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Show QUE GÉNÉRALE. ANATOMHEPATHOUNH ificahon des tissus. De grands obstacles y ait point de mort n i qu et ' , lieu "l r avoi ion dans les parties sudation puissent de ., ez prolo ngé l'inflammat , % l'ex . e pendant un temps ass s‘0pposeut également a ce que] on sun on, que lhy pérémie initiale et son Il "et…-]'ions, de cette faç nous s temp du art plup La s. transparente . «7 e. ' ": iflt‘ a" l'état ]ililr-.emnasiru 1 bd.-s veint aHer la ci1 \ seau: classes pour étudier ces phénomenes. La grenomlle est devenue des] ‘ On a fait choix d'animaux de diverses ‘ , _ smlog1e. tant d'autres questions de phy r pou me com s, ence péri d'ex e classique pour ce genr ériences, il n'y a pas d'animal suppuratlo n. D'après nos exp la a preter se pas ne de he Un lui a reproc a vou . cher davan-. \ rappro , lu se ie que sur la gr euouill e. On gén pyo la er di d'étu aisé plus é isoit il t s] mamm sur lequel ,,de . Jeune . MM MMMMÀÊA ' ::‘M.AA AAA . A ; .. } ' flñâ‘àñ ‘ tere mentahon. Le i neseu nt des mammifères pourl'expéri ssa isi cho en e omm l'h de e tag onvemen s, a pr pa- tenbrunner, ofl're de graves mo Kal et h Koc , ret Leu par but fères, emplové dans ce alterat10ns, des 1844, dans rb on. J'ai étudié la circulation et ses ration amenant ' une trop grande pertu ati . ,.\ . . un avantage sur l'étude ' l'ai de_1a dit (1), je n'ai trouvé là auc l'aile de la chauve-souris: mais, comme Je tiré bon parti, et Wharton cieu 5. Cependant Paget en a expérimentale que l'on peut faire chez les batra ériences (2) les chauves-souris ses belles exp . ' îRRa JM,… ... - . '* ' ' ' » fi » fiñAA'AA'ÔΑAAAAAAA , ilya estp ]) avan ddat phm a ac er sur Jones s'est occupé, dans ces derniers temps, à répét on chez les mam mifères, dans des parties non Des études expérimentales ont été faites sur l'exsudati Prév n transparentes, par Reinhardt, qui a suivi la for matio du pas chez les lapins. Mes expériences récentes lahe tr ansparentes des grenouilles offrent l'avantage saison surtout, et de fournir des résultats sur l'inflauunation et l'exsudation dans les parties non d'être très faciles à répéter par tout le monde, pendant la belle de c Struve, de Broca , sur l'irritation de la cornée et trés nets. Les expériences de Redfern, de Virchow, de par sang et les changements primitifs du cartilage, ont démontré l'iiiipOi‘tance des troubles ini tiaux de diffusion, ' '\ don ou phlegmat01de. des éléments histologiques cellulaires dans le travail phlegmasique irrite. Pour ce dernier pomt, nous Il est essentiel de bien choisir l'agent irritant et l'endroit que l'on l'inflammation (3). Ce phyavons trouvé une idée ingénieuse et utile dans un petit travail de Prévost sur uire l'inflammation , non sur siologiste distingué conseille de porter le fer rouge, dont ilse sert pour prod delz cir01 des acét N rons de la partie la membrane interdigitale elle-même, mais le long des doigts. De cette façon, les vaisseaux sont transparente ne sont pas directement lésés, et le travail inflammatoire est également très vif. Jusqu'à ces derniers temps on cherchaitplutôtà agir, par les divers agents , sur les vaisseaux capillaires seulement. Wliartmi Jones a le grand mérite d'avoir largement appliqué l'expérimentation sur les artères et les veines également. Nous citons ici quelques-uns de ses résultats sur la coustriction et la dilatation des \aisseaiix, selon la nature de l'agent stimulant. ]" La coustriclion s'opère lentement, et les vaisseaux reviennent lentement à la largeur normale, sous l'influence d'une solution de sulfate d'atropine, dans la proportion de 15 à 20 centigrammes pour dixi corn long un] inté piqt obU véri 30 grammes d'eau. h 2' La constriction arrive promptement et cesse de même, par l'action modérée du froid, par l'irritation par mécanique, soit par pression, soit parirritation galvanique. de( 3° La constr1ction de l'artère n'a pas lieu ou n'est que très passagère, et fait place à une dilatation notable sous l'influence des agents suivants : une solution de sulfate de cuivre (1 gramme sur 30), avec (ht rést addition de vin d'opium ('t grammes); une solution concentrée de chlorure de sodium. La liqueur sédative üqu de Battlev produit d'abord une constriction des artères, mais la dilatation survient promptement; il en est de meme (1 une goutte d'esprit-de-vin. . . _5 , r ' ' . , … ljtæ:ïp e ou non par une constnch eÎfl}ïp@îï i"pigcede on momentanée, passe lentement à une constriction san; SGP( il"… des …iZ-,seaux .ÏÏeËÏËZ,ÏIÏÂËZï: ZZÎLËMÏe de sulfate, de cuier Pmduite par l'attouchement . &. section d une artere, d'apres le même auteur et ‘ ‘ d'après mes … )reñ e- ; . 1110…0nt. ( p 1 lxpmences, pi0dUit une constnctmn notable des deux côtés; la circulation est pu,. les 3:21?leÏ;ñïî:_£îîl:î:£ïïuollgnê dure ,que bien peu de temps, et la circulation se rétablit prec1p1te en haut dans la première artère collatérale; en bas, il .tiss< . , | _ '. . \,x - entre du s…… tL pai un flux retrograde; il y a iwégurgitation du côté des capillaires et des ,, dans ldllL imp 4 L., cire \l l‘/:jjv[u/uyiflIntraday/que. Paris. 181i5, t. I, p. 60. \2,‘ Mug/'s Aux/lim! lteyo7‘ts, vol. \‘ll, part. l, p. 8 et 0. (:$ .llI'l/t [l'/TN ([Ü [" . \lJL‘I"" [ P' ]) , t y»tqt1t 7 \‘ . ' ' ‘ [' '] ' Il!S[U! 7'Û 7lflfll?‘0ll"« dE (! 671€!) .. , t . "‘ (' , 1898 _ . _- '.:"4'74'V4'W: "' »' N : - -- _J__4 , ,, -..,,\;æ:fl[ ...,m .,, .)ç…,_,w,-; M,," ‘ " *""+J.u+-ixe-.,.,ç‘uluvc .J».£,.},\,_,_.{ç,*__J * . v 7 p . 1,19 el S Il V . . |