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Show la dyspnée et la fièv re [ successivement on vit le as à 60 gramme s par 'cpfit‘3îtl‘6 ensuit e avec .emps un peu d'op ium mai 1853, ayant per du MALADIES DES VOIES RESPIRATOIRES. 731 0550," tout unà peu gaHChed'obscuri panlé té du so I n a-' di'oiltei)u ' ' \ ne mante ' ' plus consulera ' ' ble à gauche; à droite, dans le point obscur du râle sous-crépitant _ ,. . " nue roncliopli ‘ . gopionte ‘ . > . onie . Butte . ments du cœur sourds, peut-être, un peu de bruit \ ' de' soulfle. ement' ' Develo ' conade1able du venue, pas d hypertroplno du foie ni de la rate; urines peu aboud antes, foncées en couleur, jaune intense, ne précipipp tant pas d albumme par l'acide nitrique; pe .qu sans ‘ ' .' . pas de .' . chaleur. febule, ' fiequtuce du pouls; pas d = oppressmn; selles très fréquentes. Le malade‘ a été à la garderobe une v iiigtain e de fois pendan , . t t la nuit et. de.piiis ' ce matin. Potmn ' laudain'sê' ' ' ‘ 20 gouttes de laudanum ; donnerle moins de boisson possible) - ‘l°r février. La malade est notablement ' mieux. (Le matin, 1 gramme e, "" de de lalemen t avœ irertures fistuleuses se ral, se recouvrent d'u ne les côtes du côté sain; .de 2 à 5 millimètres elle altération s'obsei‘re s muscles intercostaux, , et près du sternum se ielques trajets fistuleux ; son tissu est ferme, sa a de tissu cellulaire de .ns son lobe supérieur. on a % centimètres de roite, tandis qu‘elle est et normal; il renferme . Le foie est normal, un c'est près du pylore, un se de l‘estomac est pâle, e ou polyédrique; elles les recouvraient étaient des mêmes dimensions. ;qu‘on les compare avec l'une ou ne voit que de sur la couche corticale interne du périosle, et rmes d'ostéophytes. Un ale interne, formant des de cette seconde forme ans laquelle on ne voit is limites de ces os, une able tout à fait à celui de 6-20.) un anévrysme de l'aorte : étendue de 7 à 8 centipermettant de sentir des , ; d'un blanc jaunàtre au t étai bre ts. Leur nom de re tissu qu‘une espèce qui ne ogè hom ubstance ions turface des préparat ' l‘en- e iqu quo élastiques, sous-nitrate de bismuth.) - 2 févrie‘1. L ' œdeme ‘ est un peu momdr ' e; elle n ' a pas en de lièvre. L‘oppression et les ràles ont diminué. ‘ Les urines toujours r ares et toujour s colorées - (Sous-nitrate de bism utli et tr015 . ' pilules chacune de 0 01 de sc'll ' " ' ' potasse et de 0,01 de poudre de digitale.) --lt février. La mal nde souffre depuis deux jours de ses oreilles. ' | e' aujourd‘hui mais plus de 0303 d ace…e qu‘hier. de - 9 février. Elle meurt, après s'être graduellement affaiblie . Autopsie -- Dans la p lèvre {,<"l che,cpanc ' hement cons1tlctab ' le de serosde un peu trouble; sur les plèvres costalc, pulmonaire, diaphrag- mat1que et madlasilllè, on voyait de nombreuses granulations, les unes tout a ['ait isolées, les autres réunies et formant des groupes à aspect ' . de choux-fleurs. ,, Les granulations étaient dures, demi-tr L "tuspareutes 0DÊlllilES ll‘l‘ 8'"ullèl'CN… E Xaininées "Ill lnlClOSCO . ‘ pe elles ne (let € ll a elll I)r lStllllll ( il e‘ l' le tubt.iCiileuse, ' ' elles .dVi‘ll€flb, au COIlil‘d‘ 'll'C, lÛ Cfll' . . , actère , b ‘ ‘ dpithélial et étaieutcom [) usées de p etites cellul esde 1/100 ' de ,, .eiiiilliiïiétre, t… T rondes ou ovo‘ides, renfermant un noyau de l/L‘0l)" , avec deux petits nucléoles punctil‘ormes; beaucoup de noyaux eaiii l)‘. ies ous ces elements. " "> entouies etannt -' d ' une substance finement gi‘anuleusc, 'iiicompletement transparente. Le foie était gros. ien , ' . .. en pressant . . . , des cônes, l'. du cote du cœur,_ les reins un peu hypertroplnes: lextrennte on faisait sortir un liquide puriforme. Les intestins n ont pas été examinés. CCXLIII. -- Cancer multiple de la plèvre et des vaisseaux lymphatiques remplis de matière eauce‘reuse à la surface des poumons. (Pl. LXXXIV, fig. l-2.) Je n'ai sur cette pièce intéressante aucun renseignement, mais telle qu'elle est, elle offre un exemple curieux d'une production can- céreuse multiple de la plèvre. Des deux côtés de la poitrine. la plèvre costale était recouverte d‘un grand nombre de tumeurs cancéreuses dont le volume variait entre la grosseur d'une tête (l'éplllgl6 et celle d‘une noisette. Dans bien des endroits, les tumeurs étaient confluentes. Leur couleur était d'un jaune pâle ; quelques-unes seulement oll'ruicnt a leur surface de nombreux réseaux vasculaires qui. alors, leur donnaient une coloration rosée. Sur une coupe fraîche, on aperçoit une substance molle, infiltrée d‘iin suc laiteux abondant. La surface des deux poumons uiontre des vaisseaux lympliatiques remplis de suc cancérenx, comme si une injection artificielle y avait été faite. Ces réseaux s'étendent aussi dans la profondeur du tissu pulmonaire et circonscrivent, pour ainsi dire, leurs lobes. Leur aspect est tortueux, noueux, avec inégalité de calibre, comme dans les vaisseaux lymphatiques en général. CCXLIV. - Cancer ence‘plzaloi'de multiple de luplèvrc. (Pl. LXXXIV, fig. 3 et li.) Je n‘ai pas de renseignements sur l'état du malade pendant la vie, j'ai seulement su qu‘il avait présenté les signes d'une pleurésie chronique avec dépérissement rapide. Toute la surface de la plèvrc est recouverte de petites tumeurs, dont le volume varie entre celui d‘une lentille jusqu'à celui d‘un pois. Elles sont ou isolées ou réunies en groupes de plusieurs centimètres carrés. Leur couleur est d‘un blanc jaunâtre, leur consistance est molle et pulpeuse. En les examinant à la loupe, on voit a leur surface de beaux réseaux vasculaires, qui ne sont autre chose que ceux de la plèvre, qui partout les recouvre et qui offre elle-même une injection très générale. Coupée par le milieu, la substance dela tumeur se compose d'une bouillie demi-liquide d'un blanc laiteux. Au microscope, on reconnaît dans presque toute cette substance de fort belles cellules cancéreuses dont les parois sont les généralement irrégulières, rondes cependant dans quelques-unes. Les cellules complètes ont en moyenne l/li0° de millimètre; et millimètre, de l/200° a ordi/300e nucléoles Les largeur. de millimètre de l/100e a 1/808 ont li a 't de noyaux qui existent au nombre jusqu'à l/lht". Ils sont proporva et l/200" dépasse volume le dont libres, et isolés nombre, certain un est en qu‘il il est à remarquer granuleux que l'on n'est pas en tionnellement assez nombreux et font voir dans leur intérieur, à un fort grossissement, un pointillé droit cependant de regarder comme des nucléoles secondaires. granules graisseux, mais les autres tres diStendues par une Nous trouvons un certain nombre de cellules altérées, les unes infiltrées de tes, et c'est surtout dans ces cellules alter-eos par transparen très rend les et BSpèœ d'endosmose qui augmente leur volume du double -.".-»-' . un anne ellet ileel LlltlûUk, c est de mont… dans les mêmes . encoie ._ . . . diffusmn que l'on rencontre les grands nucleoles. Cette «lll€ltlll0ll a Il ii _v a punit ce cancer dasch nombreux clement: gianscux. cellules des noyaux de dimensions fort différentes. Il existe enfin dans de fibres dans ces petites tumeurs molles. (l mfcctzon cancereuse. sous-pleurales cite: une femme atteinte de cancer du saut et CCXLV -- Forme caractéristique des plaques cancéreuscs (Pl. LXXXV, fig. 1-9.) ydrique {ne l'acide chlorh up as qui avaient beauco il les f, tels que Vi rclioW plèvre. multiples de la d peut donner que es ren- termi ttent8 : une fièvre in encé une' mm co >lœment a et qui depuis re des pieds en ausculr, on constate , nous, . . Toutefois, cancer du l "cie et sa mère d'un cancer de l'utérus Une femme, âgée de quar ante-six ans, avait perdu son père d‘un ; elle a eprouve enfance son :iidiiiit pt santé e bonn e pomt. La mal ade a joui d‘un D'avons que des renseignements approximatifs sur ce a été mariee et ii a pointcu d'enfants; sa d‘estomac a l tige de dix-huit ans; elle maux des et puberté la de divers malaises a l‘époque cause bien determinee. La malade, t e, a laquelle nous {cherclit)llS vainenmn une santé a été passable jus qu'à l'invasion de sa maladi et bien nourrie, et on ne peut logée son mon age, pass ablement bien fois des chagrins vifs, a été assez heureuse dans déterminer le développement pu aurait qui ue, iq en ayant en par tout extérieure, iii maladie aiguë ou cliron ‘ accuser comme cause de sa m aladie, ni violence ,.le , ,, ,. , ents vto du cancer roux de»: s} " mp omes ceie e nico ' et se montr"‘ te à trois ans et demi' avant la mort, r cance manu du se s . de l‘affection cancéreuse remon Silne le tumeur , . Le début petites l de ' , Deja , a cette époque dont l‘intensité ne fut que très passagere. , c ,, maux de tête et vomissements; symptômes aue ' ‘ (C\'l€ll ' nmmm .:. ' la' itgi0n que ' punit, ce sur ' ste ' ' j‘iiiSi et tard, plus que n‘est Ce lu. cheve cuir du Au se manifeste. festent sur la peau de mms, lu fection cancéreuse générale t rapidement, et deja, au bout de peu Les tumeurs primitives se développen .. _, . . . , -- .,», .. w ,,.rt."ç-;\'A_.ü,_. .i,,4.._….-.,p . ul\-At." , » - ,. ‘ . + |