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Show -y-o ..... .. .\ .o.u.+ -. \__,_, -vm-o npv-U .er-v ...-V.. … .. .. .- ,.+. ..0. ,....._. _ A rechel‘°hes' la me ANATOMIE PATHULOGIQUE GENERALE. 132 essentiellement ce mme des productions ne sous le nom de condylomes, grand ces affections, connues en Alle mag ondie de ces p reductions sur un très ans, une étude approf fibroïdes. Nous avons fait, il y a quatre de Lourcine, et nous l'hôpiteil du Midi, les autres de l'hôpital nombre de pièces provenant, les unes de 1 pouvons-nous donner d'en examiner de temps en temps; ilü55 . _ _ '. n'avons cessé, depuis bien des années, faits nombreux que nous avons observes. des e dèl fi l'expression comme la description su1vante aires sans enveloppe qui existe entre les végétations papill Nous insistons avant tout sur la différence deux non-seulement des épidermique commun; il existe entre les commune et celles munies d'un enduit. ations ordinaires des différences cliniques notables. Les végét différences anatomiques, mais encore bien autres, entre e vénérienne; on les rencontre fréquemment, ne sont pas, dans la majorité des cas, de natur t pendant laten elles existent à l'état ance, ont le pré puce très étroit; / _ sur legland des individus qui, de naiss -' _ ' \ . loppent fréquem_ la suite, le caractere cauet …de. Elles se deve de longues années, et peuvent prendre, par - nes papillaires plates, couvertes d un enduit epider ment à la suite de la blennorrhagie. Les hypertropl ent d'origine plaques muqueuses et sont ordinairem . mique commun, constituent plus particulièrementles \ ce, plutôt a la surface interne qu'exté- syphilitique. Les végétations sont surtout fréquentes sur le prépu sur les grandes ; on les rencontre aussi a l'entrée du vagin, rieurement, et autour de la couronne du gland ' ' \ 7 ‘ ala face a e d e l anus, des cuisses, sur le périnée, dans | e v0151n g levres, a la partie supérieure et interne col rarement à l'entrée de l'urètre, quelquefois à la surface du interne des fesses. On les observe plus ‘ ' n les sur ent enfi ii dans la bouche et sur la lan ue , _ q elles, 31|151 utérin, près de son ouverture, plus rarem ,g. , . l' ( s ( orm Ô ne venenenne , q ui , ( lu reste, ont utérin, on remarque plutôt les plaques muqueuse fois assez €P3‘5°e' et les empêChe, P‘ fois, dans ces cire des papilles seuls Un médecin dis avaient leur 519%€ ./ le les ai trouvées reconnues aussi 6 plaques muqueus Nous n'avons [ ment de ces végé Cl‘ll€5 sous le noi mètres 7 atteignan la matière Sébacé b 0 uch0fi de mat'. encore en fare…. ' \ \ \ ' r _ . que sur le col de mentionner, prédilection que nous venons de nes sig res aut les s tou également filiformes, COn5lituer une aggloformes variées: elles peuvent être des ont es lant sail ons tati végé Les rapprochement qu'elles sont en plus grand nombre, un lors r, offri , lles papi de bre nom t peti mératiou d'un e agglomérati0n d'observer, autour d'un que framboise; il est fréquent pres u gren ct aspe un e, plus dens ées. Leur surface est ordiun certain nombre de végétations minces et isol plus nombreuse de papilles, s approchent des membranes nairement plus sèche sur le derme; plus humide, plus molle, dès qu'elle La forme en crête muqueuses; celles qui sont cachées par un phimosis tiennent le milieu entre les deux. mécanique de l'uplatissement par deux sur… de coq, si fréquente dans les végétations, est le résultat tout tàlfl partie meu ' dit qu'en 1849, deman . dons. 5.11‘ "n ulame lzcns s foldiro ptosz Nous l ues mu uen lΑ"l . ‘ll _ '_eÀÇIS'On_OU aux sunulerd1verses t (] trouvera ans c % "_ tion de la femme, mais faces rapprochees; aus51 les observe-t-ou sur les parties externes de la généra Lorsque les végétations surtout autour de l'anus, dans les endroits où les fesses sont les plus rapprochées. - "" descripti01 .-\.-( re parfois f01ment de véritables épanomssements hennspheiiques ou iiiégulieieinent convexes, on rencont ‘ a" quelques ' ent guere, "atteign " ny " s isolées 'e. Les" papille a m‘u r e a-‘l a bas g ementouder unees p ecedé‘ tranl ' '- . ' 1 ' ' . ' ‘ ' ‘ . .' - . Canicroidcd - " . , \ moins larges exceptions pres, une longueur au dela de l a 2 inillimetres; elles sont ordinairement moitié que longues, leur extrémité est tantôt pointue, tantôt cylindrique, quelquefois élargie en forme de massue. Plusieurs, et ceci arrive assez fréquemment, reposent sur une base commune, et quelquefois elles se s denses, on vmt que soutrouvent egalement réunies parle sommet. L0isqu on eca1 te ces agglomerahon . . , . . _l A . meme la 1eumon d'un certain nombre de papilles \ n est que l'arbonsat10n_ secondaire d'une base veut / , _ _ faibles grossissements miaplatie, feuilletée, plus etendue, de même que l'examen a la loupe ou avec de _ . . , « . .. 1ques demont1e que des papilles, en apparence simples, sont en réalité composées de l'agglomé- cro=cop . . 1 _ y " . iut10n d un ce1ta1n nomb1e de papilles. Il n'est pas douteux pour mOi que le mot végétation ne puisse ! / ' ‘_ ‘ , , / ‘ _ . | ! ' . ' (' 4 - : i _ o On peut adm< .matio. ' n C est d' , ‘ " 'e‘ ' ' Slmpleb \ege de la peau dans . s entend1e, en c1rconstances pareilles, comme d'un véritable bourgeonnement de papilles de nouvelle ! _ deur et a l'ulc'ei formation. Si nous analysons la sti ucture de ces papilles au microscope, nous trouvons une calotte épidermique épaisse, un centre fibroide dans lequel l'instrument fait reconnaître des noyaux qui tiennent le milieu entre ceux des fibre-cellules des muscles organiques et ceux du tissu fibre-plastique. Ces éléments sont nourris par des arborisations vasculaires dont les plus petites divisions ont entre 1/50c et 1/d0e de milli- métre de largeur, et qui se multiplient en proportion de l'augmentation des végétations. Or, on comprendra tres bien qu'un arc vasculaire qui se forme, par une espèce d'évagiuation, a la base ou sur les côtés d'une papille, pousse au-devant de lui un peu de la substance fibroïde du centre avec l'enduit épider- l'infil'mliûn ép' tumeurs épider; parties qui, à1‘ mique de la surface, et qu'un punit, dans le principe légèrement saillant, devienne peu a peu une véri- , tion. ; ' le de nouvelle forma Les plaques muqueuses, plus plates, plus unies, ont 7 d'après nos t'able pipil le Up.cit.,p. 25 lcu…œ débuta C'est dans cette dans les glande au lipome, 5) ft … -VEdicinisc/ze. sur. PAT…) , \ -,*. W.! wÏ: .u< "A‘-tvho-un‘u..4 ._.. .- -_s+-.ao-» :4a,u--.i.,.i,.x+-;_t» .,, ., |