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Show ANATOMIE PATHOLOGIQUE FPÉClALE_ ur valeur, ni po les noyaux volumineux de grands des globules muqueux soit de très jeunes cellules épithéliales, soit nn essentiel a co et particulier que l'on a désigné feuillets d'épithélium pavimenteux, et l'on en a fait un élément. nouveau . , I - . . épilhéhalé sous le nom de globules muqueuæ. On peut, du reste, se convaincre arsement quela secrétmn x ( plus normau n étudie le développement et la n'est nullement liée d'une manière nécessaire à celle du mucus, lorsqu'o ue l'acide acétiq ium. La régénération de l'épiderme, dont la nature physiologique est la même que celle de l'épithél t le plus souven a décrit comme seconde erreur, que l'on a commise encore plus fréquemment, consiste en ce que l'on & globules E: un globules du mucus ce qui n'est autre chose que des ce llules du pus. Comme l'observation, même de incomplète, a pourtant conduit à montrer la grande ressemblance qui existe entre ces deux espèces corpuscules, prétendus différents, on a été forcé d'avoir recours a des caractères distinctifs tout à fait du pas; artificiels. Les uns ont décrit les globules du mucus plus grands, les autres plus petits que ceux on y a tour a tour signalé la présence ou l'absence des noyaux, etc. Ces caractères différentiels, du reste, devaient être contradictoires, puisqu'ils étaient le produit de l'imagination et n'existent pas dans emi=agés comm 60h la nature. Déjà, pour nous, ces cellules sont identiques et ne peuvent pas constituer deux espèces de globules. Du reste, beaucoup de membranes muqueuses, surtout celles des fosses nasales, du larynx, de la hachée-artère, des bronches et des organes génitaux, sécrètent du pus dès qu'elles deviennent le siégé du travail phlegmasique le plus léger, et ce qu'on a désigné sous le nom de catarrhe de ces diverses membranes muqueuses est constitué par une véritable inflammation, souvent, il est vrai, superficielle et légère, mais toujours accompagnée d‘une sécrétion abondante de véritables globules du pus, mêlés toutefois d'une quantité plus ou moins considérable d'épithélium. Ne perdons pas de vue que, sous le rapport clinique, la formation du pus sur ces membranes muqueuses, exemples ordinairement de toute espèce (l'ulCémti0n, n'offre ni l'intensité des symptômes que l'on observe dans d'autres phlegmasies accompagnées de suppuration, ni la gravité qu'offre la sécrétion purulente dans quelques organes internes. Le pus des membranes muqueuses est intimement combiné avec un liquide gluant, émollient, et, pour ainsi dire, protecteur des surfaces qui le sécrètent, nous voulons parler du mucus. De plus, ce pus, devenu ainsi bien moins irritant, est versé sur une de force moyer donné le nom plusieurs, ils (] s cellules de pu n volume, leurs sont des globu surface des mu &" L'épithél si souvent les notable, on trc entre 0""",05 0""",015 de lc intérieur. On v pâle, et avec t lules sont bea certain nombn mais que l'on quefois on ren pagnée de la formation du pus, elle montre malgré cela moins d'intensité, et ordinairement des sym- … que beauc mure-pus, d… L'étude (1… avec laquelle ( ptômes locaux moins graves que beaucoup d‘autres phlegmasies. Ces catarrhes ne sont donc qu'une variété de l'inflammation; aussi, en cas pareil, le sang ne montre-t-il pas une élévation notable du Il est importer qu'elle peut se chiffre de la fibrine, tant que cette inflammation n'a pas acquis un certain degré d'intensité. plutôt de l'épi surface libre, sur laquelle son excrétion capillaire ne rencontre point d'obstacle et ne donne point lieu à des signes d'étranglement; par conséquent, si l'inflammation de ces membranes muqueuses est accom- Nous profiterons de cette occasion pour montrer combien la médecine clinique doit tenir compte de la diversité de valeur pathologique de la même sécrétion, suivant le tissu et l'organe dans lesquels elle a lieu. Nous voyons ainsi qu'un panaris peu étendu peut produire des douleurs vives et prolongées, tandis que la sécrétion d'une quantité de pus vingt ou trente fois plus considérable sur la membrane muqueuse nasale, bronchique ou vaginale, n'occasionne presque point de souffrance et ne jette souvent pas le moindre trouble dans les diverses fonctions importantes de l'économie. Mais, dansl'un des cas le pus est sécrété au milieu de parties fibreuses, renfermant beaucoup de fibres nerveuses; cette inflammation suppurative produit les accidents de l'étranglement dans la peau, dans les tendons et dansle périoste, et peut ainsi s'irradier au loin, tandis que, dans l'autre cas, le pus peut être rejeté de l'organisme avec la plus grande facilité. Les globules du pas cependant, dans l'une et dans l'autre affection, sont identiquement les mêmes. On comprend, d'après cela, que les diverses docimasies proposées pour distinguer le pas et le mucus ne peuvent avoir aucune valeur, ni pratique, ni pathologique, puisque les membranes muqueuses, irritées, montrent si souvent les deux éléments unis ensemble, et n'offrent que des différences de proportion de ce mélange. 3" Les cellules de pus constituent donc un des éléments principaux de l'expectoration, et après le mucus c'est de ces éléments le plus abondant. Elles se rencontrent aussi bien dans le catarrhe bronchique léger que dans la phthisie tuberculeuse la plus avancée, et n'offrent par conséquent point une grande l'arrière-bouc une espèce (] clinique deg , trouvant p…. ] d'épilhélium Phal‘i‘flgîte chl état des Capi g10bules du 5; montrerait l'a Dans (le… ne m'étais p; l'avait d'ab… nasale, et on un Ôpithéliun quef0l5 des Quantité. Q… u6 € Cy1indl‘lq 5° 011 trc ANAT. PAT} |