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Show MALADIES nu concu. . y ration 5 , " 33 . _ _ 9XP°5é plus haut. L aggtavatmn souvent subite que 1011 observe dans tous les Symptômes tient plutôt à m "cations accidentelles et l'on - '- _ A, . °°…P‘elld que toute gene cneulatorre nouvelle augmente les tlbinés des CO P idant, ' es. Le , . develop . pement des altérations valvulaires produit cette ag gravation d'une manière troubles cardiaqu plus lente, mais la penca1drte, . les coagulattons partielles dans le coeur, les alté rations graisseuses par- es, ce '_ / ' tielles de sa substance musculaire, l'endocardite, provoquent des troubles plus subits. Une pneumonie -ci n'a et une pleurésie, d'un danger bien moindre dans d'autres circonstances, deviennent fréquemment mor-telles lorsque l'hypertrophie est avancée |mine, Nous nous contentons de ces quelques remarques de physiologie pathologique, des détails plus complets étant plutôt du domaine de la pathologie spéciale. 17 cas urnes; Nous ne pouvons nous empêcher d'ajouter encore quelques remarques thérapeutiques. C'est ici autant que les études étiologiqnes prennent toute leur importance: par exemple, une nutrition primitivement exagérée chez un individu fort et robuste réclamera de préférence des émissions sanguines géné- éñeh; rales ou locales, modérées toutefois, combinées avec la digitale, avec l'eau de laurier-cerise, l'acide cyanhydrique, ou mieux encore avec les acides minéraux; les purgatifs salins intereurrents, un régime onduü tricule plutôt végétal, autant que possible le repos ou un exercice très prudent, sont de rigueur. Le choix de la profession est ici très important pour des jeunes gens, et il faut interdire toutes celles qui demandent de dculo- grands efforts musculaires ou respiratoires, ou qui exposent lesjeunes malades à une haute température. 20 et 5 deux Toutefois, sous ce rapport encore, les prévisions rationnelles de la théorie ne sont pas toujours confirmées par l'observation. gens; J'ai donné des soins, à Paris, à un jeune homme qui avait une hypertrophie commençante du ventri- 3ertr0« 50 que cule gauche, et qui, étant au début de sa carrière d'ingénieur des chemins de fer, voulut essayer, pendant quelque temps, de servir de chauffeur pour se familiariser avec cette partie de son service. Avant de Vokfi prendre ce parti, il me demanda conseil, et je l'engageai à s'observer bien attentivement pendant une quinzaine de jours, et a continuer ou à cesser selon l'effet. Eh bien! ces occupations, pénibles chez unjeune homme qui, par sa haute naissance, n'y était nullement habitué, non-seulement furent très bien supportées, mais n'entrainèrent même aucune suite fâcheuse. On devra traiter avec bien plus de réserve, quant à ce qui regarde les moyens affaiblissants, les hyper- trophies accompagnées d'une altération valvulaire, de l'adhérence du péricarde, et d'une endocardite antérieure présumée. La digitale pourra ici être d'un grand secours, mais on sera souvent obligé de la combiner avec les amers et les toniques; les narcotiques et les préparations opiacées deviendront plus souvent nécessaires d'une manière intercurrente. lixiste-t-il un emphysème pulmonaire étendu et ancien, l'emploi de l'opium ou de la morphine sera utile, et ne pourra être que momentanément remplacé par le stramonium ou la belladone. La digitale sera également combinée, si le malade est affaibli, . té plus a, dans avec le quinquina, avec l'éther, avec la liqueur anisée d'amrnoniaque ou d'autres préparations quantité. vulaire, dsserais Organe, entre le s consias, dans doivent tiennent ; cavités Quant au traitement symptomatique des accidents hydropiques, inflammatoires ou autres, les sédatifs et les purgatifs seront préférés, dans la majorité des cas, aux émissions sanguines. Les vésicatoires con- viendront dans les inllammalions thoraciques locales ou dans la péricardite; les hémorrhagies seront combattues par la combinaison de la digitale avec le tannin ou l'ergotine. Nous donnons enfin souvent le conseil sur lequel Stokes insiste fort judicieusement dans beaucoup de passages de son livre, qu'il ne malade lorsqu'on découvre fa… pas Changer trop brusquement et trop complétement les habitudes du une hypertrophie jusque-là méconnue. que l'anatomie N"ä-l-On pas, dans cette bien courte esquisse, une nouvelle preuv e de tout l'ascendant e mbiné avec les résultats Path0l0gique peut prendre sur la thérapeutique, lorsque son étude est sagement 00 des observations au lit du malade, et avec l'appréciation des éléments étiologiques? aisseauX n raison as accès aisseaux l'avons :" \". -fitrtpphic (lu cœur. - - el 1 e constitue une t . . l affection encore - du cœur est rarement congénitale, plus rarement et bien L ‘ atroplne _ «, _ ) ' . ' . . a _ de deta1l sur les etangernen s ldmpalhlque et essentielle. Nous possédons surtout des observations . . "& AMT. PATHOL. - 13° LlVR. Ri ammoniacales; le régime sera analeptique, et des vins généreux seront même permis en petite ération ""‘ÀQ; f"f"\ difficile ApAQAA,A/‘A'A'ÏAA [ natu- |