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Show -4. . -. a…» :w+«…-+ , . , ' . MALADlES DU LARYNX ET DE L.-\ TRACHÈE. WS) cp£itlleliale; celle-cpfly faisait l'office, pour ainsi dire, d'une croûte. La vascularité au fond de ces éi‘05idiis . erp}ept augmente,e; tout . _ âîinflîä'î] ïîoîoc"lt_ autour la membrane muqueuse se trouve dans un état s'étaient succédé ch ez le même primit\ive et second alt ‘€ a arr a c qui peut aller au pomt de devenir croupale, et c'est alors que le tissu cellulaire sous-muqueux se trouve également infiltré d'une exsudation séreuse. ° ' " tc1 tl fois). Aucune cause area 5 l\‘. - De la laryngîlc t_vplw'ùle. Stat d'asphyxie mortelle, on sera , . . . . ) . , .' , _ . décrit sous 10 no… de laryngo_lyph;s et "] 1 , ponton Jamaiso sexvclqllcctton que Rolutaiiskv(l) , . , . ‘ _ , qui paiait aveu observee assez frequemment dans certaines épidémies, a Vienne; aussi est«ce d'après lui que nous allons en donner l'esquisse suivante : Elle ne constitue jamais la seule localisation typhoïde; c'est plutôt une affection secondaire, qui a surtout sonsiége près des commissures postérieures des ventriculcs du larynx et sur les bords de l‘épiglotte. Rok1[ansky croit qu'il y a là, dans le principe, une exsudation, un dépôt de matière tvphique; mais il avoue n'avoirjamais vu autre chose qu'une perte de substance ulcéreuse ou une espèce d'eschare qur, après sa chute, laisse à nu une ulcération sans caractère spécial. Les ulcératious sont rondes, varient entre le volume d'une lentille et celui d'un petit pois; elles sont isolées ou confluentes, offrent des bords noirâlres, s'étendent peu a peu aux cartilages etaux ligaments, dont elles peuvent opérer le ramollis- sement, ou pour les premiersla nécrose. Quelquefois elles perforent le larynx. C'est la une espèce de «\ ….Î'ÊÉËLÊËÊJÂÎ.ÊÊ.Ï.°Ë°Ï.‘.Ï."ÏLÊÎÏÏÎÎÏ.Ï.°ÎÎ.ÏÊÈQZËÂ'°"Ï'°Ï -°° '°-° °£°°°'°» °-° "°°°" °°° phthisie laryngo-typhoïde. :ulai res et du système nerveux @ \‘.-De la laryngilc sous-muqueuse. lterations matérielles que nous Wä Cette maladie, plutôt connue sous le nom d'œdême de la glotle, est une des plus graves dont le larynx puisse être atteint, et elle est d'autant plus fâcheuse que c'est une inflammation ordinairement secon\ ceux de la physiologie patho- nbrane croupale est, pourainsi n concentrée de nitrate d'argent u plutôt une escaritîcalion dela en plus reconnue des vomitifs au modique que par le rejet d'une ment le tissu cellulaire sous-muqueux. Lorsque l'épiglotte est principalement atteinte, ce n'est pas encore la formela plus grave; c'est même celle qui accompagne quelquefois les angines pharyngées intenses, a celle qu'il sans que le médecin la reconnaisse, et qui donne alors au malade une sensation semblable comme éprouverait s'il avait au fond de la gorge un corps étranger. L'épiglotte, au lieu de constituer, former dans l'état normal, une soupape souple et pâle, est rouge, tuméfiée, en partie redressée, et paraît une espèce de cône arrondi, que l'on a comparé avec l'aspect d u gland du pénis. La base de la langue, tion du calomel et de l'alun,à pirique. La prévision théorique es en empêcher leur dévelop- la glotte partilaluette et les amygdales sont également infiltrées de sérosité; les replis qui entourent u, réussit aujourd'hui beaucoup le gonflement des replis muqueux aryléno-épiglottiques, qui peut aller au point d'obstruer presque t avant que toutes les ressources peu colorée ou injectée en rose entièrement l'ouverture glottique. La muqueuse, dans ces cas, est 5 consécutifs ont été beaucoup qui est le siège d'une seulement; mais elle est bombée, distendue par le tissu cellulaire sous-rnuqueux, a ses replis une roideur d'autant infiltration séreusc et plus tard même séro-purulente, laquelle donne . Breorts persévérants de MM qu'un œdème uniforme. aussi tuméfiées, en sorte qu'il y a plutôt un réseau 21 mailles oedémaleuses les cas €…". … , mais. a user , nx rénaure du lary hiques. Cest 1mifications bro nc nt peu de s succombe i cipent à un plus léger degré à la tuméfaction œdémateuse. glotte elle-même, Le plus souvent on observe la seconde forme bien autrement grave, l‘oedè me de la peu entre elles et que les cloisons sont plus grande, que les mailles du tissu cellulaire communiquent are en effet» dans . malade u, se element à celles de la pea StJU' épidermique, ' 5. La partie ro n superficrelle s d'elle une éros Nous bien ne ts. |CfllS p…" ulents icul€ templétemen t de leur pell .'\ ., l'épiglotte, dans les replis qui entourent la glotte et au-dessous des cordes vocales. Son siége est constam- lans l'emploi des émissions san- … »-\‘_\ daire qui rencontre déjà l'organisme dans des conditions mauvaises. Cette affection peut avoir son siége a Aussi, en faisant l'autopsie, a-t-on de la peine a en exprimer tout le s éruni. [eu le temps de se former; mais Ordinairement cette affection tue par sulfocation, avant que le pus ai tend peu 5. perforer la muqueuse, si la maladie se prolonge, on trouve quelquefois un foyer circonscrit qui et comune la plilegmasie soi.is-inuqueiise se mais qui érode et détruit plutôt les parties sous-jaceutes, le long des cartilagcs thyroïdes et même cricoïd£‘>‘; propage au-dessous de la glolte, et quelquefois tout tement, une destruction superficielle, une carie immédia il peut en résulter, si le malade ne succombe pas nt au loin. qui s'étende observe aussi des fuse es purulentes ‘… une nécrose des cartilages. Parfois on "' ii aux < de son extens10 , . , 'à ca u-e _ . . forme, l'œdeme intra-lai‘ynge, a surtout de l'importance La ti0iSième (1) Op. cit., t. III, p. 26. ANAT. parnoc.- 17' mm. i£i8 ..-,.hÀ‘ ont été plutôt empiriques que ‘t". ne bonne partie dans la structure ivité de ces accès de suffocation, ‘ "".". l‘.‘ ‘ f… que plus caractéristiques dangle - continue du véritable croup, et ppelle les accès de la coqueluch e, quelque excitation spasmodique - ‘ : element que l'anatomie ne nou s . AAA espira . lion : dans un leonren nomdme brem vc ." fallait cependant admett re . …t_ f… "AAA Aaa.äA,«.‘-.-ÿ ,, iep\ologrque, nous somm es cepen. '. ‘u que ces causes ' \, - i-f 'r;°-Ï ; Mt": ?"). .r .)) Ï‘*P"ñ£a: que n _ ous ug00lL second aire et compliqu' ce _- ait le plus souv ent une affection "\f‘î‘A-i-'&Af‘ \».- : X'l‘V-‘ ' 1 .rar. @. : liés par des 8"leurs maladies anté rienres, N...-… &AAÂAnA.A-flfA _A. rvient, voici ce que les |