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Show quante-tr0is ans, dont la cons ti- t chez lequel, pendant quelque Iles étaient nombreuses, surtout le la surface de sa jambe par les : quinquina et par les acides mi. la forme grave de variole dans a fièvre typhoïde, je ne sais pas ssement et les ulcérations dela DE l;lltî.\tttttltttAfilE. 71 toutefois nous manquons sur tous ces points d'une bonne statistique. L'influence de l'hérédité, admise par beaucoup d'auteurs, n'est pas davantage dénumlrée positivement, si ce n'est pour l'hémophilie. Parmi les causes prédisposantes anatomiques, nous ne pouvons citer qu'une seule condition, celle d'une riche vascularité, avec une structure peu serrée; en un mot, une quantiténotable de sang avec peu de résistance autour des parois des vaisseanv. De la la fréquence des hémorrliugi0s dans la rate et dans le cerveau. l.a disteusion des organes au dela de leurs dimensions naturelles les prédispose aussi a l'hé- t quelque petite artère. Pour le morrhagie; c'est ainsi que l'utérus est disposé aux pertes aprés l'accouchement, avant le retour a son volume normal. ération générale de toute l'éco. Jetons enfin un coup d'uiil sur quelques-unes des suites de l'luïnmrrhagie. Comme premier effet . été frappé à la fois de l'abon- local, nous rcmarquons avant tout une altération fom'tionnclle : un poumon apoplcctique remplira fort mal les fonctions respiratoires; et dans les épancliements cérébraux, nous observons des paralysies du et entre autres dans les masses érimentale, que j'ai vu pre5rpœ même côté ou croisées, des altérations de la sensibilité, de la motilité ou des lésions sensoriales, selon rquels j'avais injecté du pus (… la région de la masse cérébrale qui est le siége de l'extravasalion. Quelquefuis l'hémorrhagie peut obstruer le canal excréteur d'une glande. et produire alors toutes les lésions consécutives à la rétention d'un liquide excrétoire. torrhagie. Les violences externes extérieure n'a été produite, que La réaction locale sur les parties ambiantes est le plus fréquemment l'excitation a la résorption. Cependant un travail phlegmasique peut également s'ensuivre, mais celui-ci se termine rarement par suppu- t interstitiel, les gros vaisseaux rssez de facilité, a moins qu'une ration, et plus rarement encore par gangréne. La conséquence générale la plus fréquente des hémorrhagies prolongées et abondantes, est l'anémie, dont nous n'indiquerons pas ici les caractères. Ajoutons seule- ne le sang extravasé, au lieu de tp plus lente; le sangpeutrnéme se termine par la suppuration: :nir cette issue fâcheuse, de ra- )ression avec les doigts. l'hémorrhagie est d'autant plus nt artériels plutôt que veineux. t, et l'on sait que l'application st_vptiques et la ligature arrêtent ment qu'en cas pareil on trouve ordinairement une augmentation considérable de l'exhalation séreuse des liquides sous-arachnoïdien, céphalo-rachidien, pleural et péritonéal. La mort peut être la conséquence de l'liéiiiOi'i'litigié par épuisement. Dans les liéiiiori'h:igié5 qui tuent promptement, il suffit, pour faire périr les malades, d'une soustraction de sang bien moins considérable que dans les hémorrliagi05 prolongées, dans lesquelles le corps est exposé à supporter une déperdition quelquefois trés notable. line l1éiiiorrliagie trés abondante peut tuer promptement lorsqu'elle intercepte les fonctions d'un des organes indispensables à l'entretien de la vie. iles accidents convulsifs ou s_vncopaux peuvent aussi amener des morts subites dans les hénmrrhagies abondantes. Nousnousservons beaucoup en médecine, et avec grand succès, des hémorrliagies, que nous provoquons artificiellement et que nous appelons v'uu's,w'ons sunguinm. Sans entrer ici dans les détails de leurs indications et de leur mode d'agir. je dirai, en passant, que j'ai souvent été frappé de l'action bien autrement les pertes de sang, mais qui or11tat, par exemple, d'une super- salutaire d'une de ces hémorrhagics naturelles, par le nez, par les voies génitales, par le rectum, etc., 'on observe sur les hautes mon- que de celles qui résultent d'une soustraction sanguine artificielle beaucoup plus considérable. Ce fait a engagé les médecins des siècles passés à. admettre des hémorrhagies critiques. Si nous suivons a présent l'hémm'rhagie dans les divers tissus et organes, nous y trouvons encore baromètre qui marque 0,28 sur uteur du Mont-Blanc, situé à quelques différences importantes à noter, qui, du reste. seront exposées avec détail par la suite, à l'occa- influence constante sur la circu- sion de l'anatomie pathologiquespéciale des divers organes. même à l'état de parfait repos, La peau, a cause de sa structure serrée, n'est guère le siège d'épanchements sanguins. Ceux-ci ont lieu observations enfin attestent que, sous la couche épidermique, où ils constituent les pétéchies ou les taches de pnrpura, lorsque l'efi'usion i un air de plus en plus raréfié, hommes qui faisaient ces ascen- est capillaire; on voit des ecchynoses diffuses, plus étendues, lorsque les petites veines ou les artérioles )llS doivent entrer en ligne de pas lieu. On prétend aussi que I /_ mais', 25 pays chauds ou temperes, se sont rompues. (l'est dans le tissu cellulaire sous-cutané qu'ont lieu de préférence les épanchements consécutifs aux contusions. Le sang extravasé s'inliltre de proche en proche, en suivant tantôt les lois seules de la pesan- teur, tantôt la disposition anatomique des parties, lorsque des plans aponévrotiqnes d'une texture dense les recouvrent et limitent ainsi l'espace du tissu cellulaire sons-cutané. Ce n'est que dans les parties trés l1icbes que les dépôts sanguins peuvent se i'm-mer, et ils nécessitent quelquefois même une ponction etres circonstances qui exercent t le sexe. Nous savons bien que, dnsi que l'épistavis est plus-fre- ou une ineision pour les vider. La résorption se fait d'abord par les parties liquides, ensuite les caillots se désagrégcnt et se liquétient plutôt moléculairement qu'en masse; la disparition détiuitive a lieu peu a peu sans que le eaillot granuleuv on élastique passe par une liquéfaction générale et confluente. ppartient a lajeunesse et àl'äge Dans les muscles, les épanchements sanguins peuvent être trés considérables, lorsqu'ils dépendent d'une e montrent de préférence dans la maladie genérale, du seorbut, par exemple, tandis qu'il la suite des contusions, même des fractures, IX hémorrhagies que les homm6>, |