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Show LE. survenu: PATHOLOGIQUE GÉNÉRA 7u t la constL ade âgé de cinquante-trois ans, don J'ai vu dernièrement un cas de pemphigus chez un mal ant quelque ion gastro-1ntestma le, et chez lequel, pend tution était très affaiblie par une longue affect comme les bulles étaient nombreuses, surtout 6 temps, chaque bulle devenait le siége d'une he morrlumie; . . e faisait ruisseler le sang de la surface de sajambe par les chaque pas du malad et aux Jambes, aux pieds mi- ations (1 e fer, de quinquina et par les acides vésicules rompues. Un traitement tonique par les prépar . rave de variole dans - ion. ' cesser cette disposit Tous les pathologistes connaissent la forme g néraux a fait de la fièvre typhoïde, je ne sais pas laquelle les pustules se remplissent de sang. Quant aux hémorrhagies rame] lissement et les ulcérations de la encore trop si l'état général en est la prinmpale c anse ou si le en etodant quelque petite a1tere our le membrane muqueuse intestinale ne les provoquent pas plutôt I / ' :! ‘ ron ,,generale de toute ] ecopat- une alterat '- -« -. -'- egalement ' longtemps qu'il' est- conso scorbut, on admetdepms été frappé à la fois de l'abonnomie; et dans l'épidémie qnej'ai observe e en 18ÆÎ a la Salpétrière, j'ai et entre autres dans les masses dance et de la multiplicité des bémorrhagies dans les divers organes, _‘ " ., . , ' , . _ . , ' ] et … presque que ale, espertment pathologie de resultat un comme enfin ai meutionner musculaires. Je auxquels J avais 1mecte du pus ou constamment survenir des ecchvmoses pulmonaires chez les animaux des substances putrides dans le sang. Les causes externes interviennent souvent dans la production de l'hémorrhag1e. Les Violences externes se placent ici au premier rang. Lorsque aucune solution de continuité extérieure n'a été produite, que l'on n'a affaire qu'à une contusion dans laquelle l'épanchement sanguin est interstitiel, les gros vaisseaux ne sont guère ouverts; aussi l'épanchement sanguin se résorbe-t-il avec assez de facilité, à moins qu'une tou llill' P d'… de l le ('t mor vole Je local mal mêm la ré; le ca liquic La dant rati01 prolc disposition hémorrhagique générale ne le rende très considérable. Lorsque le sang extravasé, au lieu de ment rester a l'état d'infiltration, se réunit en foyer, sa résorption est beaucoup plus lente; le sang peut même s'altérer, et il peut se former autour de lui un travail plulegt‘nasique qui se termine par la suppuration: aussi M. Velpeau donnet-il dans ses leconsle sage précepte, pour prévenir cette issue fâcheuse, de ramener le foyer hémorrl'1agiqrœ à l'état d'infiltration en l'écrasant par la pression avec les doigts. liqui Lorsque la violence extérieure a produit une solution de continuité, l'hémorrhagie est d'autant plus considérable que les vaisseaux ouverts sont plus volumineux et qu'ils sont artériels plutôt que veineux. La prout que < quelq les fo Nous n'en dirons rien ici, les traités de chirurgie en parlent longuement, et l'on sait que l'application des réf1‘igérants, la coaptation des lèvres de la plaie, la compression, les styptiques et la ligature arrêtent peuve les pertes de sang selon les circonstances. La surexcitation de fonctions d'un organe peut également déterminer des pertes de sang, mais qui or- dinairement sont peu considérables et de nature capillaire: tel est le résultat, par exemple, d'une super- artifi< purgation, du coït trop souvent répété dans un court espace de temps. que t Une cause remarquable d'héuiorrhagies est la raréfaction de l'air que l'on observe sur les hautes montagnes. La différence de pression atmosphérique, en effet, est telle que le baromètre qui marque 0,28 sur le bord de la mer, ne marque plus qu'entre 0,14 et 0,15 à la hauteur du Mont-Blanc, situé à euga qneh 14,750 pieds au-dessus du niveau de la mer. Cette différence exerce une influence constante sur la circu- sion lation, et tous les bons observateurs ont indiqué l'accélération du pouls, même à l'état de parfait repos, lorsqu'on arrive dans les régions des neiges éternelles. De nombreuses observations enfin attestent que, No Hans salut; Si La lorsqu'on s'est élevé il des hauteurs beaucoup plus grandes encore, dans un air de plus en plus raréfié, les hémorrhagies par le nez et par la bouche ont souvent incommodé les hommes qui faisaient ces ascensions. Toutefois les efforts musculaires qui accompagnent ces ascensions doivent entrer en ligne de compte, puisque, dans les ascensions en ballon, ces hémorrhagies n'ont pas lieu. On prétend aussi que les hénmrrhagies sont plus fréquentes dans les pays très froids que dans les pays chauds ou tempérés, mais ce fait n'est en aucune façon démontré. w : .» v Nous ne sommes pas très bien renseigné non plus quantà plusieurs autres circonstances qui exercent très} une influence sur la fréquence des bémorrhagies : par exemple, l'âge et le sexe. Nous savons bien que, selon l'âge, il y a des différences de localisation d'hémorrhagies: c'est ainsi que l'épistaxis est plus fréquente pendant l'enfance et la jeunesse, tandis que la pneumorrhagie appartient à lajeunesse et à l'âge on n, se dé moyen, et que les hemouhag1œ uteiiues, hemorrhonlales et cérébrales, se montrent de préférence dans la "a seconde meme de la Vie. On a dit que les fennues étaient plus sujettes aux liéi'norrhagies que les hommes; malat - ,. """'Âlluî‘dd ;... "' ' ' " "<" +'-‘;"' + art-. +J_u +J_u + .iu +J.u . d:\g-Jls-Ïg.,, .;t, *"A{+ "_" peu 5 |