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Show est épaissie et friable , une matièr c liq uide,, à l a base du po umon pulmonaire est d‘air ipé une assez gr ande té pleurale, qui elle- :i arrière, surnag eant mieux, abonda nt. Le limitée en bas et au la partie externe du loin; en hautcllosc le reste de l'abdomen à la partie inférieur e nbraneux nombreux, très du bord convexe aux d‘entre elles, vers asseux un peu rouge, it pas a la collection foie offre un volume zur-e du lobe droit est tease d‘enveloppe, qiri pas, sur le lobe droit, centimètres du bord 'e une profondeur de MALADIES DES VOIES RESPIRA'I‘OIRES . bronchique avec bronehoplronie . On prescr - it' une soluti' on de '29 " * ' ‘ I ' ammoniaquc dans 180 grammes d'eau avec 10 centigrammes d‘extrait (l‘opium et 30 grammes de sirop de es & 3""…" diacodc; pourrhïd… de °lll0 nourritur m d e du lait et du bouillon. Les jours, . trouve le cœur déplacé ver s le steriium. arrivants, on Lorsque le malade s'asseoit, le son lympanique remonte. On constate aussi une augmentation de l'épanchement pleurétique à gauche. La dyspnée s'accroît, l'expcctoratiou devient fétide, le soriinieil est unité mais le malade se sent assez bien. A la fin de janvier, la joue gauche devient œdémateuse , ainsi que le dos du pied. On sent de la fluctuation : !} darts l'abdomen. Le son tympanique est plus concentré .autou ' Ir dumamelon gauche, et c-‘ est ?a cette seule place que lon ‘ entend encore la respiration amphorique et le tintcment métallique. L‘a ppetrt, qui Jusque-la est bon, diminue; ic pouls devient tilifornie, la dvspnée par moments excessive. (Emulsion opiucée; le soir 10 [ g out tes de laudanum mec ‘ 13' gouttes de liqueur ' ‘ ' (] ‘ ammonraque; anisee ' '" rlecoctiou de . . des bouillons et un lichen d'Islande; ' peu de vin.) sa matité, dans le côté gauche, de la poitrine., augmente‘ l ' œdeme ‘ remonte- 'il vomit une partie des aliments. La dyspnee reste habituellement intense; le pouls est a 120, a peine perceptible; les , sueurs nocturnes deviennent , excessives et le malade succombe le lt février, cinquante-six jours après la per toratton pulmonaire, qui s'était faite sans grande perturbation dans le moment même. Autopsze [arte vtngt-cznq heures après la mort. -- On fait sortir des bulles d'air sous l'eau &. l où le pneumo-thorax avait existé. A gauche les deux tiers inférieurs des plèvres costale et pulmonaire sont adhérents Il ne reste que le tiers supérieur dr : ] a canto. " ' rempli' de . , . _ , . _ ' _ _ _ , pres (1 un litre (1 un liquide purulcnt fonde. On \‘0it distinctement deux ouvertures qui communiquent de l d ] b l a surface dela partie inférieure u 0 e supei teur gaucte avec une caverne très volumineuse, remplie d'un liquide gris jaunîitre b A f t ] ] purulent mêlé de flocons pseudo- mem raneux. sa sur ace cx crue , et }) eue ‘ … est epa155re, ' ' ' comme chatnue, , . 'il y a de nombreuses saillies - - en forme - . . . .. d'aretes rrreguheres, ce qui lardonne un aspect irreguher; son epaisseur est de 2 à 3 millimètres; sa coloration est d'un gris jaunîrtre ou d‘un rouge violace‘, parsemee de nombreuses arbonsatrons vasculaires. La caverne elle-même, au-dessous, est multiloculairc, et ses parois sont parsemées de nombreuses granulatrons tuberculeuses. On trouve beaucoup de tubercules anciens en partie crétacés, mêlés avec des tubercules plus recents. Le poumon drort renferme egalement ce même mélange de tubercules anciens et récents, mais point de cavernes. A la face mferreure delepiglotte se trouvent deux taches grises, dont l'une érodée; la muqueuse bronchique est ll\'pél‘éltlié8 dans les petites bronches; le tissu pulmonaire, hypérémié àdroite, est atrophié, comprimé, d'uti gris noiràtre au-dessous du sac pleurétique à gauche. Tous les autres organes sont sains. se continue avec un CCXXXIX. -- Pleurc's‘z'e chronique avec bride cicatricielle et «trop/zic des côtes. (Pl. LXXXIII, tig. 1-lt.) et résistante, n'offre es sont revenues siii' un blanc légèrement aqueuse est rosée, un -cales, on observe un Tout le gros intestirn siste qu'en saillies et faces bourgeonnantes. r et ne s‘at‘t‘aissant pas taxis le bassin, aucune sans changement de ,= a' un hydro-pneuma- ir été souffrant depuis de la poitrine. il est it plusieurs mois. Ses et devenue plus forte et ri aig ani s trè est il l est ilières; le sommei nte; t toux est fréque che s la clavicule gau t tou sur le particulière, s Dan on du côté droit. en avant ié inférieure, , la n bas et à gauche on ti ra pi ex e ' places un parois thoraciqucs et ostéophyles autour de toutes les côtes. CCXL. - Pleurésic ancienne du côté droit. Fistulcs extérieures. Afl"afsscment des nu.nxxxurfig.sasq " d ‘ une p l e urésie du côté droit, ' '> pi "tsc, en Ju… 18.32, a ete ‘ faible, ' ' ion ' ' et d'une constitut ' ans, amargne e-srx ' « Une femme, âgée de crnquant ce qui l‘engagea a entrera c‘est e; croissant yspnée d une à et lle continue qui fut négligée au commencement et donn a lieu à une toux le thorax du ce tout ir fait sénile; elle a (les cheveux complétement gris; l'hôpital de Zurich, le 6 août 1852. La malade offre une apparen s; on " saillant sont staux interco ‘ . ,et huitième espaces . mais les se ptième côté droit est aplati; les dernières côtes sont très rapprochées, au loureuw peut On td ) _ . percer. de ) su point le r abces un d nce lappare peau est arnincie et oftre perçoit de la fluctuation; dans un endroit même la … Ol.n,‘… i;fl)p; ttqpmtre lorgtece ressort. il peu a peu mais saitlie sous la peau, refouler dans la cavité pleurale le liquide qui fait s ,1 p.…le inspirations. : faible, offrant 12h pulsations par minute et [h et petit pouls le e; excessiv est toucher. La dvspnée Ut is … , peu a peu me d‘un pas épais. La place dela ponction se transfor par la méthode . souscutanèe, et il sort envir on 200 grammes on ottre respirati La malade. la d'environ tr0 it 50 grammes par jour, paraît soulager mais pendant le premier temps, cette sortie du pus, ne \‘0it ou re; supérieu partie sa dans t que le ntement et seulemen un aspect tout a fait anormal; la paroi thoracique droite ne se ment és a gauche. La augment sont ires respirato nts côte en bas, tandis que le 5 mouveme presque pas de mouvement à partir de ] et troisième reste du côté droit offre de la niatité. plus à gauche qu'à droite, et tout le mais poitrine, ‘‘ dela percussion est sonore des deux côtés les mois d‘octobre et novembre, bas, mais jamais plus lo…. Pendant plus es mètr centi quelques de l'espace dans par moments, tres La sonorité revient bien oit une légère égophouic. La toux est. et en bas, et dan 5 ce même endr nte (liniinua, le purule on entend un bruit de frottement en arrière ion sécrét la peu a Peu nées entières. même complétement pendan t des jour cesse elle et moindre, plus en plus, de issa ensuite intense, . côté droit de ] a poitrine s'al't'a . eure. Le liora, et la nutrition dev… t meill n‘entendit , on mbre ‘ pouls se relev a et resta à 90, l‘appétit s'amé nove atton. A p artir de la tin de int le siège d‘une légere mcurv continue, aroi p une r forme de et en même temps la colonne vertébrale dev ochèrent au pomt au sommet. Les 06 tes se rappr ' nest ' , sr' ce ' c a‘ drorte plus aucun bruit respu' atotr {83 ANAT. PMHOL.--21' mvn. ‘uL- .., u..uu +""" *' " ". assez abondante dans rr, 0"‘,11; épaisseur, amant pénétrer par le :l‘intestin grêle, une ares fécales solides, ne nie capacité normale, esque immédiatement …, abcès. le parencliymc e dépôt hr‘unz‘itrc ou Ce fait est curieux parce que, dans la pleurésie chronique, il est bien plus fréquent de voir une périostite costale se développer, qui ensuite épaissit les côtes par la production de tissu osseux nouveau, que d'observer, comme dans le fait actuel, la raréfaction deces os. La pièce dont il s‘agit provient d'une femme qui, il y a plusieurs années, avait été atteinte d'une pleurésie du côté gauche. Depuis lors son haleine était restée plus courte, mais il y avait chez elle un tel degré d‘embonpoint qu'on ne pouvait guère apprécier la déformation présumée de la poitrine. L'autopsie & montré, du côté droit, les lésions dela pneumonie; du côté gauche la paroi thoracique est dépriniée, le poumon est très peu volumineux; sa surface est sillonnée d‘empreintes profondes, dues à des brides épaisses et longues qui existent sur la plèvre pariétale. Les brides, dont la direction générale est à peu près verticale, sont formées par d'anciennes fausses membranes très épaisses, très dures, semblables, par leur aspect et leur résistance, à (les productions cartilagineuses, et présentent en plusieurs points une apparence d'ossification. Les couettes calcaires déposées dans l‘épaisseur de ces brides n‘ont aucune connexion directe, aucune continuité avec les la côtes, ni avec le périoste costal. Les côtes sont très rapprochées les unes des autres; les espaces intercostaux sont réduits a moins de est moitié de leur largeur; les muscles intercostaux sont atrophiés, en grande partie remplacés par du tissu adipeux; la direction des côtes dans lotir épaisseur beaucoup plus oblique qu'à l‘état normal. Les résidus pseudo-monibraneux ont une structure fibreuse et renferment masse la surface cette de détacher bien très peut on des concrétions calcaires qui correspondent au trajet de plusieurs côtes. Cependant mous qu‘on tellement os ces trouvons nous correspondantes, côtes les interne des parois thoraciques, et, en coupant successivement toutes rougeàtrc. moelle d'une remplies sont aréoles les et peut les diviser avec des ciseaux; leur tissu est raréfié eîAaaaâââ QQA AæaAàg AÂÂA ces. Dans aucune de |