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Show DE L'HYPEBEMIE ET DE L'INFLAMMATION. , provenant d‘un abcès des parois monaire que M. Louis soupçommit s, d‘un jaune légèrement verdâtre, c un grossissement de 50 diamètres, 55 Nous avons fait representer téttc piece pour montrer l‘aspect d'une membrane pvogéniquc qui t‘llli):l<‘ et délimité certaines collections Plll‘Ulf‘lllt‘fi- Nous avons en occasion d'observer ini certain nombre d'ubcés cérébraux. Tous ceux qui étaient idiopathiqucs étaient cnk3-les. tandisque les abcés métastaliques Ill? l'étaient point, et présentaient plutot une infiltration piii‘iilciitc. Tout récemment nous avons en occasion d'obscrvcr dans notre division. a l'hopital de Zurich, ces deux altérations a courte distance. L'ahci-S cnkvstè se trouvait chez un nidividu qui avait succiunbé a une méningite cérébrale, tandis que les abri-s niétastatiqucs existaient dans le cerveau et le cervelet d'uuv femme morte d'inflation pui'iiléiité. 1rs,étroits, cunéiformes, disposés /Ml° de millimètre de longueur, sur ;es, tandis que d'autres offrent une \'lll. -- Il!‘.\‘t'/'l)i{imi I/fl «yuv/«yum _///'f‘/Ull'Ûtl‘U/lñ iaz'[il'/'ffltUufil/(gs //UlU‘ la _r/i1fl'1'1snu Iles plu/cs, (Pl. lV_ lig_ 2-[1_, iéi'aux concentrés. L'acide acétique La préparation de la figure 2 provient d'une grenouille qui, ti‘oisjoiu's auparavant, avait subi une perte de substance considcrablc faite : point a froid. A l'état d'ébullition, pour détruire les troncs nerveux se rendant dans le membre inférieur. Nous trouvons ala partie supérieure de la plaie une fausse mcm- )01 et le chloroforme n'exerce… sur brauc unie, gélzitiuiforiiie, parsemée de taches d'un jaune purulent; cclle-ci ne renferme encore qu'un petit nombre de v: sseaux d'un échaulfés, mêlée avec une solution jaune pâle, minces, disposés en réseaux réguliers. On voit au-dessous de cette fausse membrane, connue à travers un verre de iiioiiti‘é, : présenterait si elle contenait de des vaisseaux beaucoup plus nombreux et inégaux, provenant de la surface du rein droit qui fait hernie dans la plaie. Au microscope on reconnaît, dans la fausse membrane transparente, une multitude de globules purulcnts qui sont plus rapprochés dans les places tance, dont les réactions chimiques tiques , dont ces corps seraient des t'19.l! t une production pseudo-nœmbra- une provient des bronches; elle est tites bronches. La fausse membrane eprésente une division bronchique ioter que la toux était pénible, que aux-ci étaient remarquables par la scence. La dyspnée a diminué, la ancore anhélante et semble encore ant entre le volume d'une plume a né, des globules de pas et un peu erve ordinairement dans les fausses intermédiaire renferme des cellules ue pour les troncs volumineux que t. --Abcès (‘n/in[é du cerveau. jaunàtres, et dont l'acide acétique fait bien voir les noyaux, en donnanten même temps a la surface intermédiaire un aspect finement et irrégulièrement strié. Les plus fines arborisations vasculaires de la surface de la plaie et de la fausse membrane n'ont guère ziu-dessou.- de 0""",02, et forment des réseaux autour des branches que l'on voit partir des artères profondes; d'un autre cété, ou peut suivre quelques vaisseaux qui vont rejoindre des veines. La préparation de la figure 3 provient de la plaie d'un de ces animaux, qui, opéré depuis huit jours, offre une vascularité générale a la surface, mais ‘achéc sous des fausses mmub‘ancs gélatineuses, et de plus sous une couche de pus crémeux que l‘on enléve l'acilenicnt. Ce pus est lloconneux, et la majeure partie de ses globules est englobée dans des coiicrétious pseudo-membraneuses , dans lesquelles il existe, en outre, une quantité trés considérable de molécules albumiuoidcs que l'acide acétique fait disparaître. Dans les fausses lllclllltl‘;tlh‘S plus profondes on reconnaît la substance granulcusc intermédiaire qui englobe les cellules du pus, et des vaisseaux dispos<'s en réseaux. dont le calibre varie entre ()""",015 et 0""",02. Celui-ci est légércumnt inégal sur leur trajet, et en examinant a la loupe ou avec dc faible.- grossissements microscopiques les vaisseaux nombreux plus profonds. on constate que tous les vaisseaux de la surface de la plaie provien nent, d'une manière centrifuge, des vaisseaux normaux de la partie lésée. La préparation de la figure !: provient d'une grenouille chez laquelle la fausse membrane est moins transparente, et l'on dirait que les vaisseaux capillaires de la surface du rein hernié ont considérablement augmenté de volume; ils constituent des réseaux a mailles assez serrées, et ont en moyenne de 0""",03 a 0""",0!i de largeur. Le blast'euie intermédiaire est fibroi‘de et purulent; il y a absence complète de tout élément libro-plastique, que nous n'avons, en général. pas trouvé dans les plaies des grenouilles. IX. -- Description (Il: quelques 117'tÿmru/tuasc.t'péi‘iincutfl/cs pour («i. réycnù‘u/iuri «Il! / cpu/eriiic flous les pluies. (Pl. IV, fi". 5-8.) Les figures pour la régénération de l'épiderme sont tirées de la série de mes expériences sur la guérison des plaies et sur la cicatrisation Voici le résumé des faits qui ont rapport a la régénération cicatriciclle de l'épiderme chez les grenouilles. La substance intervasculairc (les fausses membranes iuoiitre de moins en moins des globules purulcnts distincts a mesure que la guérison avance. lille prend peu a peu un aspect tibro‘ido et granulcux, et se rapproche ainsi iiisensibleiiicnt de la structure du tissu cicatricicl chez les animaux supérieurs. Qin: les plaies soient superficielles ou profondes, dès qu'elles approchent de ce terme, il se forme a leur surface des pellicules grisz‘iircs, minces, plus formes que les fausses membranes, constituant d'abord des flocons disséminés, et se réunissant bientôt comme expansious plus con- tinues. Les plusjeunes cellules ont t)""",015 a tl""",02 de largeur, une paroi transparente, et un noyau ovoïde de ()""",t)05 a 0"‘"',Ut ; elles sont toujours plus ou moins aplaties. etellcs le deviennent davantage à mesure qu‘elles grandissent. Lorsqu'on examine les cellules épi- le de la face). Pendant son enfance, dcruiiques de U""",U‘2 a U'"‘",03 de longueur sur un peu moins de largeur, on y constate l'existence d'un corps nucléaire ovoale de 0""",006 is, fréquents et aboudants saigne- :u cinq enfants; elle a eu trois fois de longueur sur 0""",Ot)!i de largeur, entouré d'une enveloppe qui constitue un petit sac de 0""".0‘15 de largeur et au délit. C‘est la, d‘aprés relié, où bientôt après apparut un siège de douleurs lanciuautes. La il elle atteint peu a peu le volume nous, le véritable noyau, tandis que le corps plus intérieur ne serait qu'un grand nucléolc ou un noyau secondaire. Dans l'intérieur de ce sac , ou tout autour de sa surface, se déposent de préférence les granules pigmentaires. Plus tard, la zone et le sac qui la délimite disparaissent; il ne reste d'abord que le corps nucléaire interne, qui, a son tour, disparait également lorsque la cellule est parvenue a son dernier terme d'évolution de feuillet plat et auguleux, et ceux-ci constituent par juxtaposition la couche épidermiquc superficielle. n prurit fort incommode, puis elle X. - 7'tibcrcules /illfflt(l?tU_t/'l‘$, «tl/}t/mia1ir/0; mort. »- Àÿstcs multiples dans [P cœur droit roulé/trial une nur/ihre pin'i/ril'mt‘. (Pl. iv, tig. lit et ii..) idu mal au moyen d'un caustique inq jours à tomber. Après la troi- l'n homme figé de vingt-neuf ans, sujet a de l'oppression eta dela toux dés l'âge de quatorze ans, a été pendant plusieurs années en viron six semaines avant sa mort, Algérie , ou il a eu une fièvre tierce rebelle. Pendant les derniércs années il s'est livré a de fréquents exces alcooliques. Quatre mois avant :idents cérébraux, des révasseries. sa mort le malade a été pris d'anasarque avec dépérisscment rapide , anémie prononcée, bruit de souffle au cœur et dans les vaisseaux du coil, toux fréquente, crachats puriformes, opprcssion habituelle; signes stéthoscopiqucs d'une tubcrculisatmn avancée du poumon s nausées, des vomissements, du droit; cugorgcnient considérable de la rate; ascitc; urines pâles, rares, fortement albuiiiiiicuses; pouls petit , peu fréquent. Le dépéri… aisseur de la peau , et que l'aponé- Il n'y avait de tumeur nulle part médiane, une tumeur fluctuante le det a 2 millimètres d'épaisseur. noilie, montrant ca et la des îlots ltérations que les fibres du cerveau sement faitch progrès rapides; la diarrhée survient, quelquefois sanguiiioléiitc; syiupti‘iiiics d'une péricardite légère; mort aprés une. agonic prolongée pendant deux jours. A l'autopsic, on trouve. outre des tubercules crétacés, d'autres crus ou i'ainollis, ct des cxcavations dans le poumon droit; un peu d'emphysénic dans le gauche. A la partie antérieure des deux feuillets du pf‘l'lCtll‘tb‘ existent des végétatious tibrincu…zs avec légérc adhérence. Le volume du coeur, l'épaisseur, la capacité des cavités, ainsi que les divers orifices, sont a l'état normal; l'ciidocai'dc est sain partout. lÎii caillot noir, libre, fibrincux, adhérent a la pointe, remplit le ventricule gauche; le ventricule droit est ilistéiidu par une concrétion polypilérmc, adhérente a la pointe. se prolongeant dans l'oreillette et les veines caves d'un côte, et, il un autre côte, dans |
