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Show ..4. .Ç.-:ano..çlv... .-. .i. .., .… ,._..,,,+ñn+n,*n‘l .\x,\'i‘m|u«: r.vrnot.octone c ëNF:nxt.E. ier les effets de l'inanition. Voici en quelques siologrstes ont provoque par la vore expet nnent ale pour étud ! .\ le hea. u travail de M. Chossat, de Genève (1), et dap1ts sur ce su_1et, de nos notions 78 da de mots le résumé h)‘ _ d'après les savantes leçons de M. Bérard (2). sa membrane muqueuse se L'estomac, dans l'état d'inanition, se retire; ses mouvements cessent, diminue dans ses elements msn). plisse; le suc gastrique cesse peu a peu d'être sécrété, le tube digestif '.' si; e; Il y a d abord des excrehons rares logiques, la bile est épaisse et foncée, la rate revient sur elle-mêm il y a prédominance des catilots des matières fécales, et ensuite diarrhée; une anémie générale survient; que de fibrine; la quant1te de la iymphe aug_ sur le sérum dans le sang, ou y trouve plus d'albumine ent ralentie, devient, vers la fin, haletante; monte d'abord, puis elle diminue; la respiration, notablem (lt ru lt cesse vers la fin; la tempéle pouls subit des changements analogues; l'exhalation de l'acide carbonique le maximum de midi et rature s'abaisse progressivement, il y a même des oscillations journalières entre atl 001 de température le minimum de minuit, différence qui va jusqu'à 3",8. Les animaux perdent jusqu'à 0",3 (le tout. Les sécrétions par jour, l'abaissement va jusqu'à '2i",9 centigr. : ainsi de M degrés à peu près en du poids du corps est sont diminuées, les urines deviennent âcres et foncées; l'absorption redoubie, le et la réplétibn moindre, et la mort survient après une perte des deux cinquièmes du poids total. L'âge retardent la mort. Les éléments graisseux et musculaires diminuent en premier lieu, le système nerveux reste a peu près intact. Les phénomènes cliniques de i'inanition sont l'agitation et le délire, qui va jus- cle Chê [… qu'aux hallucinations; insomnie, puis faiblesse extrême, stupeur, mort dans un état comateux. les (%]-‘t hommes d'âge moven résistent le mieux; les borssons ne prolongent la Vie qu autant qu elles sont 1311565 a dose modérée; la cause etiiciente de la mort est l'abaissement de la temperature. Les causes de l'atrophie en général sont très variées. A l'état physiologique, le développement pro- te gressif et l'invoiution rétrograde y jouent un grand rôle. "€ Dans le développement progressif, nous observons une succession de tissus et d'organes transitoires, qui font place aux parties constituantes du corps dont la destinée est permanente et définitive. C'est ainsi qu'entre autres, la circulation dans les jeunes fœtus de tous les animaux vertébrés se fait d'abord par les quatre paires d'artères branehiales, qui plus tard disparaissent en grande partie, et dontplusieurs divisions seulement constituent parla suite les vaisseaux aortiques et pulmonaires. Rien de plus instruc- de na "" de tif, sous ce rapport, que le sort de la corde dorsale, le développement des os en général, et celui des os hé du crâne en particulier, dans lesquels on trouve avec raison l'anaiogue d'un développement vertébral. Les organes urinaires et générateurs offrent également une succession d'organes divers, dont les uns '" … restent, tandis que les autres s'atrophient. "' . . . - 5 7 _- P" l‘E" Dans l'involution rétrograde, nous n'observons pas moins l'acte de l'atrophie, et ici la vieillesse n'est pas "' le seul élément. il y a des tissus dont la nutrition n'est exubérante qu'à une époque très précoce de l'exis- "' tence : l'os, par exemple, au moment où il se forme, est déjà un cartilage ratatiné et; atrophié. Nous (' avons suivi plus haut l'atrophie sénile dans ses traits principaux, et nous avons vu que l'atrophie et la c vieillesse étaient si solidaires l'une de l'autre, qu'il serait difficile de décider si la vieillesse est la cause "' de l'atrophie, ou si l'atrophie est la cause de la vieillesse. L'aitération graisseuse dans l'atrophie n'est autre chose que la substitution d'un tissu fort bas placé et volumineux, sans être très substantiel, aux dépens des éléments histologiques essentiels et surt0ut plus azotés; on ne doit pas placer l'atrophie avec "' altération graisseuse sur un rang plus élevé que celle dans laquelle le tissu connectif prend la place des "' éléments des organes. (l‘ Parmi les causes pathologiques de l'atrophie, l'interception vasculaire est une des plus immédiates; de la l'action atrophiante consécutive à une compression permanente. C'est ainsi que nous observons que les tumeurs se creusent des cavités profondes dans les organes plans ou convexes, fait que l'on constate "' " "' frerptemment dans les tumeurs qurcompriment le cerveau ou le système osseux. Les pertes de sang "_ llpacîçllîî ÎÏSgeperaleî,' peuvlent produire sur-la nutr'1t10udp5 organes le même effet que l'interception de cu ane. . exwratton non IltllllllV8, quelle s01t sereuse ou inflammatoire, est également une des causes fré q u entesŸ de ] "atrophtc 'n des [laits- et . des. organes. . . Lorsqu , une tumeur blanche se développe :} I (‘,1) I {I'/‘ ]…l"/‘]… " m,]… 'îV ' " ……m… szo - [(nom/u…. ‘ ' par l ‘ institut ' ‘ couronné de trance. Paris, 18113. (-) Cours de [i/zyxz'ulogic. Paris, 1851, t. lil, p. !137, .it. 3.11, -"-J., a . W!w=w'wr .«J, .JL‘VUAvH4-n‘h‘ … +» -4 .…. , …… …… .. ., .,, .)_t.4….,.4,i.+u,t.çaiz+._i,4. }v+-ixt!4- ..,4«_Ag4.. _\-g.-_A,,-s+‘æ'ÿ+fi."t =:,-g !'* ‘ _ , p |