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Show ANATOMIE PATHULOGlQUE SPÈClALE. 706 donneror du reste, on est quelquefois embarrassé de décider, gélatineux. Les poumons sont refoulés et comprimés; analoan dans le courant d'une maladie chroni ue rave si l'on pour les pleurésies secondaires qui surviennent sept autr ' a affaire à un épanchement hydropique ou a une pleurésie. Voici \ 1" Da plèvre. g" III.-Des produits acciulonlcls «le la costale d èvre soient les mêmes que ceux des poumons, Quoiqu'une bonne partie des produits accidentels de la pl assez grande variété. Nous allons passer nous verrons cependant que la plèvre peut encore en ofl'rir une en revue les plus importants : de corps étrangers trouvés dans la l. Granulations fibreuscs et ostéoi'de s. -- On a plusieurs fois parlé qu'en cas pareil il s'agit, dans cavité pleurale, et, comme pour d'autres membranes séreuses, nous croyons eural, qui se pédiculisent, le principe, d'excroissances fibreuses ou fibroïdes du tissu cellulaire sous-pl des corps libres dans se calcifient en partie d ans leur intérieur, et peuvent se détacher et tomber comme ans qui avait la cavité pleurale. Nous avons observé une fois, chez une femme âgée de soixante-quatorze d'un blanc succombé à la rupture d'un anévrysme dans les bronches, un grand nombre de petits corps jusqu'au ant , atteign jaunâtre, disséminés a la surface externe de la plèvre pulmonaire, hémisphériques calcaires, qui volume d'un petit pois, composés d'un tissu fibroïde, parsemés de petits amas de grains anatomique, offraicnt quelque ressemblance avec les ostéoplastes. Nous avons vu présenter à la Société très vase poumon: 2° Cl]t rissemen du poun d'une au démontr 3"' [la enfance, trois cpf points, ( survienn , et qui, en 1819, par M. Deville, un corps étranger fibro-ostéoïde de la plèvre, pendu à un filament trouve il se détacher. probablement, n'était autre chose qu'un des corps libro'ides sur le point de durs, co ll. Les productions yraisseuses ont été signalées pour la cavité thoracique. Rokitansky (1) dit qu'il s'en productrouve dans la plèvre, mais il ne cite point de faits. Chez les chiens on observe quelquefois des de tions graisseuses dans le tissu cellulaire sous-pleural et sous-péritonéal. Je tiens ce renseignement plusieurs vétérinaires distingués, mais je n'en ai jamais vu moi-même. Ill. Les tumeurs cartz‘lagineuses de la plèvre sont très rares. Dans le cas déjà cité d'un enchondrome énorme Cette m: et lisse; molle e. partie. ( formé entre deux lobes pulmonaires, la tumeur pouvait provenir de la plèvre aussi bien que des poumons; toutefois je n'ai pas, à ce sujet, de renseignements suffisants. J'ai décrit, à l'occasion des tumeurs cartilagineuses, un cas dans lequel un certain nombre de petits enchondromes faisaient saillie dans la cavité pleurale; mais il ne parait pas rester de doute sur leur origine costale après la coupe plévre d pratiquée. IV. Les granulations e'pz'tlzéliales ont été observées une fois par moi dans une pièce communiquée par Presq Sépar dans la quelque: laire, as M. Gubler; c'étaient de petites granulations du volume d'une lentille, composées de cellules à noyaux que je décrirai du reste avec détail à l'occasion de l'explication des planches, et que j'avais d'abord prises pour libro-plastiques. Mais comme il n'y avait que des cellules de 1/100" de millimètre, avec un noyau de ll conti Nous qu'il n'e 1/200°, je croyais qu'il s'agissait plutôt de productions épithéliales. V. Les tubercules dela plèt‘ï‘e ont déjà été décrits a l'occasion de ceux des poumons. censée… libro-pl. VI. Des tumeurs fibre-plastiques ont été signalées dans plusieurs de nos observations d'infection libro- .'r" VL plastique générale. VII. Un kyste dermoïde de la plèvre, situé sur le trajet des gros vaisseaux chez un emphysémateux, a déjà été signalé par nous, à l'occasion des produits accidentels des poumons. V…. Du. cancer de la plèvre et des médiaslins. - Nous parlerons avec un peu plus de détails du cancer de la plèvre, vu que les observations de ce genre sont bien rares et ont été analysées par nous, en faisant abstraction des plaques sous-pleurales de l'infection cancéreuse secondaire et des végétations cancéreuses secondaires de la plèvre et du médiastin, qui accompagnent le cancer du poumon et du sein. Le cancer idiopathique de la plèvre, dont nous rapporterons tout a l'heure quelques exemples, est principalement en 1852 âgé de ( mentav. et refer était d'l déclarér dyspnée encéphaloïdc; il existe ordinairement par masses multiples, de forme variée et irrégulière, et quelquefois » 1.0 passablen‘xent volumineuses. Les cas de squirrhe ou de cancer collo'ide observés par nous dans la plèvre étaient tous des localisations secondaires. Nous rapporterons, à l'occasion de la description des planches, plusieurs faits détaillés dont nous ne sur son » .lllt assez fo (1‘ lit/!. (l) Op. cit., t. I, p. 282. (2) 1/…/ |