OCR Text |
Show . ANATOMIE l'ATHULOGIQUE GÉNÉRALE 370 mide ou du cube, quelquefms ils sont P°lyédPiqueg_ mousses; leur forme se rapproche de celle d'une pyra ndis. Leur présence ne produit souvent aucune Cependant les calculs multiples peuvent au ssi être arro e s'atrophie partiellement ou en totalité autour altération dans les parois de ce réservoir, quis e contract et. . _I _dent la vesicule, ses parms peuvent de certains calculs volumineux. Si de nombreuses concrétions dmten sd y a quelque obstacle au libre écoulementde la s'hypertroplner; sa cavité s'agrandit en même temps observé une infiltrati0n bile. ÏÎne inflammation ulcéreuse on suppurative survient facilement, j'ai même e biliaire. La perforation avec épanchement de la bile purulente du tissu cellulaire autour de la vésicul t adherents, est rare. Quelquefois le réservoir devient blemen dans le péritoine ou dans les intestins, préala chacune un calcul. multiloculaire, un certain nombre de petites cav ités renferment alors Les canaux cvstique et cholédoque sont rarement le siège de la formation de ces calculs, et bien plutôt pour un point d'arrêt; de la prov iennent même la plupart des accidents des calculs biliaires. Ordinairemem ils sont expulsés. Si leur progression n'a pas lieu, il se forme au-dessous du calcul une oblitération, et noire e_ au-devant de l'obst acle une dilatation, qui peut devenir telle que la vésicule soit vraiment hydropiqu etde dans ces circonstances, la présence de plusieurs litres de liquide dans et m son intérieur. Des concrétions peuvent aussi alors se former de proche en proche dans les conduits raler biliaires. J'ai vu aussi de nombreux calculs formés dans les conduits biliaires, sans qu'il y eût d'obstacle plulf dans les voies excrétoires de la bile. que AAAAAA MMM" . . Aussi a-t-on signalé quelquefois, . " poids La en génér Mères tance Or on ni noya ana véflc Lorsque le conduit hépatique et ses racines sont le point de départ de la lithification, on ne rencontre parü le plus souvent que de la gravelle, quelquefois aussi cependant des calculs plus volumineux; l'extension veut devenir très grande, au point que la bile coule dans un grand nombre de conduits comme sur un lit de sable. Les concrétions, en se massant, peuvent rendre les racines et le conduit hépatique à peu QI clair près imperméables, et c'est alors que l'on voit de ces concrétions moulées sur la forme des conduits, à posH gren aspect rameux, coralliforme. Des kystes remplis de bile et de concrétions se forment sur le trajet des Nt conduits de second ordre, silo conduit hépatique est devenu imperméable; le nombre de ces collections Dufi kysteuses a été, dans quelques observations, très considérable. Si nous revenons à présent aux caractères physiques des calculs biliaires, nous devons avant tout insister de nouveau sur la distinction entre la gravelle, les petits et les gros calculs. Les calculs varient entre le volume d'une lentille et celui d'un oeuf de pigeon ou de poule, nous en avons vu des exemples dans les collections particulières et les musées. Le plus grand calcul biliaire connu est celui de Meckel, décrit et dessiné dans les Mémoires de ['.-tcadémtc de Berlin; il avait 15 centimètres de longueur sur 6 de diamètre transversal. En moyenne, les calculs varient entre les dimensions d'une grosse lentille et d'une petite noisette. Il serait inutile et oiseux d'insister sur toutes leurs formes possibles. Ils sont ou arrondis, Lt léger etso lente boni dans en r con] ou anguleux, à facettes plus ou moins nombreuses, quelquefois à points multiples et saillants, ou irréguliers; on a enfin signalé de véritables calculs mûriformes ou mùraux, à surface inégale, grenue; j'en teur possède un qui est recouvert a toute sa surface de granulations cristallines noires ou brunes; ilale occu volume d'une grosse framboise. L'accolement de plusieurs calculs peut encore rendre leur forme très etp' irrégulière. A part les pièces rares de surface mûriforme, ordinairement la superficie de ces calculs est lisse, souvent même luisante. Leur coloration a une certaine importance, parce qu‘elle est le plus souvent en près rapport avec leur composition chimique. La couleur brune tirant sur le vert appartient surtout aux calculs riches en matière colorante de la bile, en cholépyrrhine. Les couleurs noire, verte, bronze, en sont les principales variétés. Les calculs blancs, ensu tirant sur le gris ou sur le jaune pâle, quelquefois transparents a l'état frais, sont en majeure partie désa Lt une pass EHe inaü composés de cholestérine. Lorsqu'il y a une surface inégale. mùriforme, raboteuse, avec une 0010f31l0" claire, tirant sur le gris jaunàtre ou le brun, ils contiennent ordinairement une certaine quantité de sels sent. C‘ulc…"cs' Seifert … il décrit des calculs biliaires d'un bleu pâle, ofl'rant la forme d'étoile à six rayons- de ] bur une coupe fraiche, on observe souvent des colorations difl‘ércntes disposées par couches et corresp0"' chat dant en effet a des couches chimiquement difi'érentes. huit. I‘" PU5…"°…' 5PéGifique parait varier selon les éléments constituants. Thompson l'indique de 1:06 , , Lté8/ /.a.>ammcma[.uny und L‘uln‘tc/Lung du. Gallêiisteme, p. 127. "€"; ‘(' &. . à.!‘Jx.‘î‘.ä.î‘J.. . .. hilia |