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Show "Î'ü't'F'L-trçn2- / 663 ! . , . ete observe P ar M. And* . "il (1), lequel a. œncontre ces parasites dans les veines pulmonaires ('e fr… me rappelle_ une dans laquelle j'ai trouvé dans le foie d'un monter i des ace' h' , . de mes dissections, . ' ‘ 7 dans l'interieur de la veine porte. Voici ' curieuse: ‘ la description que donn 0 M- , ' .. . " . "'OCysœ Andral ' de cette … altemtton ét]tllltl€, le dégageme nt certaine quantité de . . , . remplis ÛËËZjÊÛÎ}ÎΣî)ï}. î}:Lî d qu,elïlî « . étîilïFÎ d un grand nombre d'hydatides;pous ci-ùines d'abord plus en plus de bons , . . _ . ‘ yme meme des poumons, mais bientôt une dissection plus attentive nous decouvr1tnn fait q… u, Jusqu'a présent, peu d'analogues dans les annales de la science, savoir, l'exis- de cellules cancéreuses. le cœur, et nous les suivîmes dans le poumon. Lorsque nous t'ùmes arrivés à leurs divisions, presque capillaires, nous commençâmes à voir plusieurs d'entre elles présenter un grand nombre de rendements que remplissaient des bydatides. Après s'être ainsi dilatée, la veine reprenait son calibre primitif. puis, un peu plus loin, elle se dilatait encore. Les poches les plus considérables auraient pu a peine recevoir un pois; elles existaient également dans les deux poumons. Les hydatides qu'elles contenaient avaient tous les caractères des acéphalocystes: plusieurs présentaient, dans leur épaisseur, des petits points d'un blanc mat; d'autres offraient, a leur surface interne, un grand nombre de granulations miliaires. La plupart étaient rompues. Autour d'elles le tissu pulmonaire était, en plusieurs points. sain et cré- 3umons, d'une manière pitant, en d'autres fortement engoué et même hépatisé. » foyers purulents, gan- Les faits dont nous allons donner l'analyse sont tirés en partie des Ï)'ttf/GltHS de la Société anulonn'que, en partie de la clinique de M. Andral, et en partie de rues observations propres. Je ferai observer qu'à Zurich, je n'ai pas, jusqu'à ce jour, observé sur le cadavre une seule fois des échinocoques. Dans plus d'un tiers des cas analysés, il y avait des hydatides dans le foie, et une fois aussi dans la rate, ce qui indique la disposition des foyers disséminés. Six fois le poumon droit en a été le siège, et la disposition était la même dans les divers lobes; trois fois seulement le poumon gauche, quatre fois les deux poumons. sont quatre faits Dans six observations le siége n'est pas rigoureusement déterminé, et de ce nombre ue ait été fait. darts lesquels les membranes hydatiques ont été expectorées sans que l‘examen anatomiq faits, les kystes hydatidiques Nous parlerons des hydatides des plèvres plus tard. Dans plusieurs de ces (2), la cavité pulmonaire qui du poumon étaient multiples. Dans une observation de M. Mercier é un pneumothorax: renfermait la poche hydatidique s'était ouverte dans la plèvre et avait provoqu dans le liquide on trouva de plus, a l'autopsie, une hy<latide du volume d'une orange, nageant la perforation pulmonaire. Le tissu épanché de la plèvre; elle était sortie intacte par l'ouverture de irement refoulé, comprimé et atrophie. A sa pulmonaire qui entoure les poches hvdatidiques est ordina ire qui, dans plus de la meme des (as, .. . ., ,. limite, il se forme souvent une condensation de tissu cellula . ,. -. _ . . :ideutels des poumons l. Les tubercules sont e sujet dans la partie mélaniques, tant chez il de véritable infection ussi de tumeurs fibro- is récent de ce genre, l tissu ambiant. par Virchow et Paget. es. Bleu et Rokitansky de nombreux enchon- me du testicule. dans les cas de fongus [ qu'il a observées dans nent la conséquence de Je llée, sont très rares. é in g, et qu1' a été exam s '1), qui a trouve, dan temps rmaient en même erme, en outre de l'épid guere mons (2). On n'a appelle tænias, que l'on dont no.us e ce genr e, qui a science, e dans la h5 . ' , Pant"s, 18 ' czne da de‘/nie de me - prend une apparence fibreuso. 315115 - la ° lllSCtläSlOll, / St)Lll()\‘€B .- plllbl€lll‘n ft)lb (lr‘tllh lG bt,lfl tlB la JO(.lCLL d'une poche ou non, me paraît passablement anatomique, sur la question si les hydatides étaient entourées oisense. , jamais; son aspect fibreux depend seu- ue manq ne ensé cond ctif conne tissu du r La délimitation pa poche plus souvent dans les poum ons une seule lement de sa plus ou moins grande ép aisseur. On trouve ques y ontété hydatides secondaires. Les échinoco BCéphalocystiqne, une seule hyd atide mère, que des ces animaux pusso nt ois il serait très possible qu'ici encore Observés un grand nombre de fois. Toutef . en , ‘ \ 'L‘ nt guérir et se transformer ire. (les kystes p LU ordina e typiqu aspect leur 5 3011 IHS "'…quel, au IIIO' ü Pl US |( ‘ ||| 'b' une masse gélatineuse, CÜII]IÏ]B dans baneb. (l'a \ ltt‘€b Ul‘Ü D'autres fois, ‘ "OU.\' (,il ‘ (,l (! ' YOU" Ul)"t('l'V es lesquelles les mc iiibi‘anes hydatiqu ' n 5 "et ablit avec les bronches, à travers exemples, une communic' atio (1) Clinique médicale, t. [V, p. 396. t. XIII, p. 71. @) Bulletins de la Société anatomique, ' ‘iäs. autant de kystes. D autres, vides et plusieurs fois roulées sur elles-mêmes, étaient contenues dans d éti‘01tS canaux dont elles avaient pris la forme allongée. La surface interne de ces canaux était lisse, comme celle des grandes poches; ils se ramifiaient comme des vaisseaux. Enfin nous i'econiiûines btentôt qu'à chaque poche aboutissait un vaisseau d'un petit calibre, qui, pour la former, subissait une dilatation plus ou moins considérable. Nous disséquàmes alors les veines pulmonaires a leur entrée dans \ sure que des doctrines tencî)ldes l]ytla(t]tdea dqns les veines pulmonaires. M. Breschet a bien voulu examiner la pièce avec nous. » usœuts e cesy1ydatnles etaient logees dans des poches à surface lisse, qui nous parure… d'abord M._a-ÎMM_ "**-"li __eamæs' ÂÂÂÂÂAF ladies aussi, la thér a-ndra de plus en plus AHAA,N\ er la base essent ielle. les voies digestiv es le s chlorures mêlés aux MALADIES DES BRONCIIES. , _fl soin tout moyen affai- v :{:. ..',. <v ;. ‘!" ' ,\.x : ;-r . |