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A ' ' ‘ ‘ l l … , | b . t tons les hivers sans et.ss0i _]fillltllS, meme tete; cette toux etait aceoinpziWnt"0 " d un peu ( e ( vspnee. pac/ze. .llort par lil-'nrurr /r(! ie. 2.‘ (, «‘"i l‘iiil‘iruierie |. , 4 , la« . liial'tÎ( l cdctl En entrant > î-; na -- que sa- toux- etait ' .- plus. frequentc ' < . depiiisquclqnes leurs, et accompagnée d‘une t"peetoration g ble. des douleurs dans le côté droiide Ir a qnnize mois environ, il s‘apm-çm pour… e méd ‘ iane, du v olur ne d'une noisette, pré. il a peu t‘elle tumeur a ugn 1eute de volume. tve point de gêne dans la respiration. Au ult4 ra4 a l'hôpital de la Pitié, dans le service :?i‘ivit de la digitale. M ais la glace lui …. : .… il '.' ,,,_- ‘ .]. .. _ ' plus .about aut €", appetit avait dm mue, il 3 avait de la larblesse et une courbaiure generale; le tacies était Çnormal la chaleur était naturelle. le pouls battait , ' de 10 a 80; ‘ 4 les crachats étaient un peu visqueux b' rues spouleux ' l a fosse sous-épiuense gauche tëttiit, relati- vement aux autres regions' de . la. poitrine, obscure; ! a lhbl)ll‘flllüll etait huble et seche partout, on entendaitç à et la quelques bullesde ràlcs tllttqtrctlx et quelques bruits srbilants. E n même tem p 5 q ne la malade . . se trouva1td ' ' ans « - cet etat, '. la paupieie . -\ . superieure . . « . , il. y avait . . gauche élan. abanssee, strabtsme de l'œil en , _ -. . : ' * ' dehors et un peu en haut,. on pou …att‘ penser ‘ a une lemon qui' agissart sur le ner! moteur oculaire commun. Au bo tlt(l0 q uclr 1 nes {|'ours d‘ u i i tr ‘z ntemcut ' ' "«‘a la- maladie . - ' du poumon, sans beaucoup de succes, approprre ‘ le pouls ' ' s'accelerz , la chaleur augmenta, et la malade tomba dans une soinnolenCe presque continuelle Bien plus, le poumon droit se prit à sa base, le murmure vési- ' 3 ' ' . - - -‘ ,." ‘ culane s".allaibltt sans qu "il survntt de rales, et la« mott: arr -'tva le 21 novembre, a* la suite de quelques symptômes de méningite subainuñ - .. "VDM A lautop>re, on trouva. a la suilace du poumon, des saillies nombreuses qui.-< simul:iient des tubercules; ce poumon s'enfonçait dans , avec une douleur brusque; le malatl eavait *; c‘est alors qu‘il se lit admettre à l‘hôpital virent de sang ; elle était le siége de balle- peu prolonge. La tumeur avait à subase AAp_à_ trs a l occasion des maladies de] 575 Il est im t iot‘tant de note… | ne la. ri. tcu|atmnoe1ebrale - ' . « retablie , < au moven desartùres i't"l'i"llt'itlt‘s‘ s ..etait )) ti". - ., . nt .inast0uiosc05 . . . * , . .. … . . its t tour…, |-Algt,.llt avec les communicautes et avec les cérébel leuses superieurfls. Il est interessant enfin de voir que, malin-,; | ses lésion, a c ( n . a persist ance ‘ ‘ | elfets, la paralysie qui on etait rdsulhëe, avaient dimi.…,a avec le temps. , . mb l'îll un pornt de sa ci rconfè- … ais pu trouve r l'endr ' 'eflce.elle dre, avait fini pa rt ,ce iii .)lissant les br |» onclies de tou t un Î)til illftllf mb…" mm -dessous de.:uvertu re anormale, il y avril _, ) _ nes. $ ur MALADIES DES varssuaux saxomNs ET L\‘.\ll 'llA't‘ldUES. -_ ilTlâli -'\,,,_ "‘"l‘. ‘ [pa< ‘ _ \ -\Â* .sA‘ A': '. ["' ,. ,\ l" . 9 couches libr- "!(‘llses A a la sotis-claxtere « W'Α.' ?".". ‘t"; . r‘.‘.‘ I‘." .,._‘,\;Ï. {\x- ""- , ' . 7 . ‘ ' ' ‘ . . ' \ ' . ' ' leau par son propre pouls. ' \enatt-on a: le (Imser, on voyait surntcr des_ petites collections purnlentes; voulait-on remonter à la source de ces collections de pus, on la trouvant dans les bronches dilatées qii‘ori pouvait suivre avec des ciseaux moussesà la pointejusqu‘à la périphérie du poumon. A la base du cerveau, du cote gauche, existait une tumeur noir£ttrc du volume d‘une aveline, située en arrière de la portion postérieure de la commrssurc du ner-t optique gauche; elle déprimait le nert'motcur oculaire rornmnu, qui disparaissait a sa surface pour n‘être la fourchette sternale. 'l‘roisjoursavuutl a retrouvé qu en avant et en arriere; les branches nerveuses étaient. moins volumineuses que celles du côté opposé, la tumeur était formée et l'ln‘tiiioi'rlizigitæ s‘arrêta. Du reste aucun e>pii‘ati0n normale. Il ne peut pas se ceun'a jamais accusé de troubles du côté des : sang_ la compression arrête encore cette par un anévrysme de l artère carolide interne, au montent où cette artère fournit la communicanto postérieure. Il y avait, par suite de la compression determinee par cet tilldvl‘vsttiv, paralysie du muscle petit oblique et des muscles droits interne et inférieur ; la pupille de l‘oeil malade ne se contractait pas, quelle que frit d'ailleurs l‘intensité de la lumiere CCI. -- llc‘c/zirui'c [mr/[clic (le l'aorte. .»lnrŒr‘ysmc rl[ssc‘qrtmit. Hop/nrc dans [l‘/lél‘l‘t‘ltl'dt‘. .llur/ subite. (l'l. LXXIV, tig. '] ) :s de la perte de sang. i‘liii';itii)ii de Il centimètres de largeur, dont Un homme figé de qua ante-deux ans, d'une forte constitution, Sf‘.)t)tll‘ltttil a l‘l.t‘ipital depuis quelques jours pour une paralysie des mverte par les membranes qui se meulriil ièdiatement derrière le steruum se trouve ? petite pomme. La crosse présenteeusuilr membres inférieurs qui était survenue promptement et sans que l'on eût pu en preciser la cause. Sans accidents nouveaux préalables, il meurt subitement. ‘une grosse noix. Le sang des anévrvsma montrent aucune altération til)pl't"t‘l2tllltl. Tous les autres organes paraissent sains, mais en ouvrant le péricarde on voit un amas de ore, une tumeur ericépliflloide du volume rien d'anormal, ni dans ses dimensions, ni dans son épaisseur, ni dans ses orifices. En ouvrant l‘aorte, on constate que l'ouverture exté- i |.; \‘elpeau, à l'hôpital (le la Charité. r gauche. Le bras du même côté ducurps rx ans a peu près qu‘elle avaitéte‘ frappée etui a peu sa paralysie avait diminué, igence % n'avait jamais été perdue, l'intell rieure aboutit à une déchirure partielle des membranes de celles-ci. Les valvules sigmoïdes sont normales, mais immédiatement audessus d'elles, sur le côté externe, commence un décollement irrégulier (les membranes interne et moyenne, qui a près de t décim‘etrrde hauteur sur 5 à 6 centimètres de largeur. Les bords de ce vaste décollement sont irréguliers, il ne s'est pas fait d‘une manière franche et nette à la limite de ses tuniques moyenne et externe, mais dans plusieurs endroits quelques lamelles de la membrane moyenne adhèrent au tube interne. Le décollement occupe entre un tiers et la moitié de la circonférence de l‘aorte. Il est à remarquer que les membranes de l'artère ne paraissent guère épaissies, et que, nulle part. il n'y a de dépôts athe‘romateux sur le trajet des artères. CC". -- Anévi'ysm0 {dure consécutif pruduz'l eæpéi'ii)renlalcmen! par une spirale de fil de fer" pluce'c autour des gros vaisserrzw du cou. (Pl. LXXVI, fig. 1.) A l'autopsic, un Suites d'une plcur ésie. e dans . . |la euse dans les plèvres. On trouv a \uiCi . ieure antér é nal {\ son extrémit res cérébrales. lt. ainsi que les autres arte asie sens ctes sont, de es di mensious exa _ . , …, pfll ;; dann elliptique, elle est déviee sont es postérieures artères communicant par t uver reco t s nte ;inév‘rysnntlf35. Ce pei durnineuses. e£n , illeuæ, colerè ' e une matière fibr lSl'l air au s pos térieures]usqu irc et les cérébrale. . a e leger , . ' ,e ny q u'un vs pathologiques, il corresr vm,; médiane au pou ite de la ligne ' . parut comp ni . nest ‘ul‘ aire commun A l'époque où je me. livrais à des expériences sur l‘inflammation des vaisseaux et de la pyohémie, j'ai fait l'expérience suivante : J'ai entouré, chez un chien de taille moyenne, la veine jugulaire et l'artère carotide, chacune d'une spirale de [il de fer mince. J‘avais eu soin de laisser ces vaisseaux dans leur gaine, et de passer le fil métallique a travers le tissu cellulaire qui les entourait immédiatement. L‘animal a continuéit bien se porter, et connue aucun symptôme indiquant une inflammation gave des vaisseaux ne s‘est rnauitL-sté, le chien fut sacrifié le onzième jour pour examiner l'etat des vaisseaux irrités. celle-ci était tout a faim Les pluies étaient le siège d'une bonne suppuration du côté du cou, où l'expérience avait «été faite sur la veine; l'état normal, plate, élastique, parfaitement perméable, sans altération aucune des parois. niveau de la principale spirale de Il en était tout autrement de la carotidc; elle était partout adhérente au tissu cellulaire ambiant, et au l'artère, et a la surface de exactement parts toutes de entourait qui noisette, d'une volume du tumeur une trouvé lit de fer, irons avons tumeur sur la laquelle la veine jugulaire, saine d'ailleurs, était accoléc. J ‘ai introduit ensuite une sonde dans la carotide, et en fondant la longueur sur de riiillinietres 2 sonde, j'v trouvai les altrërations suivantes : Au centre de la tumeur, il y a une porte de substance d'environ human, i du llllttl‘l0ül‘ dans continue se qur coloration rougcatre, prune 1 de largeur, dont les bords, mous et irreguliers, sont (l un delssœ, externe tunique la par constitue est coagulé, sang de rempli lui-même, quelques millimètres de distance. Le sac anévrysmal artere. ] dans coagulatrons de pas avait n‘y Il surface. sa à vasculaire très violacé, ramollie, d'un rouge "A'--.f\fi caillots de sang dont une partie était encore liquide. On trouve l‘ouverture par laquelle cette liémorrbagifæ s‘était effectuée irrnin"diatcnieut arr-dessus des valvules sigmoïdes de l'aorte; elle a a peine ? iriillimètrcs d'épaisseur, ses bords sont irréguliers. Le cœur n'offre du reste AAÂÂÂÂAflfiça,-» » " '\..A_ .,- ,. ,. . ique moyenne. Nulle part iii érosions Ill 5 e par la membrane interne malade, turtle Autopsie faite rrr'ngtyrmlru heures (II)/‘Î'S [u mm-t. f- Les centres nerveux ainsitu les enveloppes, examinés avec le plus g'iinrl soin, ne |