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Show . \| - À. i',\l\. --‘.'.1 -Aflt.'îtl0..‘.iifi‘«J... *. .,. a !.!"n' l-‘Î f.-3' .1. .' ! ANATOMIE PATIlOLOGIQUE GÉNÉRALE. li00 prob able que ces animaux ne produisent aucune etSimon en a vu lui-même de dix à treize. Il est infiniment Sexes s£"[ espèce de gêne ni de manifestation morbide. J'ai vu chez les chiens un acaru: de follicule tres semblable à celui décrit p ar Simon, fait connu, du reste, des vétérinaires au courant des progres de la science. l'anus ou tr Nous ne parlerons pas ici des parasites de cette même tribu qui constituent la gale chez les animaux; - . : ' ‘ \ 7 a 1 homme. nous dirons seulement qu'il existe des exemples de leur transmœsmn des animaux B. - I)es enlezoat'res proprement dits, ou des helminthes qui habitent les parties profondes du corps humain. aussi accon une gaine, « Appareil venant ab… elliptiques; Cette cla Nos connaissances sur les helminthes sont aujourd'hui bien complètes quant a la partie zoologique de de leur valeur leur histoire; mais il règne encore une multitude de préjugés parmi les médecins au sujet pathologique. En général, nous observons, pour l'homme comme pour les animaux, que les parasites de réphales, les cidentelcette tribu n'ont ordinairement pas un but pathogénique spécial, mais qu'ils ne deviennentqu'ac lement le point de départ de vrais accidents morbides. Aussi existent-ils bien fréquemment à l'étatlatent, et l'état physiologique s'y prête si bien que, dans certaines contrées, les personnes souvent les mieux por- tubuleux … tanles ont une espèce bien déterminée de vers intestinaux, comme par exemple le bothriocéphale, si répandu en Suisse et dans d'autres pays; ici la répartition géographique d'une espèce d'animaux joue évidemment le rôle principal dans sa fréquence comparative. Toutefois des sécrétions morbides du tube digestif peuvent favoriser le développement des entozoaires; c'est ainsi que les enfants malades ou mal 10 Le tr Tête larg petites pap Mâle bla postérieure : 3 : 2; r nourris présentent plus de lombrics que les enfants parfaitement bien portants. On rencontre également a la base e renflée et \ de O""",OOZ le trichocéphale plus fréquemment dans l'intestin malade, dans la fièvre typhoïde, par exemple, que dans Femelle l le tube digestif sain. égalant les Si donc les helminthes peuvent se développer chez l'homme sain aussi bien que chez l'homme malade, a la largem il ne faut pas confondre avec cette prédisposition dépendant du climat ou d'un état maladifles accidents Le trick secondaires auxquels peut donner naissance la présence d'un helminthe. Rien de plus instructif, sous ce rapport, que les altérations matérielles et fonctionnelles que produisent les vers cystiques au sein de nos organes. Nous parlerons avec quelques détails des efi"ets produits par la présence des divers hel- minthes à l'occasion de chacun d'eux, mais nous devons faire observer dès à présent que cette partie de la pathologie n'a point encore été jusqu'à ce jour l'objet d'une observation suffisamment rigoureuse, et comme les qu'il y a là une lacune fâcheuse et regrettable dans nos connaissances. l'ont rence chez d'aut s'attache à n'oucasiom 2° Filait Dans les articles qui vont suivre, nous ne parlerons que des helminthes de l'espèce humaine, et dont l'existence a été bien constatée. Nous suivrons tout a fait la classification des zoologistes, et en général Vers bla longs que l nous donnerons les principaux détails zoologiques d'après M. Dujardin (l). La classification tentée par les auteurs d'après les organes qui sont le siége des vers nous paraît essentiellement défectueuse. D'un côté. un même système, le tube digestif, est le siège des helminthes les plus variés; d'un autre côté, un même helminthe, l'échinocoque, par exemple, peut se rencontrer darts la plupart des tissus et organes du ou munie corps humain. Nous aurons soin de rappeler l'atfinité zoologique qui relie entre eux des entozoaires en spicule pri strié. partie fort dilférents, comme l'ont si bien démontré les beaux travaux de Siebold et de Van Beneden. Avant d'entrer dans les détails descriptifs, nous ferons une courte remarque sur les helminthes du sang. ronde ou d'une queu Mâle à ( Femelle . Plusieurs observateurs, entre autres Gros et Klenke, ont prétendu les avoir rencontrés dans le sang ordinairem humain. Nous n'avonsjamais pu vérifier cette observation, et M. Chaussat (2) après les avoir vainement Le Blair cherchés, conclut à leur absence dans le sang humain. Toutefois, nous l'avons déjà dit plus haut, il est probable que les embryons de plusieurs de nos helminthes passent par le sang et peuvent s'y trouver Mâle inc Femelle ] ainsi d'une manière passagère. peu ami… écl0sanl & l. - NÉMATOÏDES. Le tilair M. l)u_|urdiii leur assigne les caractères suivants: Vers à corps filiforme ou fusiforme très allongév \ . _'_' , . . 1evêtu d ' un légume… iesistant, avec une bouche terminale ou presque terminale, et un anus presque ' I t . terminal ou precédant une queue tres anuncœ; intestin drmt. (1) Histoire naturelle des helminthes. Paris, 48/45. (2) Thèse sur les lzématu:oaires. Paris, 1850. . . . de l'ancien donné le r ! evidemmei … Trudel. ANAT. |