OCR Text |
Show rrassé de décrder, ' que grave, si l'on aux des poumons, MALADIES DE LA PLÈVRE. 707 donneron . s ici qu'une cour . te anal . yse, et nous en ayouterons d'autres tirés des Bulletins de la Sucic' le' anatomique. Nous réunir ons amsr cinq cas de cancer primitif de la plèvre, auxquels nous ajoutcrons sept autres de cancer primitide média stin. Voici d'abord le premier groupe de faits : 1° Dans le cad aut, "> dun ' . . la maladie , - duquel . . _ homme sur Je n'ai pas eu de renseignements, la plèvre tteignant jusqu'au dns calcaires, qui costale des deux côtés de la poitrine ét ait couverte d'une multitude de tumeurs encéphaloides, en partie très vasculaires, ne dé passant pas le volume d'une noisette, isolée s ou confluentes. La surface des deux poumons était couverte de réseaux lymphatiques, remplis de suc cancéreux. 20 Chez un malade qui, pend ant la Vie, avait presenté les signes d'une pleurésie chronique avec dépé- rissement rapide, la plevre gauche etait couverte de petites tumeur s cancéreuses molles, tant a la surface du poumon que sur la plévre costale; ces tumeurs, tres nombreuses, ne dépassamnt guere le volume d'une amande, et formaient, parleur confluence, des masses un peu plus étendues. L'exame n microscopique démontra des cellules du cancer. 3" Dans un cas rapporté par M. Charcelay (l), un homme âgé de vingt-six ans avait eu, depuis son enfance, plusieurs tumeurs dans la région occipitale, qui, depuis un au, se sont accrues et ont nécessité trois opérations successives; on leur trouve un tissu ferme, blanchâtre, rosé, rouge et noirâtre en divers ciété anatomique, points, offrant des cavités remplies de sang et beaucoup de vaisseaux. Il y a encore récidive, purs l' \O Us_ allons pas… ‘s trouvés dans la n‘eil il s'agit, dans i se pédiculisent, ‘- corps libres dans orze ans qui avait corps d'un blanc l filament, et qui, r. v tl) dit qu'il s'en 1el'ois des producrenseignement de surviennent les signes d'une affection pleuro-pulmonaire &) laquelle le malade succombe. A l'autopsie, on trouve un foyer tuberculeux dans le rein gauche, dans le poumon droit, quatre ou cinq tubercules crus, dure, comme libreux, et une concrétion calcaire allongée. Tout ce poumon est repoussé en haut par une énorme tumeur arrondie, située à sa base et cachée par cette base comme par une espèce de calotte. Cette masse, un peu plus grosse qu'une tête de fœtus, de nature encéphaloïde, offre une enveloppe unie et lisse; elle est bosselée, sa substance est blanchâtre, grise ou rouge, assez ferme en général, un peu l'un enchondrome rssi bien que des molle en certains points, au pourtour de quelques cavernes pleines de sang noir, caillé ou liquide en partie. On y voit aussi de vastes sinus, de larges et de nombreux vaisseaux. Séparée facilement de la plèvre diaphragmatique avec les doigts, cette tumeur adhère davantage à la , a l'occasion des plèvre de la base du poumon. Blandin et Martin-Selon jugèrent que cette masse encéphaloi‘de siégeait es faisaient saillie le après la coupe dans la cavité de la plévre. Des stries noires, dessinant assez bien le tissu pulmonaire, ont fait penser à quelques membres de la Société qu'elle s'était développée dans ce tissu. Presque complétement isolée, elle communique avec le poumon par des filaments d'apparence vascu- communiquée par cellules à noyaux tais d'abord prises avec un noyau de laire, assez volumineux: on n'y voit point de traces de bronches. Elle a19 centimètres d'avantenarr1ere, . M centimètres transversalement, et 10 de haut en bas. Nous avons rapporté ce fait curieux à cause de son cachet tout exceptionnel, et nous ayouerons meme qu'il n'est pas tout a fait ici a sa place, car il est tres probable que la tumeur pleurale sest developpcc consécutivement aux tumeurs occipitales; nous serions même dispose a y.voir plutot des toute….- ge'_'î"î'Ê',_ , fibi-o-plastiques a marche grave, récidivant suis place et donnant lieu a une infection . d'infection libro- ir nous, en faisant etions cancéreuses n (l'est la plèvre , | ) , . d'un, homme en 1852 par M. Vidal (2). Nous citons textuellement la note de M. Vidal : epanc1e un - avait Cet homme .. , _ age de Cinquante-six ans, qu1 e st entré le [0 mars a la maison de sante. A I . est principalement ère, et quelquefois ous dans 18 Plelre _ . , , . clav1cule s - '- ' ' 1 "( I…,"Ollsl'l lllfllllt.Jlls de respiration, mentavec voussure dans tout le côté de la pmtrme, absence le… son "saut … ' ' ' ' . ' '. . ' W ld"5Ul=‘l :} ' et refoulement du coeur vers le côté droit. Î)epurs plus d'un an Il bldll tl€\ellU ce (c J0ltll un et l ,e se "'vre ' x , - 1 -« ' , ‘ fic de la ' d'une' pâleur mate et jaunàtre. Il ya cniq semaines, des liissons, était _ ' . _. . . a… en augmen au . a la douleu1 sous le se… gauche ont (, déclarérent ] a lièvre les frissons erratiques et ", dL somme,. le nml…le ', ] dyspnée et la faiblesse ont été de plus en plus marquees. ( er lu sein. Le canc . . 1 , ... / « - p€llllflfl t " - . (l = entree, .; ] ' oppit5s10n … - ' c'>tait' extreme. » Le 11, your sur son lit et il succomba dans une syncopc. » Autopsie le 13 ' (.; I..) (JO le, _ Oduûht‘ e bt ‘ 1" "lent le ll] p h LÛll]l)l(îl ,. '. - ‘ , runes. assez foncé, dans laquelle nage… quelquts fausses mele ne illés dont nous 235. (l) /Îu[lcttn.v de [Il Sucré/fl itill_i/Uuizzjmg {. Xl], p. (2) Ibid., t. XXV11, p. %. a nuron essa -' pal de Il] 5LlÛ‘ »ltt » ) lllIl])lth, ( l un ] anne _B @°ÀÂAA"" RAÂ ) détails du cancer &" Voici un fait qui nous parait plus concluant et que nous avons th presenter " la S°°"‘"'" """ om l ‘vf\A 3mpl1ysématcux, a ,, uc |