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Show DES PRODUCTlONS CANCEREUSES. liquée à 5 voit sa ste plus 319 .. . . . -. . quelques parcelles de |l interieur de la ' pus. telnet . yo - ' ‘ a« p rès de o.- centrmetrcs Comme ]'e parvins à v_ introduire , . un stvlet _ de profondeur, nature. la determiner en pour tumeur, suffisantes L'examen microscopique my lit retonnmtre des cellules cancereuses non douteuses. Le surlendcmain, .\[. Monod tit l'extirpation de la tumeur, et je pus alors constater .que cette tumeur, dans sa totalité, était composée de tissu cneéphaloide. Elle était molle , facile à écraser 5 d'un blanc yannatre, peu vasculaue, montrant par places des epanchcments sanguins. Tout le tissu était infiltré d‘un suc cancéreux très abondant; le microscope y demontrznt tres peu de fibres, plutôt un blastème coagulé, renfermant beaucoup de cellules dont le volume variait entre 0""",0175 et 0""",03. Les noyaux avaient en moyenne 0""",01, et variaient entre t)"*"‘,0l)75 et U""",Otîä. Les nucléoles avaient ! au sein il] entrée 0…,00‘25. Les cellules etaient pour la plupart regulierement arrondies et sphériques, et contenaient beaucoup de petites annulations graisseu5€S qui, la ou elles etaient abondantes, transforn‘1aient la cellule et globules granulcux. Quelques grandes cellules mères renfer- nauielle, creux de maient trois ou quatre noyaux. CXXXV. - Cancer de la langue. (Pl. XLlI, fig. 12 et 13.) malade. un fond inégal, dent fut extraite, mais l'engorgement n'en continua pas moins à augmenter, et s'ulcéra. Cet ulcère avait des bords calleux, tirrhe, et plaie se cicatrisa, et quoique nous ayons perdu couvert de sonic. Il n'y avait point de glandes engorgées au cou. L'extirpation fut faite, la nec plus L‘examen de vue le malade, nous présumons, à en juger d‘après des cas analogues, qu'il n'aura pas tardé à succomber à une récidive. volumineuses, cnt étaientgénéralem cance'reuses cellules Les intéressantes. particularités es microscopique du tissu morbide présentaitquelqu notable, général ou et un certain nombre d'entre elles offraient, soit dans les noyaux, soit dans les parois cellulaires, un épaississement stries transversales ; leur leurs perdu ayant altérés, mais tissu, ce de milieu au encore existaient musculaires cylindres de Beaucoup partiel. noyaux, phatique '\A .. intérieur était en partie rempli de cellules cancéreuses. CXXXVI. - Cancer de la langue. (Pl. XLII, fig. 1h a.) partie de voïdes de =ellules et intérieur, tires. "\_lA cette époque un Un homme âgé de cinquante-deux ans, maigre et présentant un air cachectique, est malade depuis trois mois. Depuis une dent gàtée. La engorgement s'est développé sur le côté de la langue ; le malade crut devoir l'attribuer à l'imitation produite par .. 5 dans le il y a six mois, Un homme âgé de soixante ans, d'une forte constitution, mais d‘un teint pâle, jaunàtre, avait commencé à s'apercevoir, mais bientôt faite, fut extirpation première une rapidement; augmente mal Le langue. la de gauche côté du d'une grosseur sur le milieu étendue ; il a fallu même grande assez une dans l'ablation fit en qui Diefienbach, M. Berlin à consulter alors vint malade Le le mal récidive. ' enlever une partie du voile du palais. réseaux capillaires denses, le tissu L'examen de la pièce enlevée offrait les caractères suivants. La surface de l'ulcère était couverte de tubercules cancéreux étaient petits de principale, masse la Outre cancéreux était d'un jaune pâle, infiltré de beaucoup de suc lactescent. sont très volumineuses ; parois les irrégulière, et variée forme une ont cellules disséminés à travers le tissu musculaire du voisinage. Les eux libres dans un d'entre beaucoup voit l'on et nucléole, grand un offrent millimètre, les noyaux, qui varient entre 1/80e et 1/55e de :. . dense se *AAA AAAAAA5;, n cancer rêve d'une blastème granuleux coagulé. ndant son fig. Hi I).) CXXXVII. - Cancer de la langue de nature douteuse, probablement épz't/zéliule. 1PI.XLII, les, elle a mt morts, s souffrir, la pièce; elle provenait de l'opération d'une Je n'ai pas vu moi-même le malade, c'est M. Dieffenhacli qui, dans le temps, m'avait remis était pâle, jaunàtre, infiltré de beaucoup de suc troisième récidive, qui avait eu lieu quatre mois après la précédente opér ation. Le tissu ; son mal du d'éléments cancérenx et épithéliaux. Outre les cellules ordinaires cancéreux, mais au microscope, on y trouve les caractères mixtes ie tumeur lui fournit epuis cinq anti, en se )epuis lors Plusieurs cellules ont l'aspect de feuillets plats et ressemblent cancer, il y en 3 dont le noyau était entouré d'une zone transparente. t?pitlnëlia10 de la surface a coïncidé avec le développement altération une beaucoup il l'épithélium (le la langue. Il est donc probable qu‘ici côté, le véritable cancroide epithelial, sans complication autre D'un rare. très pas n'est qui fait d'un tissu cancéreux dans la profondeur, cancéreuse, n'est pas très rare non plus à la surface de la langue. autre sein CXXXVIII. - Cancer du pénis. (Pl. XLlI, fig. 15.) ux et ceux meer dans i avait été du volume !5, jusqu'à ucléole de ait tout le que le cancroi‘de épithélial. Le mal occup Nous mentionnons ce fait parce que le véritable cancer est bien plus rare à la v er9,e ne ren- d'un blanc jaunâtre, homogène, gland et envoyait de nombreux prolongements dans les corps caverneux. Son tissu et ait en partie graquelque ressemblance avec les masses fermautque peu de suc cancéreux, et en partie granuleux, d'un blanc terne, offrant à l'œil nu fibres et de peu fort que aient montr e 11 tissu ce de nuleuses que l'on rencontre dans les tumeurs épiderniiques. Du reste, toutes les parties cellules entières grasse, surtout sous form e granuleuse. Les étaient essentiellement composées de cellules cancéreuses mêlées de matière ent granuleux finem homogène dans quelques-ui is, contenu variaient entre 0""",025 jusqu'à 0""",03. Leur forme était ronde ou ovale, leur et plus volumineuses. Les noyaux étai ent au nombre denses plus granulations des enfin dans d'autres, montrant dans quelques-unes 0‘""‘,005, avec nucléole de U""",002, ou un noyau secondaire de de un à deux, variant entre 0‘""‘,0075 et 0"‘"‘,015, renfermant ou un petit un nucléole. es cellules un noyau. rs aperçu6 augmentü te tumeur [. Monod, t sur plu- e largeur. palais. (Pl. XLII, fig. 16.) CXXXIX. -- Cancer des parties molles du à éprouver des mois et demi, lorsqu'elle commença Une femme âgée de quatre-vingts ans a joui d'une bonne santé jusqu'i l y a trois ale et atteiéndr g ion fact tumé tôt le siège d'une douleurs lancinantes dans le voile du palais. Celui-ei et les amygdales devinren t bien ri et perdu maig coup beau a elle ent Depuis ce mom gnirent des dimensions telles que la déglutition et la respiration en furent très gèuéeà ‘gement ig01 et un des aliments, est occupé par ses forces. Tout le fond dela gorge, a part un espace étroit pour le passage de l'air et du sent On s fréquents de sutfocation. e a beaucoup de peine à parler et a des acer malad La que. i élasti (pem ucs qut ucl tance mOi ? . de consis t ne it ie d'une net lle '1 at suiv dlfiusv inégal, posstble. E ues engorges' . Une op ération palliative était seule côte gauche du cou des ganglions lymphatiq cm ou [ , bout de deux mors, en lluler et fit succombe r la malade au dam ' ' ran'on; le mal ne tarda pas à repu , eho Semaines ' apres le début des premiers accidents. L‘autopsie ne n ous fut pas permise. ' . . , ' t p eu vasculaire , dune brane muqueuse,"ll etai e était intimement adhe'rent à la mem ‘ bid mor u tiss Le - ée. opér ur tume la Examen de f-BôA &ÂAA "AAA.AA, ' Tr.-r, Ut}. !"."! / 1- te tumeur |