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Show LE. ANATOiUE PATHOLOGIQUE GÉNÉRA vasculaire et hémalode fait une forme a part. Le cancer tres tissu cancéreux proprement dit qui en s les passages inter-mé, t enceph aloïde, et l'on constate facilemen tou n'est a son tour qu une vartete de l qu1, la plupart du ntnorrse surmonte a un tissu , . . . diaires. Dans le cancer mélanique, enfin, un pigme ,. r, qu Il sort mou, dur, gelatmrforme, très vas- temps, présente le tvpe de l'encéphaloïde. AinSi le cance même altération avec prédominance de l'élément essentiel culaire ou pigmenté, constitue une seule et daires (1 ans les autres formes. Quant à la variété hémordans l'encéphaloïde et des divers éléments secon arence tuberculeuse, seit par petits grains, soitpar rhagique et à celle qui renferme une subsl auce d'app « me ligne que les formes indiquées, car ce sont sur la me masses plus étendues, nous ne pouvons les placer s primitiœment diverses du cancer. des altérations du tissu cancéreux et non des forme ces formes diverses une mig… Il est probable qu'il y a dans la différence dela première apparition de expliquer que par des hypothèses. physiologique qui nous échappe aujourd'hui et que nous ne saurions domaine de l'observation, c'est celle qu'exerce Mais il y a une autre influence qui est plus directemen t du chaque organe sur la forme du cancer. le squirrhe et l'encéphalo‘ide. Une Le col utérin peut présenter tous les degr és intermédiaires entre e cancéreuse plus molle, trame filamentense plus ou moins apparente s'y montre infiltrée d'une matièr ltration encéphaloïde d'emblée, et c'est celle- qui, lorsqu'elle existe en quantité notable, y constitue l'infi et parfois hématodes qui peuvent là, lorsqu'elle se vascularise, qui forme ensuite ces fongus végétants ‘28n‘ 7 '/ ' l, [ \ l'encéph. est un p La peau la forme l'œil et l volontier L'alté cancer c le cance cancer s est plut avons en céphaloi mais de d'une e; matoïde ns qu'un prendre un développement considérable. Le cancer colloïde y est rare, nous n‘en possédo nombre] l'infiltration exemple, et encore des tumeurs encéphaloïdes se rencontraient-elles dans le voisinage de tode. Le ou gélatiniforme de la matrice. Dans les ovaires, l'encéphaloïde domine. Ce sont des tumeurs isolées brale qt agies dans leur confluentes qui, lorsqu'elles sont volumineuses, montrent volontiers des hémorrh intérieur. les trois cinDans le sein, le cancer dur est de beaucoup le plus fréquent: nous l'avons noté dans lo‘ide, quièmes de nos observations; dans un cinquième, c'est l'intermédiaire entre le squirrhe et l'eneépha s avec la forme et dans un cinquième seulement, l'encéphaloïde avec ses caractères types, dont plusieur est rare et hématode que nous avons signalée une fois aussi dans un squirrhe. Le mélange mélanique y communes toujours peu abondant. Les hémorrhagies dans le tissu cancéreux lui-même n'y sont pas e, et, non plus. L'altération phymatoïde au contraire, soit réticulaire, soit confluente, y est très fréquent en général, c'est un cancer toujours riche en graisse. Dans le testicule, l'encéphaloïde, au contraire, prédomine toujours. Les épanchements sanguins y sont communs, et l'infiltration phymatoïde y atteint les plus grandes dimensions; elle se montre déjà même très prononcée dans des cancers qui, jusqu'au moment de l'opération, n'ont pas cessé de faire des progrès rapides et incessants. Si nous passons maintenant en revue le tube digestif, nous rencontrons de nouveau l'encéphaloïde dans le cancer du palais. La langue offre aussi de préférence l'infiltration par le cancer mon. Dans l'œsophage, des plaques cancéreuses infiltrées sont tantôt encéphaloïdes, tantôt intermédiaires. Dans l'estomac, il y a des différences marquées selon le siége. Le cancer du pylore affecte le plus volontiers la forme squirrheuse, tandis que celui des courbures est plutôt encéphaloïde, et dans près d'un neuvième des cas, il est gélatiniforme. Dans les intestins, l'infiltration à caractères intermédiaires est fréquente; les plaques, plus franchement squirrheuses, y produisent surtout des rétrécissements, tandis que la forme cncephaloide }' est plutôt végétantc. Le colloïde, qui se rencontre, pour près d'un cinquième des cas, Dans point re cinquièr nilerme effraie… c'est da1 une fois de l'œil Les 1 encépha hémorrl infiltrét pour ait la plèvrt on n'ob: près éga Il ré tissu, rr Nous atlectior deux fois d""5 105 "‘l0îtlflsi sur…" 10 CŒCUm, 1'5 iliaquc et le rectum, a été, dans nos observations, le point dégénér nuxte, une f015 l…": et deux fois l'examen microscopique n'a pas été fait. Je ne serais en aucune façon dites l)< Îäïîâ ::îs pbservahons ultérieures démontraient que le collo'ide peut exister dans le tube digestifÏà } _ e non cance1eux, cat Il ne tautJamais oublier que le collo'ide ne constitue pas plus un elel:léîllt essentiel'du cancer que la mélanose. Dans le foie, on rencontre des tumeurs saillantes ou à surface comme 11 peut : anatomi les formes mélanique l‘lîies. Le squirrhe y est rare, de même que et liîæihÏ0ilb.d l°îîlËîêîfiîäîïîÿîîafî 0lmC umnlnante, les altérations hémorrhagique et phymat01dey . d'autres un [raw sont communes. « . . . . . recon ' '.: me, Uansle p…to nait mdrstmctcment les deux formes avec prédominance cependant de on à une 11 … \'oy A} |