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Show de M. Sédillot sur la ont bien des points plusieurs fois mê me, MALADIES DES BRONCHES. . . atte . inte ." de _‘gang . ".rène pulmonai " re, des foyers gangréneux métastatiques dans le cerveau, renfermant des «tig… es Grlstd mes de matiere grasse. 4" Chez un enfant atteint d'hydrocéphalie aiguë, il y avait, \ toutes à la gangrène er, tout un poum on es. Tout ce tissu off re lide, une destruct ion nes et gangréneuses . : diffuse, peuvent se ;rtΑueux dans le lobe lobe inférieur de ce echo, tandisquet out si une fistule pleuro« endae et a la partie dedans, ce qui avait re, lorsque la délimine intensité, le pours on trouve la couche 659 3" Dans un autre cas rapporté par le mêm e auteur (l) , il existait, chez une aliénée âgée de vingt-deux …]5, . outre la g au g rene [)iilnion'iire « ' , une, gangtene -‘ - . "« Dans . buccale. a) ' une de nos observations, ' il' y avait, . . : . , _/ _ O'…" une vaste cave…e gdllglctieuse dans le lobe supérieur du poumon gauche, avec un séquestre du volume d'un œuf de pigeon, une affection gangréneuse d'un bon nombre de ganglions bronchiques. ‘n , 0 ‘ , - ‘ , _ v . . , . " " 7 '"hLZ deux de mes malades dllûlntb de gangrene des membres inférieurs a la su1te d'une obstruction arterœlle etendue, il y avait. une fois un foyer gangréneux dans le poumon, et une autre fois une eschare gangréneuse sur la paroi interne de l'estomac. Nous citons ces derniers faits, quoique le poumon n'y ait point été affecté. Nous pensons qu'il sera bon également de distinguer les faits dans lesquels la gangrène pulmonaire est l'affection essentielle et primitive, de ceux dans lesquels l'affection pulmonaire n'est qu'une métastase, comme cela était pro- bablement le Cas dans deux de mes observations, dont l'une de gangrène buccale et l'autre de gangrène du membre inférieur. MM. Rilliet et Barthez (2) ont trouvé une plus forte proportion de gangrène simultanée dans plusieurs organes. Sur 18 gangrènes du poumon, la gangrène existait 10 fois dans d'autres organes. Gaiigrène de la bouche. . . . . - du pharinx . . . . . . . . . . . . . . . . - de l'œsophage ............... - dularynxetdupharyux. . . . . . . . . . '; '1 2 t Gtiitgrène des ganglions bronchiques et de la plèvre. l - des ganglions bronchiques de la plèvre et de l'œsophage .............. 'l - de la plèvre . . . . . . . . . . . . . . . . 1 in foyer primitif plus On voit, d'après ces détails, que les gangrènes multiples, disséminées dans les diverses parties du corps, sont loin d'être rares. Toutefois nous n'en avons point rencontré d'aussiétendues que dans le cas t[‘€ peuvent peu a peu observé par Virchow. n'y est pas très rare. point observé, mais )euvent jeter quelque iques, qui se trouve Si nous cherchons à nous rendre compte du mécanisme de cette généralisation de la gangrène, nous devons attribuer une influence bien plus grande aux liquides gangréneux, qui, résorbés et transportés au loin, provoquent les foyers secondaires, qu'aux obstacles mécaniques seuls, qui proviennent des caillots emboliques; car ces derniers se trouvent dans des circonstances bien diverses sans produire la gangrène. des caillots tellement Nous ne nions pas la possibilité que des obstacles mécaniques puissent contribuer à provoquer la gangrène métastatique chez des individus qui en sont déjà atteints; seulement nous croyons ici, comme dans bien d'autres circonstances, a une action toxique spéciale a Côté des influences mécaniques demande si, dans ce possibles. tracté l'habitude des ie si souvent, surtout Qu'on ne s'imagine pas, d'après les détails dans lesquels nous venons d'entrer, que la gangrène pulmo- ttention de la Société iiié0. » naire soit une affection nécessairement mortelle; nous avons déjà vu plus liant qu'anatomiquement on a :, occasionnée quel- a la plèvre; d'autres chute d'une eschare ction plus ou moms observé le mode de guérison de cette gangrène par l'élimination et l'expectoration de la substance gan- gréneuse, et ensuite par l'organisation, le retrait et la cicatrisation du foyer purulent qui restait apres l'expulsion des parties gangrenées. Nous pourrons aller beaucoup plus loin. Nous avons vu plusieurs fois, dans les hôpitaux, des individus atteints indubitablement de gangrène pulmOnüife, qui ont $"?" (j'en traite même un encore dans ce moment}, et je n'oublierai jamais un cas de gangrène pulmonaire multiple, aussi serai assez fréquemment si & observations, ain très ses couches, ily ily var Virchovv (2), ions ; et des coagulat it des ] outre il exista ané. llulairc sous-cut de Vaud. » . une deni0iselle . . , alors de quarante-sm - ans, qui' fut - .' ‘ d ui ] craChement de subitement puse agee (l'était ! su rvint une ex p ecto' 1 - bientôt ' - j0uis, ' is - plu51eu " pendant les‘ picniie sang abondant (|…' se repéta ' rs fOis ' -\ . … . - ' ' . extrême, dans lesquels. se tiouva, 1 dans le cour ant de la (uatrieme ‘ de crachats d'une létidite ration . . . . - i, .' ment de la malade était semaine, un morceau de tissu pulmonaire du volume dune nuisette. L iffaisse 1 le siège du mal ' tation , rue ' cul en de la percms " 'mn et de laus extrême, et l'on pouvait ' constater, au moy . . forces . hats perdirent leur fétidité, les ur du poumon droit. Pen a peu le était dans le lobe supérie s crac fut,env1ron \ . . ' ' " ; ' ". ['.' la malade un dans SIX -0….dil…i dispiiiiitii souscrep1tant et le iâle la bronchophome se t‘eleverent, . \ l \ll. . ) '. -1 atij 4 encom et elle semaines après le crachement de sang, en pleine convalescence, (l) Arc/tives. t. V, p 275. (2) Op. cit., t. I, p. h07. , ""\- quej'ai vu guérir chez une de mes malades, en 1837, au cm…nencement de ma pratique, dans le call"… A A!ASAAf"ÎA "une, recueilli sur le |