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Show l": t:." i.": .i. i ' ' ',‘ëi»! AÏ\'ATOM | E l‘ATHOLOGIQUIÇ G lËN‘ lËR.-\LE. 33u caséeux qui ne sont autre chose que des morceaux un milieu du liquide un certain nombre de gruineaux globula1re ii 'est pas encore devenue tout à lait liquide. peu moins ramollis dans lesquels la masse inter coup moins complexe; le tubercule devient 0. Le ramollissement s'accmnpagne d'une liquéfaction beau ressemble surtout a du fromage rangé des Cir0ns. généralement friable et grunwleux, et c'est alors qu'il la liquéfaction; mais d'autres fois le tubercule Quelquel'ois cette forme n'est qu'un comme ncement de t, on passe même de celui-ci à l'état reste pendant bien longtemps dan 5 cet état de demi-ramollissemcn ques et dans le cerveau que nous avons crétacé. C'est dans les glandes cervicales, dans les glandes bronchi les poumons. observé cette forme; on la voit plus rarement dans Le tubercule subit dans son centre o. Il y a ramollissement central et suppuration périphérique. s'établit en même temps un travail l'altération que nous avons décrite, tandis qu' a sa circonférence il bien compte de la intlannnatoirc qui se t ermiue par une suppuration. Le microscope rend alors fort les corpuscules tuberculeux différence qui existe entre les deux liquides. Dans celui du centre, on aperçoit de la circonférence, on trouve, entre ceuxdésagrégés, non altérés par l'acide acétique; dans le liquide Cet états'obserVe ei, des globules du pus dontl'acide acétique dissout l'enveloppe et fait voir les noyaux. lesquels le pus provient quclquel‘ois dans les glandes, mais plus particulièrement dans les poumons, dans aussi parfois des petites bronches capillaires érodées. etators (1. Il peut exister un mélange indistinct entre les éléments du pus ctceux du tubercule ramolli, sement de l'infiltration il n'y a point de limites entre les deux produits; de st surtout le cas pour le ramollis telle qu'on la rencontre parfois très étendue dans les poumons, dans le s glandes, et plus d'altération par se dissc stance méC ramolli, et tease arrivé un travail ] le résultat . divers orge Il y a de nerveux, s riques, de fonte uleéi dans les gl: les es, que leuses se la fente tu Ces lési physiologi envirouna luberculeuse, qu'à ce qi rarement dans le tissu cellulaire sous-séreux. es formes du Causes physiologiques de ramollissenwnt. -- Si, après avoir s ignalé le mode et les principal ne pouvons accorder rainollissenmnt du tubercule, nous en recherchons les causes physiologiques, nous autour qu'une valeur secondaire à l'inflammation environnante, a la suppuration et a la sérosité exsudée des tubercules. Ces exerétions sont loin d'être constantes autour du tubercule, et, comme l'a déjà fortbien fait observer M. Louis, elles devraient provoquer un ramollissement périphérique, tandis que d'ordinaire celuici commence plutôt par le centre. La véritable raison du ramollissement du tubercule nous paraît résider dans l'absence de nutrition et de vascularité propre, ce qui provoque une altération purement physique. Nous savons par les lois générales de la physiologie que la nutrition des diverses parties de l'économie se fait a l'aide d'éléments amenés par le sang, soit directement, soit indirectement par imbibition, tandis que, d'un autre côté, toutes les molécules des parties qui ont perdu leurs conditions d'intégrité sont absorbées pour être ensuite excrétées par diverses voies; l'équilibre qui existe entre la nutrition, le dépôt des matériaux nouveaux etl'absorption, la disparition des molécules usées par les voies d'excrétion,const1tuel'étatphysiologique et sain des diverses parties. Or, rien de pareil ne peut avoir lieu pour le tubercule, a cause de l'absence totale des vaisseaux et de la densité de sa substance intercorpusculaire. Le tubercule, en s'étendant, ne prend point d'accroissement; il augmente de volume d'une manière purement mécanique. La matière tuberculeuse est d'abord déposée dans un point; elle est ensuite suc- fois avec directeme pulmonah cette surfe morbide t C'est d. l'éliminati ramollie. . plus voluu ayant la fi pratiqué 1 Dans l' intestins; mentation forme en il se form minaison cesswement excrétéc d'une manière régulière ou irrégulière autour de ce point primitif. La solidité de sa substance et l'impossibilité de l'accès de l'air la garantissent bien pendant quelque temps de la decomposition; mais celle-ci ne peut être que retardée, et le tubercule, placé dans un organisme dans 1° Tra lequel il y a constamment un assez fort dégagement de calorique et une grande masse de liquide pci‘pé' aujourd'h tuellcment en circulation, doit nécessairement tôt ou tard se décomposer. Alors naturellement la partie du tubercule la plus anciennement formée, celle du centre, s'altère la première, et cette altération se pro- période d lÎ'ΑSÜ par extension centrifuge aux molécules plus récemment formées. Nous ne miens pas qu'ensuite } …flümmütlon des parties environnantes n'accélère de beaucoup la marche du ramollissement, seulement plus blan deuxlanu 00115 ne pouvons pas y voir sa cause essentielle. produirai 2" Fonte (les tubercules. - Nous avons vu que les tubercules se i'amollisraient d d'verses manières €l i" par une ven due souventdulesLui,…-…]e tissus circonvois '> ' ' nt ainsi ' 'MDla decomposi ' e 1 tion ' ' ' a1en t et accelera1e @ _ ‘ ins .ce l})hl'efiiiiu5 tablet'ome ,qui est le dernier terme de sa destruction. Dans le ramollissement, les corpuscules . prend t… . .\ . . . …‘ sont encore t‘es .……t(,;.DJ- U =qu ' : \ - . leur boursouflement suit déja un commencement punit, qumque a un Leila… 1 de cohési blanc lai tubercule celle du , |