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Show MALADIES DE LA PLÈVRE. s y a paru plusieurs s oublier qu'on ne Hasse l'a trouvé, sur 26 cas, 16 697 f0iS a gauche et 10 fois à droite. Les résultats sont donc à peu près [ faut par conséquent concordants pour la fréquence plus grande à gauche. quoique les observ ations aient été recueillies dans des localités bien différentes. J'ajouterai à glace sur la tête et its, l'usage interne de consécutives, sans compter les Pleurésies ddiibîeîîiïfa "phthiSié a"t_"‘Î5 de pleuré‘S'e d'…b'e' _ , . pulmonaire, ni celles mais de laordinairement pyohémie. res agiles et poussent AQuellq que sort la marche ultérieure de la pleurésie, le début anatomique est a peu près toujours le meme, 0 esté-dire une hypérémie inflammatoire, une injection vive, les petits vaisseaux étant gorgés de sang, leur calibre mega], des petites ecchymoses existant sur leur trajet. Les réseaux vasculaires sont très les émollients s'il se compression et de la il point de remèdes rapproches et donnent au tissu cellulaire sous-pleural et à leur enveloppe séreuse un aspect velouté, ou la rongeur est moms uniforme, plutôt disséminée par taches, par îlots, par stries multiples, par bandes. Si le Siege de la pleurésie, comme pour l'inflammation de toutes les membranes séreuses, est dans le tissu cellulaire qui la double, cette membrane ne tarde pas à être altérée elle-même. De fine, lisse, transparente qu'elle était, elle devient plus épaisse, dépolie, opaque. même rngueuse et inégale à sa surface; son épithélium se détache on subit une infiltration granuleuse; plus tard elle se ramollit, les ar dans les poumons vaisseaux la pénètrent et la traversent pour arriver aux fausses membranes récentes qui la recouvrent. A cette première période le tissu cellulaire sous-pleural est non-seulement vivement injecté, mais aussi i r etat de suppurahon. )ur une suppuration infiltré de sérosité. weau-né syphililique, s les passages jusqu'à et les termes de pleurésic sèche, glutineuse, $Ëï‘ettS‘e, pseudo-membraneuæ, purulentg, n'expriment que - Avec ce point de départ initial commun, la marche ultérieure de l'affection peut être bien différente, bien imparfaitement toutes les nuances que l'on peut observer. Nous allons en passer les plus essentielles en revue. Il n'y a d'abord pas de pleurésie sans exsudation; mais cette exsudation peut être minime, consister en un liquide visqueux, glutineux ou en flocons pseudo-membraneux grisâtres, disséminés par petites taches et plaques et d'une manière réticulaire sur le trajet des vaisseaux. L'inflammation peut ne pas aller plus loin et provoquer aux points correspondants du feuillet opposé de la plèvre une agglutination dans laquelle des vaisseaux pénètrent bientôt, et c'est de cette façon que se produisent beaucoup d'adhérences pleurales; c'est même là une forme qui doit être latente, puisqu‘on rencontre bien plus fréquemment des adhérences pleurales dans toutes espèces d'autopsies qu'on n'observe de pleurésie simple, tandis qu'on a L'exsudation pseudo-mcmbranense peut ne pas s'arrêter là : les petits flocons fibrineux deviennent confluents; de larges expansions membranenses d'un aspect quelquefois tout à fait gélatineux recouvrent les surfaces enflammées, et même des couches superposées de cette exsudation se forment successivement; les vaisseaux les pénètrent promptement, provenant toujours, par une espèce d'évaginalion, des vais- seaux de la surface. M. Andral les a observés déjà au bout de dix-neuf heures chez im lapin, et Hasse qui n'avaient au bout de vingt heures chez un phthisique. Je les ai vus plusieurs fois dans des pleurésies chroniques graves. On a duré que deux ou trois jours et qui survenaient à la fin de maladies aiguës ou une organisation des fausses désigné cette projection vasculaire avec adhérence plus intime comme si la fausse membrane, alnSl membranes. Toutefois ce terme exprime une idée trop exclusive, car s épaisses vascularisée, peut s'hypertrophier et former avec le temps des plaques saillantes ondes calotte ration de l'empyème. . la ma; orité des cas, on voit les fausses autour des parties ent1eres du poumon, d'un autre côte, dans de *, et principalement résidu qu'un tissu cellulaire membranes s'amincir, disparaître en bonne partie, et ne laisser pour es. Les vaisseaux servent ainSi tout mince, par lames étendues ou par filaments on expans10nsl igamenteus . nutrition. J'ai si souvent . aussi bien à la résorption et à la disparition des fausses membranes qu'a le nr .. , les matieres exsudees, que _](Î dans er tse form aien nts pouv nda épe x ind seau combattu l'idée que des vais e .ladie n'occupe la parti ste lieu en bas. ll n'exi que i ne tenant compte , dans pleurésie double Mohr au près de 3 a2. à drone. l gauche et 20 a l'histoire ne mons, pour :ervir adémie de _- Bulletins de [' Ac ' ormatmn sont déabor t de doctrine. Les vaisseaux de nouvellef n'ai pas besoin de revenir ici sur ce poin . x ' forment des* i' 1seau ' tôt ils ' bien ure fréquente. Mais ' t leur rupt inégaux, leurs parois sont minces; de la' wen ' is se aux p lus anciens , et la circu ation ' ‘erent plus de celles des va ' ne diff élégants, soli' des; leurs par0i5 es _ s'y fait d'une manière régulière. . , _, . hon, qu1. a trou ve _é d ennes adhérenc anc1 d . dans Virc ' de ion ‘ rvat obse l e ' ' Nous avons plu51eur ' s f015' confirm ' ' es eauxv lyme trou ."k y a ] mêmvaiss nerfs. M. Schroeder vand: der. I\ol des tives primi fibres des et du tissu élastique … ] .avons ecrit ai eurs ces nous étonne peu, nor»" (ui vaiss ' eaux lymphafiq' ues, ce qui' AMT. PATHOL. --20‘ un. ,.....i .-..i-.- .-.- t.... .. , .v A::- ml.. A», ogiste qui s'en occupe nographie. , . .,. ..…\Â ñ___p_ in, nous devons faire AAAAñ WA« late que de la décou- étiidiéé5 sous le triple )le‘ttil les découvertes (aux dans la pleurésie perforation, et dont je ÂRÂAAm...…4-' pendant la vie. |