OCR Text |
Show il.l£. ‘OplllC lisse et molle et l'atroPhie du ms, tout en faisant relief, …… °°P° tt u… " r des sillons égalemen t trè s peu 00 ' ll- iminuée qu'en raison de ] a di minution bel. , mais il y a souv ent iiililt rationd, i tissu, dans bien des cas, nous… c porte, sont quelquefois remplisde ': la cirrhose dans presque toute…, stitutionnelle. lili L'.\'l'ltttl'lllli. h."; comme dans la guérison locale des tubercules, ou dans le dévelo ppement du tissu plivmatoïde dans le cancer et dans d'autres formes de tumeurs. Cet état atropliiqtit}, comme partout ailleurs, peut s'accom- pagner d'un développement graisseux considérable extra ou intra-cellulaire. (‘le même développement ;:raisseux s'observe aussi dans l'atrophie de certains kystes des bourses muqueuses, qui, aprés s'être accrus pendant quelque temps, se sont llétris et ont en grande partie disparu. Les exemples que nous venons de choisir, pour suivre l'atroph ie dans les divers tissus et organes, montrent donc que celle-ci peut survenir également dans les tissus normaux et pathologiques, dans les tissus non vasculaires aussi bien que dans ceux pourvus de vaissea ux, dans les organes transitoires et ar Horaezek, Rokitansky et d'autre s … certain nombre de cellules du taie, re anatomique et essentiel, comme un normaux aussi bien que darts les productions anormales qui sont devenues de véritables organes acci- dentels. Nous avons vu l'atrophie varier entre un point étroite ment limité et sa généralisation la plus étendue dans le marasme; nous l'avons vue se produire, enfin, a partir dion générale dans la formation dela jusqu'aux limites extrêmes de la vie dans la vieillesse. é dans les Archives de Virchow_ Les exemples suivants, représentés iconographiquement dans les planch es VII à IX jette ront quelque jour sur ce qui précède. ie. Une des plus fréquentes, d'origine :he lente. Non-seulement le poumon airement même il finit par être fiiéà tent plus sa distension normale par aire des poumons n'est pas, dausle ëe, après avoir acquis une certaine re pulmonaire et dans les vésicules, l'homme se rapproche, pour l'aspect tation bronchique étendue deviennent eine 15 a 20 Centimètres de hauteur v a alors hypertrophie de quelques e bonne partie du parenchyme pules ne constituent plus que de petites des poumons devient un tissu fibretu l'état normal. ssion, a une oblitération vasculaire; anulo-graisseuse des tubes urinifèns ein, dans ces cas, se ratatine, et est irrive aussi qu'il y a un tel dévelop»lume parait notablement augmenté un travail atrophique considérable. sent assez souvent l'atrophie,mais celle-ci est causée par une affection tre des matières placé ati-dessus du tx et les plans musculaires y pal'll' t alors également très réduitsl'on observe dans les cicatrices. 011 ce qui entraine non-seulement une ntes du voisinage, avec changement ions, et véritable atrophie irradiaiilt trécissements qui gênent 0" …le" des premières ébauches du fœtus X\‘ll. -- l/i'up/Lt't‘ pui/nourrice acc/: dilatation «les brune/m ; t'tt/it‘L'l r/c [retourne, colon/s du rein gauche. ,l'l. Vlll_ tig. 'l-Îi.' lit? fait a été comnumiqué a la Société anatomique par M. Barth, dans la séance du 27 février 1852. L'tl homme figé de cinquante-sept ans, d'un cmboupoint médiocre, a en, a l'age de dix-huit et dc vingt-cinq ans, deux atteintes de rhumatisme articulaire aigu, et de vingt-huit a trente ans, une lltËtlli)l)l}‘5i0 lé… ère. ltcpnis cette époque, il crachait et tou>sait beaucoup. Le 21 janvier, la toux et l'expectoration augincntérm1t en s'accompagnant de tiisvre. Entré le ‘."i janvier a l'hopital, on le trouve pillé, amaigri, oppi'ésjsé. La poitrine était sonore en avant, et donnait, en arriére et a gauche, de la matité. A l'auscultation, on constatait.fcii arriére et a gauche, un gargouillemeut intense, ayant son maximum a la partie moyenne, puis tin retentissement eavernenx. .\ droite, l'auscnltation ne faisait rien découvrir. Le malade ne vomissait pas, n'avait pas d'éructations, pas de constipation. [lait ou dix jours plus tard, il survint im peu d'o:déuié des membres inférieurs. Le malade s'al't'aiblit et succoniba. .\ l'autopsie, on trouva un cancer occupant la partie supérieure de la petite courbure de l'estomac et des calculs volumineux dans le rein gauche. Le poumon droit remplissait presque toute la poitrine, dépassait la ligne médiane, s'avançaitjusque dans le cdté gauche. (le poumon offrait les traces d'une induration chronique, quelques radicales broncliiqu es dilatées et une seule granulation tnbercnlcusc évidente. Le poumon gauche, très petit, est exclusivement composé de tuyaux bronchiqu es largement (lil atés, et avant comprimé le ji;tl'tlllCll)‘ltlü pulmonaire. (le poumon, qui, a sa base, offre un épais.‘ sement trcs considérable dela plévrc, est un des plus atrophiés que j'aie observés. Aprés l'avoir débarrassé de toutes les particsqui adliéraicnt a sa surface, je constate qu‘il a a peine lit a la centimètres de longueur et de largeur sur une épaisseur de 3 a li. La surface est d'un gris rougeittre. Toutes les grosses bronches, dés leur entrée dans le poumon, sont notablement dilatées et forment dans le lobe supérieur plusieurs ampoules capables de loger une noisette on une noix. Autour de c… ampoules, le tissu pulmonaire oll're presque une structure caverneuse. Dans les autres parties du poumon, la dilatation bronchique suit un plus long trajet, mais nulle part elle n'atteint la périphérie du pon- iiioii, dont partout une portion de plusieurs centimètres d'épaisseur reste condensée et ne contient que des ramifications bronchiqu oblitérées. Les bronches, trés dilatées, ont un aspect transversalemcnt plissé, et toutes leurs parties constituantes sont liypcrtrophiévs. La nu‘iiibrané muqueuse, d'un rouge pale, n‘otl'rc pas cependant une vascularité trés grande, mais son épaisseur est gérit'ri‘.‘tleiiicifl de 1 tr 2 a 2 iiiiiliiiiéti'Us‘, et tous les éléments celluleux et libreiix de la membrane muqueuse y sont tri-s développés. Le tissu cellulaire t‘.\i partout tlctl>U et d'une consistance charnue. En soumettant destranchcs de ce tissu a l'examen iiiici'osc0pitpie, on constate qu'il _v a une telle coti- densation du tissu pulmonaire, qu'au lieu de présenter de vastes aréoles, ses fibres élastiques sont assez rapprochées pour otl'rir presque un aspect tibreux homogéne, et les vésicules pulmonaires y sont atrophiées au point de ne constituer que de petites ll!tl>at'> granulousm de l/2îi‘ de millimètre envoie de métamorphose granulo-graisseuse. Les Vaisseaux sanguins forment partout des réseaux plus l arcs ct a mailles beaucoup plus larges que dans le poumon normal. X\'lll. - Sir/ttes r/c tttbcrculcs [It/_!)IZUNÜI'I'C'N, Maux/trou". It!/)ll/Ill'lltll'f", flirt/WMI; 1e/æc/lc; mor/. -- /'NÔM‘L‘lI/t'a‘tltt'tm r./c\‘ poumons, u/rop/Jc c/ décolm'atton des reins avce calculs, atm- (tu/UIU' :le /r/ trés/catc «la //c/, 'tél‘t'l‘II/I'ti/t flu Milon. 'l'l. \'lll, lip. ti et 7.‘ l'ncjeune personne, âgée de vingt-trois ans, est malade depuis le mois de iio\'ciiibi't: tata. lille a été d'abord prise dc toux, cn>uiie d'un cruellement de sang,[ peti abondant; et au t‘ttlllttltfllCt‘tlttftll. de lHSo. la tigure et les jambes sont dcvcm1cs le siégc d'oi.c iumét'action notable. Amélioration :«t‘ttSiblC pendant l'été; retour des méincs s_\‘iiipt«‘viiic5 en :ttltotttin‘. cessation dés I't‘glz'5tlo‘jtttiS lc mois Il'Utjltibltl. Le 't novcml,>re lSñtl, j'ai vu la malade polir la proiiiici'é fois ii l'lli‘ih'l-llicii dans la division de M. Louis. lillc avait la figure bouillie, les" joues colorées, beaucoup (led}'5piiéc, les signes physiques d'une tuberculi>.ation pulmonaire aux sommets : inatité, expiration prolongée. respiration bronchique par places, et, outre cela, des l'fllt‘S sonores étendus sur llllt' grande |t.il'llU des jtt)lllltUll>. La poitrine était le siége n sont la conséquence, et Peu"enl de douleurs fréquentes. Depuis trois mois, la malade avait une diarrln'w habituelle, cinq ou six >t'llt‘>jttlt' jourdc ttttllli'l't's liqtiitlc<, j.ltlltttll'<‘\, a l'étude anatomique des rétrécisse- quelquefois accompagnées de coliques. Les urines, qui d'abord n'ont pas présenté d‘albmnino, et] ont montré plus tard. La langue était , , . . ,..".‘ ii etremssement intestinal aout &" habituellement seche, rouge; la soif était vive; peu d'appétit; ventre ballonné; poids pcttt, titi par minutc; soon…-il variablc .\pics quelques oscillations dans l'état dc la malade, tous les S)llljtlt'ttllt‘â :v'tltl‘,{l‘it\'t'lil. lille sort de l'llt'tlt‘l-Ulctt et ji la i'cvoiw le l" jaii\ici' lN‘11 …t . il.. went accompagné de deSsechenlet dans le service de .\L Amiral, a l'hôpital de la Charité, ou elle meurt le lcinlwiiuiiii. |