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Show . 612.) autres à réfuter ailleurs l'opinion de la nature scrofuleuse de la teigne (l). séjourné La perte de la couche épithéliale ou épidermique de la peau et des membranes muqueuses est favorable au développement de quelques algues, dont les filaments se développent alors volontiers sur des plaies "Y"À""À :hes dis- L'] L‘.' l‘)…" NfPRAÂÂÊEÔAAA.f* 353 d'un état morbide antérieur. S'il est vrai, par exemple, que, pour que la teigne se transmette d'ut1individu a un autre, le simple contact ne suffise point, mais qu'il faille encore une prédisposition individuelle, il yaloin cependant entre cette prédisposition et un état de véritable maladie, etj'ai cherché entre «VY' DES P;\lt.\SlTES VÉGÉ'lÏ\['X ET ANIMAUX. qui lui a et des ulcérations. L'état vraiment putride parait plus particulièrement propice au développement des infusoires qu'à celui des algues. \ingle de J'ai rencontré constamment sur l'arrière-bouche une algue que je décrirai plus loin, et qui, par con- certain nombre d'animaux inférieurs portaient constamment des entophytes et des espèces à peu près fixes dans leur tube digestif. On peut donc établir que si un état morbide local ou général est plus particulièrement favorable à l‘évolution des parasites végétaux sur le corps vivant, ceux-ci peuvent cependant se développer dans ""/\\ AAA«\ '."Af séquent, fait exception à la règle de l'état morbide des parties qui donnent naissance aux épiphytes et aux entophytes. J'ai de plus rencontré si fréquemment des filaments d'algues dans les garderobes de sujets atteints des maladies les plus diverses, que je crois que, dans les intestins, il peut s'en développer sans un état morbide nécessaire. M. le professeur Leidy, de Philadelphie, a démontré en outre qu'un quelques circonstances en vertu d'une prédisposition individuelle dont la nature nous est inconnue, et même àl'état de santé parfaite, comme parasites constants chez les diverses espèces d'animaux et même ancées chez l'homme. A leur tour enfin les parasites peuvent servir de cause et de point de départ à divers exacte désordres locaux de la nutrition, et devenir ainsi de véritables agents pathogéniques d'autant plus ca- 5 hel- l'hui à de la réduit iettons gation sol qui ‘e bien pables d'agir qu'au moyen de leurs petites sporules, ces végétaux peuvent non-seulement se transmettre d'une partie du corps à une autre, mais aussi d'un individu à un autre, même des animaux à l'homme. Quant au mode de leur développement, nous savons aujourd'hui que tous les végétaux que l'on trouve sur l'homme naissent et se multiplient par des germes, des sporules, et que la génération spontanée ne leur est pas plus applicable qu'aux parasites animaux. Nous allons passer en revue successivement les parasites végétaux de la surface externe et ceux de la surface interne du corps. Si la division des parasites végétaux en entophytes et ectophytes présente un intérêt pratique, il est cependant nécessaire de combiner leur description avec une classification générale conforme aux divisions botaniques. Nous emprunterons cette revue systématique à l'excellent travail de M. Ch. Robin (2). lui qui lisait/aire? de l‘intestin, Farre. Lepi‘muz‘lus zz:‘o/)/zfltzs, Mont. (Vessie.) _llunor mumlu, Linné. Leptu)iiitizs‘? «le [Iamrorrr, (jh. B. (l'hur_vnxettésopli.ige.) Ac/mrion .S‘c/zaeuluz‘uz‘, Remak. [J‘1/f0tHf!US ? de l‘épiderme. .lxpfirgilli species? l‘aciui et Meyer. I.ry;lomitasl" de l'utérus. I‘uccinz'a fact, Arilsten. [.f'ph)miliis‘i' du mucus utérin. I./>pfuiziiz‘iis‘? de l'œil. at ceux l'effet. ue qui uulta- Ui'zlz'um m'bicuus, till. R. (Muguet). (‘/uiuqriynou (][! {foin/zou, Bennett. muguet Champignon dans l‘écoulement de la morve. tiques, ofond. Nous ne donnerons qu'une courte description des végétaux parasites les plus importants et les plus fl‘eqUents, en renvoyant, pour de plus amples détails, à l'ouvrage de .\1. Ch. Robin. travail ',, n'est ention … Tï'üï‘t6' pratique (les mal…/[ts.:‘L'mfulezlsr3 cl tuberculeusps. Paris, 1859. P. 2124 . . ..*t>, ." '.‘n 1.) p al (lt 5 atlas de 'Î')'t. 6 ..\et"'-' lb.)3, in ttt anis. l‘ai sur 1 ) homme et les an1mau.t que. croissent 1.aruszlcs tl) Hrotolre naturelle des tig/taux :1i"f'.‘. "‘" .ll. mantugroplzyles_ Ch. R. .ll. fur/"ur, Ch. R. ,.. (.‘iyp/ucuccizs‘ curerixi«t‘, Ri'itzing. ('. yu!hift/S, (jh. l\. (Lapin) .llcrisuzuprltdz'a ueutricu/i', Ch. R. L('/if{if/I}‘ÏJI bucralis, Cl]. R. ! ; Ï‘r‘ic/10p/iylun tunsm‘uns. .\lalmsten. T. spm‘ulaïrles? Cl]. R. T. ulcertun l' Cli. R. .llt'Cl‘0flpoî‘on .-1udoufu[, (jruby. l': e chez Il. - st'it L1-;s ntot'Et‘sEs. _-,.4-\ :, dans .»t. - .\ l.\ sun-uma nr, … pmu. A.-A rasites ?!,A-AÂA" ÂFfl.AA.-r‘AT""" ÀAA _ On observe chez l'homme et les mammifères : rasites |