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Show ; d'admettre ces fait s MALADIES DES BRONGHES. enfants, et surtout de mettre en usag e des mo yens afiaiblissants. t véritable autagonisme contre la phthisie n'exerce une action sûr e. Les moyens les plus vantés sont : l'iode, l'huile de foie de irs fois, a l‘autopsie, individus qui avaient mercuriaux, les sels de plomb, de fer, de cuivre, , . . le soufre, ] alun, les acide s minéraux, l'huile de naphthe, et, p armi les remèdes végétaux, la myrrhe, les balsamiques, le fenouil d'eau, le goudron, etc. Quelques marasme. Son empl01 est utilement combine avec l'usage des amers: quassia, mousse d'Islande, et surtout avec celui du fer, meilleur tonique dans une maladie qui entraîne constamment une diminution notable de la quantité des globules rouges du sang. Toutefois son usage est surtout utile chez les femmes chlorotiques et anémiques, et iiuistblè dans la forme aiguë, ainsi que lorsque le caractère inflamm atoire auteurs, et nous avons prédomine. us toutes leurs formes ne de la rougeole. Les Les antiphlogistiques ne sont de quelque utilité que dans la premièr e période, lorsque la fièvre, la dyspnée et la toux sont intenses, ainsi que dans l'hémoptysie et les inflamma tions intercurrentes. En thèse générale, il ne faut pas en être prodigue, parce que tout ce qui afi'aiblit la constitu tion accélère la marche de la phthisie. Il faut être sobre aussi des émollients en boisson; ils ne conviennent que 'culisation pulmonaire, dans les inflammations intercurrentes et à une période avancée des accidents gastro-intestinaux, Les narcotiques sont utiles, indispensables même, mais n'ont aucune valeur curative. L'opium avec ses préparations diverses est au premier rang pour combattre la toux, l'oppression et la diarrhée; tous les autres narcotiques sont d'une action bien moins certaine. Les amers et les toniques, tels que la mousse d'Islande, les préparations de quinquina, n'ont qu'une action palliative restreinte. Le fer pur ou i0trè Traite' des maladies l'iodure de fer leur est préférable lorsque le traitement tonique paraît indiqué. Les astringents ont été it devenir fort utile, en igissant principalement cules, et celles qui sont soulager enfin, pendant . un régime nourrissant & de l'hygiène. La diète des bons aliments pour >uper avec de l'eau de ‘ la phthisie. Une diète les inflammations interrriture. Ils doivent être le séjour à la campagne à ms le midi, à Cannes, tisiques dont la maladie aux es salines, et quant succès. i quelques beaux de la le développement rement les lever trop du prix e rs temps un . . dans ces demi gutwn t nan la de ce ' [Je l'influen on11168).--0nc 75 p. X ‘\' !‘ rr… s maladies md ‘P'di'calrs et de vantés, surtout contre les symptômes colliquatifs, la diarrhée, les sueurs, etc.; mais leur action n'est que tout à fait passagère. Parmi les révulsifs, ce sont les moxas multiples qui comptent le plus de partisans. Parmi les moyens proposés pour combattre la toux, l'opium est le plus efficace; une de ses bonnes préparations, dans ce cas, est l'élixir parégorique. L'extrait de belladone, l'eau de laurier-cerise le remplacentquelquefois avantageusement. Les vomitifs peuvent être utiles contre la toux des tuberculeux chez les enfants, on doit cependant être sobre de leur emploi. Il n'y a point de remède spécial pour l'expectoration. Dans la toux sèche avec expectoration difficile, l'infusion d'ipécacuanha ainsi que le chlorhydrate d'ammoniaque nous ont rendu souvent de bons services. L'hémoptysie réclame l'usage des émissions sanguines et des astringents : Extrait de ratanhia, eau de Babel unis à de petites doses d'opium; de plus les dérivatifs, le repos, le mutisme momentané, une diète sévère, et, pour l'hémorrhagie très abondante, l'application de la glace sur la poitrine ainsi que son usage interne. La dyspnée et les douleurs thoraciques cèdent surtout aux dérivatifs et aux opiacés; ils réclament au besoin des vésicatoires. Le meilleur moyen contre les sueurs colliquatives est le sulfate de quinine. L'affection du larynx nécessite quelquefois des émissions sanguines locales, modérées, des vapeurs émollientes, des frictions ammoniacales, au besoin l'application d'exutoires au cou; de plus . . . l'usage des opiacés et un mutisme complet. La cautérisation n'y est guère utile. ordinair e, Les inflammations pulmonaires et pleurétiques intercurrentes réclament leur traitement mais très mitigé et modifié surtout selon l'état général. Le traitement palliatifde la perforation pulmo- . . nécessder, naire conmste dans l'emp101 des op1aces et dans le repos absolu. La gastrite chronique\ peut en mais Vives; tres au début, l'application de sangsues à l'épigastre, surt ont lorsque les douleurs sont de médica- . , celui son traitement consiste plutôt dans l'emploi d'un régime approprié que dans . ' . , ‘ ' général la decochon blanche de ments. Les moyens les plus usités contr e l'entérite des tuberculeux sont . donner d'a rgent, etc. Il faut Sydenham. l'opium seul ou uni avec l'acétate de plomb, le colombo, le nitrate . . mais faciles à digérer et qui ne laissent que peu de( i‘é51du5 à ces malade , s des aliments substantiels, ou emolhen Les tubercules du péritoine sont traités par les frictions resolutives, les cataplasmes _t ‘ ]" té . ts; 't , . ‘ … rieur ; 501 fait au besoin une application de quelques sangsues, et l on met en usage 1 Opium, 501 a !" loi d'exclusion entre le te a cherché à remettre 62° né *RaaÂAnfi ‘..ouis n'a observé cette organes, il y avait onze ide importance, parce ,,\ nais quant à la vaccine eaux minérales vautées dans le traitement de la phthisie ne justifient pas encore leur v ogue par un nombre suffisant de guérisons bien constatées. L : hu il' e d e f0 i' c de- momo,, est, parmi' les medicaments, ' 'celui' qui' améliore ' le plus souvent la nutrition; quelquefms il . condu1 t a une . guérison momentanée, même définitive, mais son action est, dans la majorité des cas, palliative, ralentissant la marche de l a phthisie et s'opposant pendant quelque temps au '" AA;- ent plutôt la formation morue, le chlore, les alcalins, les sels d'antimoine, les "A urs aussi consciencieux Aucun des altérants recommandés .«A:\,_ indubitables. Cette loi n. Toutefois il est rare progressive. Nous en iole sur les tubercules, 695 |