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Show irticulation est remplie d'…… lili L'llYl'lîlll‘lllll‘l li'l' lili l.'l\l"LAt\l)l.\'fltIN. au s'uleéreut. Dans tous Ces rigine inflammatoire, ne sont de volume, nous devons aussi citer les reins Dans les os, nous observon s également une forme fi'tÏ‘quuiitc (l atiophm, l'amincisscment notable des canaux et des lames, qm reduit la substance silencieuse a l etat de reseaux tres ms, lesquels se brisent avec une grande lacthté, etat connu sous le nom de rurñ/izrlmu ou d'est/ile rare'/ianle. ici se passent probablement aussi de bonne heure, dans le se … meme des tissus, ces changements des éléments cellulaires et histoloehptes , en général, que .\l. Virchovv a si bien décrits pour l'inflammation parenchymateuse. v . - . . ' ,‘ ' ' : _ Nous n ' avons . paile que tres en abreee de ll13pertroplne et de l . atruplne comme consequence de l'm- llammation, parce que nous e\poserons plus tard les prim‘ipaux caracter es de l'h_vpertrophie et de l'atrophie essentielles. Toutefois, nous croyons déja avoir sullisamment démontr é la solidarité qui existe entre les troubles de la circulation et ceux de la nutrition. Il est un point cependa nt sur lequel nous ferons encore une courte remarque, c'est l'altération dela iiutri'imi générale, consécutive a une inflammation locale. L'atrophie générale que l'on appelle amaigrissemeut est bien moins prononcée dans les inflammations sans cause infectieuse que dans celles qui reconnaissent pour cause une influenc e miasmatiqne. l'n indi- ngénté n'est infiltré que par vidu atteint de pneumonie, qui aura été largement saigné et term a une diète sévére pendant im certain ", un rôle important. pte de toute espèce de travail nes les plus compliqués de la , de beaucoup plus fréquente considérablement le domaine rugmentation de volume avec istendus, réduits à un moindre \, même pendant toute la vie. graisseux abondants et d'élé- s et constituantes de l'organe rlons pas ici de cette augmen- ', .… ' ' .'…, , , x s .. . ,, - . , 'v' f». ' - ' ‘ " temps, n'aura pas maigri proportionnellemont autant qu'un individu atteint de variole ou de tiévre l_vphoïde. Dans les inllannnations de longue durée aceompagnées de stqvpuration, nous ("vbservons un dépérissemeut prt>portionnellement plus prononcé; mais ici encore nous constatons une grande dilféreuce avec ce qui se passe sous l'action d'une cause générale plus profonde, telle que nous l'i_ibservo ns dans les maladies cancéreuses. Une femme atteinte d'un phlegmon du bassin, un homme atteint d'un vaste et profond abcès de la cuisse, peuvent l'un et l'autre arriver a un degré considérable de marasme, lorsque e est généralement trop pas- la suppuration a été prolongée et abondante; la mort méme en est la conséquence dans des cas qui ne nt il est une variété de cette sont pas excessivement rares; mais, d'un autre côté, nous voyons assez souvent ces malades se rétablir exagéré, compatible avec la :tte hypertrophie lente et gras bon nombre de cas d‘hyper- i a pour conséquence l'hyper- peu a peu. et, a mesure que la supprn‘ation et la déperdition diminuent, que le fo_ver paruleut se cir- conscrit et tend vers la cicatrisation, les forces et l'embonpoint reviennent. Dans le cancer, nous obser- vons, au contraire, qu'avec une déperdition de substance proportionnellement bien moins grande, le dépérissement général est bien plus constamment progressif, et belle ainsi la terminaison fatale. ipée. Chez les scrofuleux ou en aucune façon exclusive, et Nous touchons ici à une des plus belles questions de la pathologie générale, et nous sommes frappé que jusqu'a ce jour elle ait si peu attiré l'attention des physiologistes et des médecins. Nous avons la conviction que des observations rigoureuses sur l'aumigrissement dans les diverses maladies, sur ses causes générales et sur ses manifestations dans les divers tissus et éléments histologiques, {murr0nt nous llissement, la suppuration ou conduire à des résultats comparatifs intéressants, et peut-étre d'une grande portée pratique. r suite de ce travail hypertro- )t‘lll‘dll0f]. Il faut être prévenu, rophie la mieux caractérisée. istructifs. l'h\ll'5 lllfl,.\lll"5 .\ lfl\l"l,,\.‘lll.\TlU\ l‘il.‘ Sl‘.' li.\l'l'Ulll.\\l .\l X l'l…r\.\(illl‘i$. otre la nutrition et l'inflam- l. 1dation phlegmasique, tantôt Jp0rtions variables, des deux >ertrophie. Elle est, du reste, L'exsudation & remplacé, en uveler les éléments physiolo- fournit que peu ou point de tifs de l'organe. Il y a donc a Îeux-ci peuvent, par la suite, 1tritifs peuvent de nouveau y Mais lorsque la compression, ants histologiques de l'organe devient inévitable. Du reste, ms en dedans, comme pourlc abondant épanchement pleurtion réduit considérablement l/o/m/i'm .v4l/,‘l/Illl'fl'l/IUN ':n/‘feHues‘, ll//i'l‘/{'Ul{ //u l‘H't/l', /(,////III'f/Il‘t/,V'-' mori - lit.\l//'/f.W/l"' lit/'U'U/"q "'/‘""v"\'/"'-""t""'/ '/"‘ ""'/""]… """'"/""‘Ÿ geule/le chou/que mou/run! /in'/ /;feu divers nou/es (l'/////,ei'euifc (le /u mein/"'une …nqnenw pos/rfq/{I' t'_l'l. l. lip. ] el !. Le nommé ,\rbre, tige de qinti‘anteans. a_ioui d'une bonne santé pendant son enfance: il a en plusieurs potiorrhees de quiu/e ii \'tllj_'l, ans, puis ii vingt et un ans un ehancre avec des bnbonsæ Malgré un traitement i'iiereut‘iel …ol…;_-.'-, il eut une iritis s_vphilitique et des ulcerations il la gorge, et sa voix est reslee rnuque et felee depuis lors; il eut ensuite une l‘ost"Ult‘ et des piistriles egalement svphilitiqm-<. Sorti, en apparence gui-ii, de l'hopital de l',\utiquaille a l._\on_ il coutracta six mois plus tard un nouveau ehanere Il ne lit point de trai- tement Spécifique, et il eut dereehef Sllt"t't'S\l\'t‘tllt'lll des éruptions cutanées, des ulcia'es a la gorge, une carie du poignet et des deux llld;l\‘, et plus tard encore des exostoses ainsi que des douleurs vives et fréquentes dans les articulatiors et la emilinuité des membres_ n'ayant point cependant d'exacerbations iun*tnrues Il a perdu ensuite. les os du ne7._ et plus tai'd il eut une tumeur siippiii'ée au front, |ll't)llttlllt?tltt‘ltl gounncuse. Des ulcères rebelles survinrent a cette. époque sur le exilé posterieur du bras ;_-auehe. .\u moment où jai recueilli cette observation dans le service de M. Louis. .t l‘lli‘ihd-llieii, il n'_\' avait plus de sij-""'-‘ il" "'"liltllt' """"" rhume. mais le malade était tres iulirme_ sonll'rait d'une ineontiuence d'urine depui- pre; de quinze ans. avait de- vomissements fréquents depuis sept ou huit ans. des battements de crrur fort ineomnuuer avec d_vspuee depuis environ quator/e ans, et une h_vdartlrrosedu genou t|*‘|…l5 tl"ll\ nus L'incmitiueuce d'urine est surtout complete la nuit et en général pendant le sommeil; les urine: sont habituellement troubles et (mais-cs: il est tourmenté d'une soif vive. Les \'tttlll>>t‘lll"tllfi, d'abord rare-, :l devenu.- peu a peu plus frequent.» , consistaieut en ali neufs et en mucwites, revenaient fréquemment pendant deux ou trois jour.-: ( il que moi-, et ee«alent ensuith ui:u\‘ b‘>' tll:-'"»"""" restaient laborieuses. :lt‘t‘oillp;ietléefi de renvois tll2l‘r‘s. Mul…-A la longue durée des p;i!pitations. il n'a la ieqdration vrannent tres een…- que depuis quelques mois. Le malade est pale, maigre, d'un aspect caeheetiqur'. l.e cwur n'a pas une torte impulsion, ses" battements >…ll li‘<‘«1llt'…>'2 lil'tltl fll‘ ><itlllle s}'.-luliqiu‘ club", t‘otlt‘t: un second bruit de souffle plus obscur. plus ditlu». plus prolonge a la «li;istole; maximum des deux bruits |