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Show ""' "'" -*ü.r-+- :. MALADIES DU COEUR. ., ; - Sidérable; l%étations. âme cœ… lt se ren_ nous leur avons trouvé des adhérences faciles à rompre avec les valvules ou - , - * "… san Ï.eÏ» (lilleque "'…e P…… de l'endocarde cavitaire. Le système veineux était généralement (forgé de pisies prouve combien le trouble dans la circulation veineuse esta profond L'gh ; ""q'uenc'e'des hYdm- a ete constatée y top1s1e ' . ._ . . ' ' dans q uinze .fois sur vin0t- 0 .q uat re .- atnsr, les cinq hu1t1emes des cas, il y avait toujours anasar % äe Suivant ule gauche pasdmoms dle sept f0|Î,) on a rencontré l'ascite, à peu près aussi souvent l'hydrothorax, et plusieÎËf(fis‘ ' ' ' et la face étaient -- . - les mams (; cîs'ecîmplicatÏn m u mona1 . dïû;gäfäïüâï äîgül_es œdémateuses; il y avait, dans renflés et Les voies respiratoires étaient bien - ‘ des autres glotte, survenu promptement, avait hÎäîëlÎrbfff‘f1aldÎtræiîlié?ïleïbl‘ary'f1x; u'nfe' seule f0151'Œdème de 13 dans leur muqueuse; celle des petites bronches surtout était souventlhonc' ‘(és Êîîdlent‘sc'uÿem' hypérémlées en épaissi, ant libre…; ?, tres…Jecœe,recouvefle ypel'm' ‘ ' ' des cas; . Jamais nous n'y avons trouvé purulent, mais sans être ramolli e dans la mayor1te d'un ,mucus d'ulcerat10ns. ne simple Les poumons étatentfréquemment le siège de foyers apoplectiques; nous en avons noté l'existence ;. '\A;"A‘A' …. 372 a *AAaAsA… ,r'\ ituant des dans unquart\des cas. Pourtant cette proportion devient plus forte encore lorsqu'on tient compte des a dans nos apoplex1es légeres et peu étendues. L'apoplexie était ordinairement lobulairc, quelquefois plus étendue, e de date oéricardite ricarde est ni du péri. faits de ce genre; il occupait une grande étendue, et, d'après une analyse clinique faite avec beaucoup de soin, il était plus ancien que la maladie du cœur. Nous avons déjà vu plus haut qu'une hypertrophie générale du coeur, sans altération valvulaire, était également une des conséquences de l'emphysème ; nous use, atteint avons vu plusieurs fois aussi des cas dans lesquels cette maladie des vésicules pulmonaires avait entraîné, l'influence outre l'hypertrophie, une altération des orifices du cœur gauche. Ainsi, pour nous, l'emphysème est une des causes productrices directes, actives et puissantes des maladies du coeur; il provoque d'abord l'hyper« trophie générale du cœur dans ses parties musculaires etfibreuses, etplus tard une rétraction des valvules avec insuffisance, ou en même temps une calcification avec altération de l'orifice, qui ajoute le rétrécis- delaquelle es derrière gauche et volume ou Welles nous altérations sement à l'inocclusion. Nous avons déjà insisté plus haut sur les difficultés que présente l'explication de de l'orifice que, dans plu- thorax comme accompagnant fréquemment ces affections; nous ajouterons seulement pleurésie avec sueurs cas, l'épanchement séreux était mêlé avec du sa ng et avait une teinte brunâtre. La adhérences les épanchement liquide ou pseudo-membraneux a été notée tr ois fois, dont une fois double; pertr0phie ormale ou du cœur. ce rapport de cause à effet qui existe entre l'emphysème vésiculaire et les maladies organiques et en Nous sommes frappé de ce fait que, dans aucune de nos observations, des tubercules récents marche progressive n'aient coexisté avec des altérations valvulaires. Nous avons déjà mentionné l'hydro- lroit. Dans ns. du poumon étaient des plus fréquentes dans toutes les espèces de complicatio eule fois le Lions même développement simulLe foie était généralement gorgé de sang, d'un rouge plus ou moins foncé, avec différence tané dela substance sécernante jaune et de la su bstance vasculaire, circonstance qui rendaitla il était plus dur, entre elles beaucoup plus marquée. Dix fois en tout l'hypertro phiefldu foie était manifeste; saillantes, plus compacte, plus volumineux que dans l'état normal; les granulations étaient légèrement pas que nions sans l'être cependant, à beaucoup près, autant que dans la véritable cirrhose. Nous ne telle n'est pas la celle-ci puisse naître quelquefois d'un état primitivement hyper trophique, mais trouve qui accompagne les maladies du cœur. Lorsqu'on cette règle. une cirrhose avancée, elle est plutôt une complication que 13 COHSéqUCDUG de FaffeCli0" cardiaque. A scaractères tississement Zürich, où la cirrhose du foie est rare, nous ne l'avons pas encore rencontrée une seule f0i5 dans nos siége f0ie € st assez souvent le nombreuses aut0psies de maladies du cœur. La surface péritonéale du . v, . . . la vesrcule (] u fiel, laquelle, la ' ' qu1- se rencontre ausst parf01s dans la paror de ement partiel d , "Il épflŒ. stss r s rencontré une fois un aspect fort emarquable Pl"Pal‘l du temps, renferme une bile normale. No us avon généralement adie organique du cœur. Il était du f0Îe chez une jeune fille qui avait succombé à une mal s dans son intérieur, rouge brun; il renfermait qu elques ecchymose anche était droite était ts les attri- l une règle anse quel- les derniers i plus tard, lequel nous quelquefois marche ordinaire de l'altération du foie, hypertrophié, sa surface était d'un mais nous par réseaux; sa subs tance était ferme, é dispos noir nt pigme de e notabl té quanti une et s nous ont paru sanguins, et les vaisseaux capillaire de globules ne Pûmes trouver dans ce foie 125 ANAT. m‘rnoc. _, la")" len. a A-.- _ ___-_..- »_..- ,. rt par une ne présentant que des foyers peu nombreux, quelquefois multiples. La pneumonie a, dans quatre cas, hâté la mort; elle ne nous a point paru affecter de prédilection pour l'un des poumons. L'emphysème pulmonaire a existé six fois, et nos analyses sur ce point sont loin de renfermer tous nos Afin"FMS «  ÂÂÂAA teuse, une |