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Show t}lQlllfl tiENEBALE. ANATOMIE l',\'l‘llt lLtl ‘ est remplie d'une s ches, dans lesquelle l'articulation an bl s eur tum les s dan que i s ces de vaisseaux: c'est ains "' arthrodiaux s'ulce.rent. _ Dans tou et les car tilages diCOUD nt sse lli nt. amo importa r rôle un se sùl', ts ligamen les it * , 8, " pmiilCi .,< … s>noue ' -. . des tissus Joue / / . € ii outre , à , cas, ] altération des elements cellulaiies .\li'l'ltll.l'l \. l.\'l"l…\i\l)l.\'l‘ttllîla>. li'l' lili} L'ATRUl'HIE Ill". l.'ll\l'Eli'l'ltttl‘llllî ',\ . - / . ] (' l- deé trav… 1 ; es [)LL€ a u 1tcotfl .fusch . < iendait \p te de toute _ - en se \ BrouSsais, de l'école de regne du A ] epoque lq.uls te la touchait la a un des problemes les p us comp qu'on pas doutait se ne l'on et hypertrophiqne, . plus fréquente . , non inflammator're est de beaucoup physiologie pathologique. En réalité. l'hypertrophic encore restreindre consulerablement le domaine que celle qui est due a un travail pluiegmasique. On doit . . l'augmentation de volume avec re, lorsqu'on a soin de ne pas confondre … de l'hypertrophie inflammatoi entes, d'origine inflammat01re,vne sont l'accroissement de la nutrition. Beaucoup d'hypertrophies appar t augmenté n'est infiltré que par en réalité que des atrophies; l'organe dont le volume a considérablemen sont eca1 tes, (listendus, réduits à un moindre les produits de l'exsudahon, tandis que les élements nouveaux , "- ps, meme pendant toute la ne. volume, résorbés en partie. (‘.et état peut persister pendant tres longtem abondants et d'éléOn rencontre alors une infiltration fibroide, granuleuse, mêlée d'éléments graisseux ] organe ments fibre-plastiques en proportion variable; mais les parties essentielles et constituantes de \ . _ \ pas ici de cette augmenmaladc sont noyées, pour ainsi dire, dans cette guitgtœ fibroïde. Nous ne parlons tr0p pas- tation de volume qui est la conséquence de l'hypérémie inflammatoire; elle est généralement sagère pour constituer autre chose qu'un simple engorgement. Cependant il est une variété de cette hypérémic qui se tient, pour ainsi dire, sur la limite entre l'afflux sanguin exagéré, compatible avec la nutrition, et la gêne circulatoire qui accompagne l'inflarnmation. C'est cette hypertrophie lente et graduelle qui succède à des contusions peu violentes, comme par exemple dans bon nombre de cas d'hypertr0p11ie partielle de la mutuelle. D'autres fois cet appel exagéré du sang, qui a pour conséquence l'hypertrophic, est le résultat d'une inflammation qui s'est complétement dissipéc. Chez les scrofnleux on rencontre parfois ces produits osseux d'une périostite si abondante que, par suite de ce travail hypertro- dé (ll, phique, l'os ancien paraît connue emhoîté d'une couche osseuse de nouvelle formation. il faut être prévenu, en outre, de ce fait, que la marche des phlegmasies n'est, sous ce rapport, en aucune façon exclusive, et que le même organe enflammé peut offrir dans une de ses parties le ramollissement, la suppuratien ou l'atrophie, tandis que dans une autre il présentera l'induration ou l'hypertrophie la mieux caractérisée Le système osseux nous fournit sous ce rapport encore des exemples fort instructifs. Nous touchons de nouveau ici a un des points de contact qui existent entre la nutrition et l'inflam- mation, en voyant succéder à un afflux sanguin augmenté, tantôt une exsudation phlegmasique, tantôt une exsndat10n nutritive hypertrophiante, tantôt enfin un mélange, à proportions variables, des deux sortes de produits transsudés. &lll L atroplne consecu‘tive il 1 Inflammation est bien plus fréquente que l'hypertrophie. Elle est, du reste, tlii comme consequence hualc, dUC 2'* la "éllni0n complexe de plusieurs causes. L'exsudation a remplacé, en )l‘ \ ' ; w ' ) ; ( - . ‘ . _ . q. . _ _ conserver et renouveler les éléments bM‘siolo- n "" "'° "…"… q… de…" '.…"L'd'm1il' "' 'manUdd'm . e, Hou-seulement ne fournit que peu ou point de . - - phlegma51qu . " que le produit .… tandis ,,nri(1 u es cm eigane, mat'r' ! 1enaux1"epmatem ‘ }s, " mais' distend et comprim ' ' e même les eléments primitifs de l'organe. Il v a donc a' ' a 015 interruption ( e la( réparatio . n et d estructio * ' n des tissus ' . àr i ' ' " - ' * ' revenir à leur état normal- la circqu t' ' ' ' e '0u'e'el' ceux Cl Pe…ent,depar la S…œ' nouveau y une fois rétablie, les éléments nutritifs pellVefll a til uer , e t1*rec } tango ( ent1e ‘ 'les ‘" ‘ mateuau ‘ ' & x10nfiais -'- et usés peut alors s'opérer. Mais lorsque la compresst0fl; toute Wii 1physique l. , ‘ et . mécanique .qu'elle est d'-abmd, ‘ a un peu dmc, -' les éléments lnstolog ' ' 1qnes de l'organe a a( c ( ispaiaissent en partie par absorption, et c'est alors que l'atrophie devient inévitable Du reste, . cette compre. ssion n'est , , pas toujours inte […stitielle, ' _ , . . v " ' elle peut av01rheu de dehors en dedans comme pourle poumon qui, ayant ete pendant lonfitem l " ' ' l'étique finit )ai'sa , t ro 1 _ P o PS € Siege de la compression par un abondant épanchement pleu- » - 01ganes - a } P nr. e a"…' les i)arench_vmateux (lue l'exsudation réduit considérablement .n4u- & -i ,., .i..'. .'_. --.- VV i._...,è_.,.,"*.",‘u‘u4w'+u_"*_J_' . 4 ..i +.jg Qu‘.+ ;-+_ _u+-iu+-Ji.4«_«s.-. ht} |