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Show n circonscriæ, Bulletins de la e et la septième ; eut lieu sous ,en d'une vaste léjà cité auquel ance nettement ace intercostal. ensuite facile- ation inférieure malade âgé de u de dehors en ation pneumo. MALADIES DE LA PLÊVRE. 703 On voit d'après ces détails combien les perforations pleurétiques peuvent varier selon leur siège et selon le mécanisme en ver tu duquel elles se sont produites. Lors q ne la p l e u-' ' a son < " . resre siégé a‘ gauche, le cœur est souvent déplacé, et on l'entend battre sous le bord dr0|t du sternum et sous le mamelon droit. Le diaphragme est également déprimé dans les épanchemenls considérables. La pleurésie se combine souvent avec l'inflamm . ation d'autres séreuses. Le pérrcarde est non-seulement atteint par continuité dans la pleurésie gauche, mais aussi dans la pleurésie dronte, et_ avec des caracter es qui ne permettent pas d'inv oquer la propagation. Nous avons vu plusieurs _ fers aussr la pleurésre succéder à une hydropéritonite ou l a précéder. Il existe une grande affinité entre la , _ _ pleuresre et le rhumatisme articulaire aigu, et c'est surtout dans le courant de celui-ci que l'on rencontre des inflammations multiples et continues des membranes séreuses; toutefois on irait au delà de l'observation Si l'on voulait admettre la pleurésie rhumatismale comme une forme particulière. Dans l'analyse des faits que nous avons donnés dans ce chapitre, nous avons en principalement en vue la pleurésie primitive; mais cette maladie est d'une très grande fréquence aussi comme affection secon- daire, et ici il faut distinguer plusieurs catégories. L'infiammalion peut s'être simplement propagée à la plèvre, comme dans la majorité des cas de pneumonie, quelquefois dans la péricardite et d'autres foisà perforation du se du poumon rembraniformæ ristait à la fois pouce et demi >rd formé dans ases et mousses, rité abdominale .e l'abdomen, il it une sorte de e, était tapissée raissait hérissée 5 abcès. Autour 3) décrit un cas ( lieu près dela element par un iste aussi scru- d'un fait aussi me âgé qui, à la cas semblables ls, mais il existe la suite d'influences traumatiques, par des accidents ou par des opérations pratiquées sur le sein ou dans l'aisselle. Dans des circonstances bien différentes de celles-ci, la pleurésie peut avoir pour point de départ une disposition inflammatoire plus générale des membranes séreuses et synoviales. Dans un troisième groupe on peut placer les pleurésies provoquées parla présence d'un tissu anormal ou d'un parasite déposé sur la plèvre, tel que des tubercules, du cancer, des bydatides à échinocoques, une inflammation gangréneuse. Dans un quatrième groupe, on rangera les pleurésies produites par une perforation qui peut venir du dehors à travers les parois thoraciques, ou des poumons, en de l‘abdomen, à travers le diaphragme. Dans un cinquième groupe, enfin, nous classerons les pleurésies secondaires, qui, comme tant d'autres inflammations, se développent sous l'influence d'un principe débilitant général, et ici nous rencontrons des éléments étiologiques bien divers. C'est ainsi que les maladies fébriles prolongées, telles que la fièvre typho'ide, les affections éruptives, et parmi celles-ci la scarlaline bien plus que toute autre, deviennent souvent le point de départ de la pleurésie. Je l'ai souvent observée comme conséquence des diverses maladies puerpérales et de la pyémie, circonstance différente à coup sûr de celle qui produit la pleurésie dans les affections typhoïdes et éruplives. La tuberculisation pulmonaire donne naissance à la pleurésie sous toutes les formes, et bien souvent sans que la plèvre devienne le siège d'un dépôt tuberculeux. Les cancéreux, les sujets atteints de cirrhose du foie, d'une affection chronique grave du tube digestif, de maladie de Bright (I), sont disposés a la pleurésie dans la période ultime de grands la maladie, lorsque la perte des forces et de l'embonpoint, le marasme en un mot, ont fait de . _ ' progrès. anato- localisations des pornt quel a incomplète, bien On voit d'après cette esquisse bien courte et différentes,-et a quel pornt miques analogues peuvent correspondre à des états généraux et a des causes traitement. Est-rl il est nécessaire de tenir compt e de l'élément étiologique dans le pronostic et le mais bien plutôt un nécessaire de dire d'apres cela que la pleurésie n est point une unité pathologique, . de bas en haut, ; le poumon, ce orté un fait bien patique, consé- : le diaphragme, oumon, et avait …, des conduits ) de ces derniers sive. . \ ‘/ " Y les plus différents entre eux. groupe de phénomènes homologues survenus sous Influence d es états " _. tenté de " ' qu ' on ne serait ' ies ' plus grand nombre de malad Et ce que nous disons la s'applique à un bien l'admettre au premier abord. dans lesquelles on rencontre la Si nous jetons un coup d'oeil sur qu elques-unes des circonstances on a qu de nouveau contre la part trop absolue pleurésie idiopathique, nous devons avant tout nous e lever ' « la pneumonie s applique tl ,-eures jet à l'occasion de faite aux refroidissements, et tout ce que nous avons du a ce su trOp … …p , qu'il' serait ex en aussi à la pleurésie et à bien d'autres maladies aiguës. Outre les came: "'- ] nt ] encore '.est des " e, et ' celle-cr ' bit3blenœ _ d erreu) . ‘» . meme . . 1)articulier 1 une pro3d'rspo s'tion long d "enumérer. …, il' faut ‘… u ) _ _ ressort \ qu1 pleuretrque, fait e formes ne eut affect er la localisation ' par le même mode ents différ tout a fait p (2), lequel a obt con des résultats q recher s 5 de M. Andral bellesaux dwerches port ">. ; ,"zon ur -‘tltltllt ' ' ttons (le la scc;et altere U) Traité des nmlud[e> des reins et (les (2) Clinique médicale, t. IV, p. 551 et suiv. Paris., 48150 , t. II, p. 308. |