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Show ANATOMIE PATHOLOGKHŒZGENÉRALE oduisent > nous som… es- mes qui les pr as mi s de ure nat la aucune façon se passe à partir de Bien que nous ne connaissi0115 en atte ntion tout ce qui c ave suit l'on si existence, et la généralisati0n' cependant obligés d'admettre leur llèle la le calisation et ra pa en nt me tatn cons on a mpp0rt l'incubation jusqu'à la terminaison, ssent encore plus d'un cations ét abli pli com les et e s air ond sans compter que les intlanm1ations sec s à cause spécifique. ions aiguës ou chronique mat lam inl s le et es thèm exan ces entre ées et miasmatiques, nous aumatiques sp0n tan tr s masie pbleg des res Si nous rapprochons ces derniè té de virus syphilitique Une fort pc tite quanti t. emen roch rapp de points des trouvons, la encore, bien re si peu l'état général A4- \ A AARARA'\ àaaAAA AAÀnañfl& ""AflgaAAA.65A … : --- - 32 altè ulcère qui, dans le principe, est déposée sur le gland, elle y produit un petit tible du poison qui peut quantité presque imp ercep cette c'est nt, Pourta çu. inaper t souven qu'il passe s si douloureuses, pl"0por- dénites inguinales spécifique a ces chée, rappro e périod une ii déjà re, produi ication ne survient pas, . Mais, lors même que ce tte compl guérir tionnellement si étendues et si longues à agent toxique introduit dans de cette petite quantité du n HO voyons-nous l)tlS S 'établir, sous l'influence lit encore ces maladiæ, du derme et des muqueuse 5? l'économie, des intlannnations étendues et rebelles , . . les comparons à ces d'une grande ben1gnrt é si nous dont nous ne pouvons assigner le terme, sont-elles eux et morveux. l'économie du virus charh onneux , farcin plilegmasies qui succèdent a l'introduction dans avons affaire lente. Dans toutes ces maladies , nous Ce dernier otîre plus d‘un rapport avec l'infe ction puru phénomènes (1 ui imprime le cachet spécial aux a un sang.,r vicié. C‘est l'empoisonnement du liquide mère locaux. introduit par les voies respiratoires ou Laissant un moment de côté la viciation du sang par un miasme encore tout un groupe de maladies dans par un virus pénétrant par la surface de l'épiderme, il reste cipes morbides qui, parce qu'ils lesquelles la constitution a été profondément modifiée par un de ces prin modernes. Telles sont pour directement démontrés, ont été niés par quelques pathologistes n'ont pas été ons ne voyons-nous pas se nous les diathèses scrot'uleuses, tuberculeuse s, cancéreuses. Que d'inflammati faite de celles qui sont la developper dans ces conditions speciales de leconoune, même abstraction . / , 4 7 / . roug< bien derm l'éryr la di la p phlé; dispc La les p la Vit afiec: Quar phleg marc spéci 5"PP lisati sans vŒm mari d'un - que la tuberculisation provoque consequence directe du voisinage d'un dépôt de tissu accidentel"? C'est ainsi de can- des inflannnations ulcèreuses du larynx et des gros intestins sans dépôt tuberculeux. Beaucoup les voies respi- céreux succombent a une pleuro-pneumonie sans qu'il y ait localisation cancéreuse dans mair fait, car nous ratonres. Les ml]ammations scrol'uleuses sont encore un exemple frappant du même les n admettons pas, pour les scrofules, un tissu Spécial, et nous ne les identifions nullement avec tubercules. On ne v01t pas moins, sous l'influence de la diathèse scrofuleuse, des phlegmasies se localiser, ‘. | , ) . 1 ., _ ‘ / ' simultdn€mciit ou succeænement, sur les membranes cutanees et muqueuses, les glandes lymphat1quesy L. tout les articulations et les os. brec n inflam- No us venons > … . quelques-uns des éléments etrologrque ' ‘ ' s, dont la localisatio ' ' de pas… en 1evue s à étudier, ce non moins matoire est ‘ le) resultat. ' - Il y a« cependant \ ' encore d'autres influences ' ' importante ' sont les conditions particulières dans lesquelles survient l'inflammation. derr late n1en |" Nous l, ren‘ fcontions d1fi'erences marquées pour la marche et le siégé de prédilection selon ‘ ' d "abord des 4 ' ' suiv J en …ance deave. . , entre , da u t‘- d ,, ofTr e non - seulement des‘ cmacteres particulier 5la …, 105 " " ' ' " ' ' s par rapport aux autres âges less 1 ‘ , ais meme es ifi'er e n ces bien plus manquees encme qu "il s ' agit' de la première ou de ' " ' ' " selon ‘ ' cher a seconde enfance. savons (q u eler51 " îl' ' p ele ‘ , lo ' phthainne desNous nouved l "mdu1at10n cellulaire, sont des maladies ‘ ' pmu]ente, ‘ ' du tissu ' ' ' On que on . observe. rare ment dans ‘ - plus avancee. ' ' ' est souvent mortelle 'u-nes ]. 1 ' enfance La pneumonie peut t ant 1;…fl…nma d les premiers mets de la vie , sa gravité décroît s ensr'bl ement, passé la premiere " annee. ' ion e la membrane 1‘ f‘3 1aaeconde enfance en . \ muqueuse intestinale est 1)l ts requente pendant la premiere " que pendant logi. vati« gem cette " . , y est p l us* dispose * bmnChiœ … : "‘ eJeune age. en ,,Général '" ' 3 queA l "‘age adulte. La ' broncho-pneumome, ' cap1 ane avec pneumonie voyons diminuer de fréquent d l lobulaire , s'obs eive ' souvent pendant le Jeune âge; nous la ' 'e pen ant un on lg laps vieillards: (… pe… ]… app]in e u } pour la retrouver de nouveau chez les ' ‘ de temps, ‘ acti saga mat _ , " " a lait 1 "ep1graphe i…]gus hénmtode . [,,/à,,u-bus i€, r ce ., e p1rase (Ol]lJ.-P ' " .Maunon de son travail' sur le prer , souvent , se… ms novel. u r)‘ ‘ ' lentance, ' '- . ‘ est bien ' este, pendant cette maladie plus censée utne " a" la' rouge ' ‘ ole que pr1nn ' t1re. ' ' voy< mat Lil (llplllh BH"; ' " ) (t ' {y_‘_4ng< l(.) Cl")ll ' , [) Jplldl ' ' ' ll(,nl ' 3 " ant _ Nw- pl' eQ cqlle excluslven]e lll à l'elllfllu‘e' . 7 . W'-Ïw-'v4'.n _. …‘, ,, ..' ,A.J_ts4.i}i,-{.s+-À """""""-"*U'\=«x.-z+-.ü:--;…î‘-.; .."oÎi."$f +a..+ … . : I'll" le |||Ulllle Sîlll ‘ que a |