs tumeurs mentionnées de la cuisse a varié entre 500 et 1000 grammes. Une tumeur fibro-colloïde hypertrophique du sein, dépassant le volume d'une tête d'adulte, pesait prés de 3 kilogrammes. astiques des , lorsqu'elles d'une pièce vrésentait le vous trouvé La consistance de toutes ces tumeurs était généralement résistante et élastique, mais offrait des degrés variables de fermeté. A l'état de la plus grande mollesse, elles peuvent offrir une apparence de fluctuation; dans un cas que nous avons observé à la clinique de M. Velpeau, cette sensation a été tellement trompeuse, qu'avant d'avoir pratiqué une ponction exploratrice, ce chirurgien éminent a hésité dans son )rsque c'est diagnostic entre l'existence d'un kyste et celle d'une tumeur solide. Dans les degrés les plus fermes de consistance, les tumeurs libro-plastiques n'acquièrent cependant point la dureté des tumeurs fibreuses. Lorsque ces productions proviennent de l'os, elles sont quelquefois parsemées de spicules et de réseaux l il s'agitde osseux, ce qui donne au palper la sensation mixte de tnollcsse élastique et de résistance tout a fait dure au delà; les ng sur 5 à f) de l'os. de atteindre *1té une fois comme celle des papilles de la peau ou d'une portion du derme. Dans la kéloïde, la tumeur est sessile et fixe; il en est de même lorsqu'elle est constituée par une excrois- 1ypertrophie sance de l'os, mais en général les tumeurs des parties molles, lorsqu'elles sont sous-cutanées, jouissent riplé, et des d'un degré prononcé de mobilité, et ce fait n'est pas sans valeur pour le diagnostic, car on sait que les t longueura tumeurs cancéreuses sont généralement de bonne heure plus diffuses et plus adhérentes. A cette mobilité correspond un autre caractére clinique important, c'est la facilité souvent inattendue qu'ont éprouvée narron. Les e spontanée :eptionnelle loïde unique olurne, telles 5 vues ydéolypes fibro- 3ur. La seule longueur sur 5 dimensions tres tumeurs ont la forme La mobilité de ces tumeurs est très variable lorsqu'il s'agit de l'hypertrophie d'une partie immobile, les chirurgiens, dans ces cas, pour leur énucléation. En général, ces tumeurs sontdélimitées par une enveloppe libro celluleusc qui, même dans les exercissances provenant de l‘os, revêt toutes les parties à surface libre. Cette enveloppe est tantôt mince, tantôt plus épaisse, et presque libreuse; elle offre une vascularité généralement abondante, et c'est de sa surface interne que partent la plupart des vaisseaux nourriciers de ces tumeurs. Nous avons observé une fois un fait très curieux. Une tumeur qui avait existé depuis prés deneufans dans la cuisse d'une vieille femme avait, en devenant trés volumineuse, usé les tégmnents; mais au fond de l'ulcération, l'enveloppe était restée intacte, recouverte seulement par une couche de ' bourgeons charnus semblable a celle que nous observons a la surface des plans aponevrotrques. Dans un second cas semblable, une tumeur énorme du sein avait fait disparaître presque la peau a son niveau; son enveloppe était restée en majeure partie intacte; mais sur un point de sa circonférence, il s'était établi un travail phlegmasique terminé en partie par fonte purulente et en partie par gangrène superfi- du col utérin cielle. Ces cas, cependant, sont exceptionnels. Nous avons enlevé une tumeur ["no-plastique en état (l'ulcération partielle assez profonde. Nous avons vu en 1842, a la clinique de Ll5fl‘tlth, un malade u-dessous du euf ou d'une uns les avons une 6 d'épais- qui portait, à la partie postérieure de la cuisse, une tumeur libro-plastique qui était largement ulcérée. Une tumeur récidivée de la fesse était également ulcérée dans sa substance. Le plus souvent les . et lorsque tégumenls restent intacts au niveau de ces tumeurs, lors méme qu'elles sont trés volumineuses s'observe, d'apres l'ulcération survient, elle est toute mécanique. Ajoutons que cette terminaison, qui .ionnellement que nos recherches, dans un douzième des cas a peine, a été plusieurs fois provoquée, dans les laits .ronc propre- nous avons recueillis, par des irritations artificielles. tion; les Dans l'hypertrophie papillaire de la face, nous avons observé une espèce de fausse uleéra rotum, nous lnction fibro- férence. Nous ans rencontré la u atteindre s la fesse, aprè 9 centimèlt05 . &. la laissaient suinter, . papilles, hypertrophiées dans leur centre fibroïde, dépouillées de leur épiderzne, un bien avait y il surface, un liquide qui se concrétait sous forme d'une matiere exsudee, dans laquelle tits consi- peu de pus, mais surtout beaucoup (l'épiderme. Jamais nous n'avons … l hypertrophte_ , meme { de ces tumeurs dérable, des glandes lymphatiqnes, donner lieu a l'alterat1on des legume tits. La surlace " e, ou une* s‘UI‘ (.ace "… et homogut " lis…c ‘ ldtt. ' n, ou une sur ' l ' opératio molles présente au palper ou a la vue, apres du caractere bosselée ou lobulée. Il est quelquefois bien dilllcile de se rendre compte de la raison d être .'t li ,un. tunnel.. -- tj" Lu 11. ' ‘ement dans rar;wawzrxwxv .v;. '! :". tion libro-plastique générale ; elle avait 35 centimétres de hauteur sur 33 centimètres de largeur et )lutissenient '. "'… observée en était une qui siégeait dans la cavité abdominale et qui s'étaitdéveloppéc dans un cas d'infec- ies, offrent, rr'1.ur >: du cerveau, "‘ de longueur et 42 dans sa plus grande circonférence. La plus grande tumeur de ce genre que j'aie enfin 'iJ'i'.3.‘f ! r ues, le plus |