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Show ANATOMIE l'ATHOLOGIQUE SPEC] ALE. 500 et 92 fois sur 100 chez l'homme_ dans la commu ne, qu'elle se rencontre 80 fois sur 100 chez la femme, L' ent chez l'h0m…e série de 60 à 89 ans. Ce tableau fait voir encore qu'elle se développe plus promptem chaq que chez la femme. fibre Quant à l'opacité des valvules sigmo'ides droites, elle est bien plus rare: ainsi, sur 157 sujets des deux 0,06) sexes, elle ne s'est rencontrée que dans 9 cas, soit 0,05 : cinq fois chez l'homme (sur 73 sujets, . Tous ces individus étaient avancés en âge. quatre fois chez la femme (sur 8]; sujets, 0,04) lèvre cepe ? En résumé, opacité fréq uente de la membrane des valvules sigmoïdes gauches, rare des droites; plus plus rare que l'âge des Sujets fréquente etapparaissant plutôt chez l'h omme que chez la femme, d'autant valvr parfi plufi " est moins avancé. Quant aux altérations dont les tubercules d'Arantius sont le siège, elles se presententsous deux aspects différents qui ne paraissent être que les degrés divers d'une même affection. Le moins fréquent est celui ânä qui consiste dans le développement de petits corps albumineux qui se déposent sur le tubercule cesa L' les c d'Arantius, ou très près de lui; ils sont arrondis, roses, lisses, demi-transparents, variant de grosseur depuis celle d'un grain de millet jusqu'à celle d'un grain de chènevis, et offrant la consistance d'une inter gelée bien prise. C'est là évidemment une production récente, je ne l'ai presque jamais rencontrée que un c chez les plus jeunes sujets. A une époque plus avancée, ces petits corps deviennent opaques et de v« acquièrent plus de solidité. On suit leur transformation jusqu'à l'état complétement cartilagineux. près Cette dernière forme est bien plus fréquente que la première: je l'ai rencontrée sur les tubercules des valvules sigmoïdes gauches, 32 fois sur 157 sujets, soit dans 0,20 des cas, tandis que, sur le même nombre de sujets, je n'ai vu que quatre fois la forme albumineuse. Cela se comprend du reste si l'on part admet que l'état albumineux est le caractère anatomique d'une lésion aiguë, et par conséquent de courte durée, tandis que la forme cartilagineuse qui lui succède persiste pendant le reste de la vie du sujet. Ces deux formes de lésions sont beaucoup plus rares sur les tubercules des valvules sigmoïdes droites; queh je ne les ai rencontrées que quatre fois sur le nombre de sujets précédemment indiqué. Il est à peine nécessaire de faire remarquer que cette lésion n'est autre chose que celle que j'ai déjà décrite à propos des artères et de l'aorte en particulier. Ces productions cartilagineuses sur le tubercule quer d'Arantius sont encore l'apanage de l'âge avancé, comme l'indique le tableau suivant : Gand Hu7/Z)H£‘S. De 1 a '15 ans. . . . . . Ut euro peuv ndhe dans 0 cas de lésions du tubercule d'Arautius. . . . 0,00 un ax . . 146 - S - 0,17 dans 60 à 89 ans. . . . . . 1/i -- '10 - 0,71 quel De 1 a 15 ans ...... 23 -- 0 .… 0,00 denh 16 a 59 ans ...... ati - 1.1 - 0,23 60 à 88) ans. . . . . . 15 - 8 - 0,53 1tiê159 ans. . . ["cnuucs. 13 sujets . . . . . . chen héqt rédc En poussant un peu plus loin cette analyse, que bien des lecteurs trouveront sans doute déjà trop jama minutieuse, les faits conduisent à un résultat assez remarquable: c'est que les trois tubercules d'Amntius des valvules aortiques ne sont point également partagés relativement à la lésion que je viens de décrire. Le tubercule de la valvule intercoronaire la présente beaucoup plus fréquemment que les deux autres; en effet, sur 45 cas de lésions du tubercule d'Arantius, 25 appartiennent à la valvule intercoronaire, 11 a la valvule qui correspond à l'artère coronaire gauche, 9 à celle de la droite. Il n'est pas lïnm probable que cette différence soit fortuite, d'abord parce qu'elle est assez considérable, ensuite parce que si, de ces 45 cas, on fait deux séries, l'une pour les hommes, l'autre pour les femmes, le rapport se ahei valv1 Pulc tabh L' raho conserve à peu près le même. On conçoit que ce fait, assez singulier, échappe actuellement à toute espèce d'explication. dont irrég Nous serons plus bref pour les altérations des valvules aortiques que pour celles dela valvule bicuspide, unei par cette raison que beaucoup d'altérations sont les mêmes dans l'une et dans l'autre. Une première et Lc bien fréquente altération est l'épaississement fibreux, qui a existé, presque dans la moitié de nos cas; valvu sept fois sur dix-sept. Nous avons analysé en tout 17 cas de maladies des valvules semi-lunaires de l'aorte, sans complication d'autre altération valvulaire. Lorsque l'épaississemeflt est général et peu avancé, il en résulte une rigidité qui ne va cependant pas jusqu'à l‘insuffisance, mais qui peutcependallt estle passer peu a peu a une h10exibihté corn;dètc. tanp irrég (l): |
