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Show ... …d-q..4.qu0 ..v.uiqqnqqpv.,.v ,.. .+. ..0- ,.ÿu :Vrro GÉNÉRALE. ANATOMIE PATHOLOGIQUE tar» lisslelle, ff de. l'a" , 1'e et lymphat1ques d u coud l'ép' iderme dans les ganglions replde n ectm a fois, calin, nous avons trouvé de ontre doigt. M. Ricard m'a dit avour renc d'un e roïd canc de nt attei de chez un mala s. M. Bennett a de plus signalé une in dans un cas de cancro'ide a l'anu mique des ga nglions du bass la langue (1). Les partisans mpha tiques a la suite d'un cancro'ide de s infection épidermique des glande ly sommes le premier à cer pourraie nt voir dans ce fait, que nous de l'identité entre le cancro'ide et le can cette conclusion. Qu'y a-t-il r doctrine. Nous ne sauri ons admettre signaler, une raison en faveur de leu us pas s'engorger a la suite des ation aux ganglions? Ne les voyons-no d'exceptionnel dans cette propag beaux traVaux de les plu 5 bénignes? Nous savons de plus, par afiections de la peau les plus simples et les ghons lympha- ncre peut se propager directement auxgan M. Ricord, que le virus syphilitiquc d'un cha Gelu1-c1 ne l'est plus en de ces bubons inoculable, tandis que tiques voisins de l'aime, et rendre le pas pagalioa. ro sines, lorsque l'inflammation s'y est étendue parp aucune façon dans les glandes circonvoi es en …p_ qu ti ha cancroïde, car, passé les glandes lymp ogue pour le Nous observons quelque chose d'anal la majorité des cas au ïde, on ne trouve plus trace d'infection, dans portanalomique direct avec le cancro res parties du corps. On e bt …… naturellement porte moins, ni dans les ganglions élo ignés, ni dans les aut l'expliquer se s ces glandes; et ici deux manières de dan arrive derme l'épi façon e quell de der à se deman pha- é pidermique, qui, pris par les vaisseaux lym présentent : l'une est celle, par absorption, du blastème derme; l'autre est lles se forment alor s les cellules (l'épi tiques, est déposé dans les glandes dans lesque le ch arrient jusque dans 195 'épidermc par les lymphatiques érodés qui 5t‘ occasionnées de "'" n fat inuelle de : rminaiso cette te tic n cont autopsies, travail de dont dix- M. Huguie ue au mal primitif q tre infection varie en rt Sur nos 22 obse aya] 10 autres sujets tr comme dans les au m répartissent de la e gival, l de cancr01d rg cancreïde de la ve i pruntéS à M. Hugu se que nous avons ob al _l à un abcès cérébr cancreide épithélial Les faits contradi celle du transport direct del l'esprit lorsqu'on tient surtout compte dutranspofl glandes voisines. Ce transport n'a rien qui répugne a décrits par Virchm dans les aisselles, et du bleu de Prusse bras étaient tatoués en rouge, a observé des molécules de vermillon la possibilité de cett a travers les lytnphatiques, constaté déjà par des matériaux solides d'un point de l'économie à un autre, , qui, sur des individus dont les avantOesterlen, et péremptoirement démontré par mon ami M. Follin différence incontestable entre cette propagation chez des individus tatoués en bleu. Nous trouvons une ces organes d'un côté, et l'infection du caneroïde aux ganglions voisins et sa délimitation ordinair e dans cela même, point de du vrai cancer, qui, se faisant par toutes les voies circulatoires, ne reconnait, par omie tout entiè re. Loin donc de voir, limites, et se propage ainsi aux points les plus éloignés de l'écon différence entre les \ testable, et doivent L'étude anatomiq caractères suivants : l0 Analogic. Ter rarement de l'éconc preuve de différence. dans l'infection ganglionnaire, une raison d'identité, nous y voyons une différents. La première Nous avons observé l'infection épidermique des ganglions dans trois états ment et infection p "2" Différence. St esque transparent, ailleurs d'un forme est celle où un hlastème en partie solide, entouré d'un tissu, ici pr dans des glandes jaune pâle et luisant, et, dans d'autres endroits, plus terne et plus sec, était déposé pâle, homo- jaune lymphatiques médiocrement tuméfiées. La seconde forme est celle d'un dépôt terne, dans le cancer, abs« tout entière, dans n gène, ressemblant beaucoup au tubercule, cru et jaune, mais moins grumeleux et plutôt feuilleté, caractère qui ressort surtout lorsqu'on délaie des parcelles de cette substance dans de l'eau. La troisième Les actions que . bien incomplètes; : de simples matérim substance, incapable de se vasculariser, détermine autour de lui un ulcère creux envahissant et intaris- En faisant bouill laisse déposer, api- sable, et lorsqu'on gratte la surface interne, on est tout étonné d'y constater, à l'examen microscopique, stance nous a pi'0( l'existence de nombreux feuillets épidermiques. Nous avons observé cette terminaison, entre autres, dans la région inguinale, et comme l'individu avait en même temps un chancre phagédénique a la surface de de chlorure de zi… forme, enfin, constitue la phase la plus avancée de l'infection glandulaire épidermique. Le dépôt de cette . . . , . . . _ . _ .. " - , nous, sommes_ a.\ nous demander Jusqu'à quel pomt la complication syphtht1que a pu canc101de son influencer la marche fâcheuse de ce bubon épidermique. Un des points les plus capitaux pour l'appréciation de la nature du cancroïde, c'est le mode de par- rente etélastique q avec des cellules et renfermer une anti ticipation de l'économie tout entière à la maladie locale. Pour notre compte, nous n'avons jamais emboîtées, d'une ] lorsqu'on y ajoute observé de cancroïdes secondaires en dehors de la zone de propagation directe du mal local primitif. l… le refroidissem Nous avons bien vu les malades succomber à la suite des atteintes profondes de l'économie qu'avaient également nn pyéc ' .(ll‘lll- Puget dit, dans ses leçons sur les tumeurs, qu‘il a rencontré vingt fois l‘infection ganglionnaire dans quarante-deux cas de cancer laileux. epithelial. Il est probable que, l'attention étant une fois fixée sur la possibilité de cette infection ganglionnaire cancruide, sa fréquence se trou- LGI'SClU'On traite vera HSS€Z gmnde."l‘outdois M. Puget sépare presque le cancroide végétant et mùrit‘orme de son cancer épilhélial, et s'il insiste pour que l'ulcère rongeant en soit separe, il a raison jusqu‘à un certain point. Il y a des ulcères rengeants de la face et du col utérin qui ne reconnaissent pout" se désagl-égem' lei qu'on laisse digén l?°:"îdfi d01ïVi'fll‘t qu une simple induralion dont l'ulcération a une tendance envahissante progressive; mais nous avons vu aussi, à la face Et il" en garde contre des doctrines … u … "" """"""°" epldefm"lue Pl't'Cédt'l‘ et accompagner l'ulcére rongeant. ll faut, par conséquent, se mettre . _, -. ant, terme qut» nous parait ‘- - l ‘ ulceteenvalnss tro)exclusive 1 s stn plus scientifique que celui d‘ulcère rongeant. {i) .l[«huu[rcs (le ['. lrt AN.l'l‘. l‘.\ l llfl L. -* l‘ ! !'. W! W; .» -*- s-ûq-v\z.…-.Âa…,.,, |