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Show ANATOMIE PA Tll0LOGIQUE SPÉCIALE. 52/1 . . ces anéà l'occasion des maladies cérébrales, ainsi que plus tard dans un travail spécral. En général, ‘ _ _ ou il n vrvsmes ont varié entre le volume d'une noisette et celui d'un œuf de pigeon. Leur symptomatologie & été celle des tumeurs cérébrales, sauf quelques particularités à indiquer en son heu; leur marche a été ont entraîné plusieurs fois très lente, bien que le début des accidents ait été plusieurs fois subit; elles 9 fots « 4 fais e qui… e la mort par rupture. avait li Quant aux anévrysmes des très petites artères cérébrales, M. le docteur Pestalozzi (de Zurich), 3 le premier démontré que, la plupart du temps, ils avaient lieu par rupture des membranes interne et 2 fois (1 lesquels s'amassait le fluide sanguin_ J'ai pu moyenne avec décollement de la tunique celluleuse, sous laquelle observer, pour ma part, toute espèce d'anévrysmes sur ces petites artères, et je partage tout à fait l'opinion de M. Moosherr, d'après lequel ils peuvent se rencontrer sans que le cerveau soit malade; avou‘ q leur développement je crois que le peu de résistance de la pulpe cérébrale favorise singulièrement 5 était € 1 f015 a meure. vingt-q & lV.-- De l'auévrysme disséquant et «le la rupture de l'aorte. autres . après le L'anévrysme disséquant n'a été bien étudié que depuis une quinzaine d'années. Le premier travail ( étendu et le plus important sur ce sujet est celui de Peacok (i); un second, non moins important et "‘ (: récent, est celui de Rokitansky (2), et nous trouvons un fort bon résumé de nos connaissances sur ce sujet dans un excellent rapport fait sur ce point, en 1854, à la Société anatomique, par M. Leudet (3). Nous qui met ' Rokitansky cite plusieurs cas dans lesquels l'étroitesse primitive du calibre de l'aorte, avec amincissement des parois, était la cause de la déchirure; mais le plus souvent une altération acquise des tuniques artériel travail artérielles en est le point de départ. La déchirure des membranes interne et moyenne est, la plupart 18 cas; du temps, complète; cependant quelquefois les lamelles de la tunique musculaire peuvent encore siège & adhérer à la tunique celluleuse, qui est toujours largement décollée. Dans quelques cas le sang peut haut, d rentrer plus bas dans l'artère. J'ai observé une fois un cas de ce genre sur l'artère crurale du cheval. Le siégé le plus fréquent de l'anévrysme disséquant est près de l'origine de l'aorte; à peu près dans les qui rest normalt deux tiers des cas, on l'observe sur la crosse, près du tronc brachio-céphalique, plus rarement dans presque l'aorte descendante. Le décollement de la tunique celluleuse occupe environ le quart ou la moitié, férence quelquefois davantage, de la circonférence de l'artère; il est plus étendu dans le sens de la longueur, quelquefois il est oblique ou incornplétement spiroïde. Les bords de la déchirure sont ordinairement lisses; dans quelques cas les tuniques interne et moyenne sont athéromateuses, le cœur est ordinaire- quelque dans qt diminut ment hypertrophié. Ces anévrysmes se rompent, la plupart du temps, dans le péricarde, plus rarement dilatée, dans l'artère pulmonaire, dans l'oreillette droite ou dans la plèvre. Le ramollissement et l'apoplexie les …… cérébrale ont eu lieu quelquefois, lorsque la déchirure se propageait à la carotide. Comme l'ané- plupart vrysme de l'aorte, cette maladie est propre à l'âge avancé, et ne s'observe guère qu'après l'âge de cinquante ans. Les phénomènes de ce genre d'anévrysme atÏectent un début plus violent, avec dyspnée subite et variable considérable, vertiges, perte de connaissance, et surtout avec douleurs subites et violentes dans la région térale q précordiale ou sous le sternum. Les symptômes cérébraux sont plus fréquents d'après Peacok. La etles sc rupture du sac est survenue 13 fois sur 24 cas; dans les autres cas, la durée ne fut que de quelques jours, sauf une fois de neuf mois, et une fois de huit à neuf ans. Dans le cas de Goupil, qui sous-cl; interne fait le sujet du rapport de M. Leudet, le malade a survécu pendant onze ans. Rokitansky décrit deux premièy cas de guérison dans lesquels un dépôt fibrineux avait collé, pour ainsi dire, les bords de la déchirureà la tunique celluleuse, mais le vaisseau était resté dilaté %] ce niveau. tl‘ique i aU55i pe Rupture de l'aorte. - Le seul travail un peu complet que nous connaissions à ce sujet est celui de le réu-é notre ami M. Broca (Æ), qui, à l'occasion d'un cas de rupture de l'aorte présenté par M- DGSÊOUChCSà de tumc la Société anatomique, a fait un rapport remarquable dans lequel il donne l'analyse de 29 faits, mais Dans la ruptl Un (] cepende {‘l) Edinburgh flic/l. and su7‘g. Journal, avril 48/13 ; et leÏIÎ/IÏj/ Journal, septembre 18/19. (?) Ueber etneÿc tier /m'c/1tiÿSt€æt Ii'rmt/r/m/l m (li'l' ;17-lw‘iz‘n. p. !.1, altératic … mm., t. xxv,p. 2118. imens… (:$) Bulletins de la Société anatrm u'qzw, t. XX\"lll. p. "287. ain-. AN:‘ bl qu W‘w .u.\……….. ...,... |