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Show tales, et qu'il so iti aucunes nn LARYNX ET DE L.\ TRACHÊE. 597 mPOSsihle tie : en voie de format cavute S'.) transforme en "" Peut abCès qui donne lieu 'a l'ulcère. On observe de préférence les ulcères t0mie. Outre les signes anatomiques de l'œdème pharyngo-laryngé, l'arrière-bouche était couverte d'une exsudation d'un jaune pâle à sa surface, plus blanche et plus membraneuse dans la profondeur, et qui : d'un blanc mat, d'un grisjau- 'ois molle et comme gélatineuse. ubstance. On observe de grandes es lamellaircs sont atteintes, la amen, des stries rubanées.Si le dans une masse gélatineuse;si mt contiguës sur les coupes que nt est homogène, comme c'est pe est sinueux, en raison de la libre. près de laquelle la surface la substance intercellulaire qui »n observe sur la coupe verticale celluleuses. Si la métamorphose souvent Ds altérations paraissent de ! observe une accumulation contenu … noyau divisé, et leur able, rare"ties ulcérées est vari ion cellume abondante infiltrat une courte M. Rheiner ajoute phtli isie puies observe dans la . une es pète ions, et naissent par _ s. tour des follicule es, distanduta d et ce sont ces glan a faite avec infusion que l'on en s la gl andule il y avait des excroissances verruqueuses considérables. Les cerceaux cartilagineux de la trachéc étaient en partie ulcérés, et la muqueuse tout autour, ainsi que le tissu musculaire sousmuqucux, étaient infiltrés d'éléiiiéiit5 cellulaires. Les parties situées au-dessus des cordes vocales montraient un dévelop- pement papillaire considérable, avec un épitliélimit pavirnenteux formant une couche épaisse. En thèse générale, les ulcères sypbilitiques sont la propagation d'ulcères du pharynx ou se développent en même temps que ceux-ci et appartiennent a la syphilis secondaire. Toutefois j'ai lieu de soupçonner plusieurs espèces de localisation syphilitique, dont les unes, plutôt condylomateuscs, ilp])lll‘liClldl‘üi€fit aux accidents secondaires et correspmrdraient aux plaques muqueuses que l'on observe aussi dans l'arrière-gorge, tandis que d'autres appartiendraicnt plutôt à l'époque tertiaire de la syphilis, et corres- pondraient aux ulcères profonds des amygdales et du pliaryiix; peut-être, comme celles-ci, provien- draient-elles de tumeurs gommeuses suppurées. C'est un point que je signale à l'observation ultérieure des pathologistes. Les ulcères syphilitiques du larynx siègent tantôt à l'épiglotte, qui peut en être déle truite en partie, tantôt autour des cordes vocales. Je les ai observés aussi en même temps dans larynx et dans la trachée. Lorsqu'ils ont atteint les cartilages, leur durée est quelquefois très longue, de la des destructions étendues peuvent en résulter, la maladie peut présenter tous les caracteres produire, par leur phthisie laryngée, et lors même que la guérison a lieu, les cicatrices fibreuses peuvent contraction, des tiraillements des cordes vocales, de l'épiglot.te, etc. la cavité d'un des J'ai observé une fois une hypertrophie du tissu cicatriciel qui comblait presque la trachée. des cicatrices solides, ventricules du larynx. J'ai rencontré aussi, dans le même larynx et dans parties molles et des carhlages. avec ulcères nécrosés du cartilage et altération encore progressive des de cette période, _ [ Nous rapporterons d'après M. Ricord (l) , comme un type des altérations sypbilitiques \'|llg . (ui ans ., ; ‘l‘ztlth-CÏIM ] ' ‘ > . ' ' ' _ qua. . . de … age - malade un d suit dans le larynx, suit dans d'autres Oiganes, l autopsœ , particuliei, de rien ne présentaient auparavant, eut des chancres. « L'estomac et les intestins ans d'un volume moyen, dune malgré la diarrhée dont le malade avait si longtemps souffert; le foie, ' ‘ ' une lame ur assez " e de son lobe di0it, ' a' la surfac présentait, ' ' ires, 00l0t'ation et d'une consistance ordina «'… - ' ntplo' ngee " ( ieine . . , ue entie \ ‘ ' mais'- presq régulièrement arrondie et de la grosseur d une nour, un peu saillante, | e en deux parties, paraissait entouree d une espece dans la substance de l'organe. Cette tumeur, diVise cuant un ']veu ‘stous e ' "‘ homogene, dur et dense, " assez ' de kyste; elle était formée, du reste, par un tissu ,, avec 0"18 ‘ tei‘ beauc ' oup dana parais' sait ‘ ‘ ' piésen ' ' aux. bile bistouri, et n'offrant aucune trace de vaisse les s'injecter, pui eau un petit kyst réunissent e n la gouttelette de 905, puis toute '.5011. " 30 ° observat ' de ! /zupttal des vcneuens.- Parts, tbal, p/uque ' " zconogra (l) Clmzque ANAT. PATHOL. -- 17' cm:. …) < iges, telles que l'ossification, la : a sa surface, rude, inégale, ou . puscules du tissu cellulair sont e .]. ceux d'un cas d'ulcère syphilitique en majeure partie cicatrisé du larynx et du pharynx, cas dans lequel Les éléments histologiques, dans ‘ c dans un travail 'd'ossification ces parties on rencontre sou vent aymateuse, située au dedans des .. et peut plus tard renfermer des membraneuse n'était pas adhérente et se terminait dans les bronches en un liquide purulent. On voyait des filaments d'exsudation s'étendre dans les ouvertures des follicules. La muqueuse du pharynx et du larynx avaitsubi, par suite de la diplithérite, une véritable perte de substance, au point que l'on trouvait mêlées àl'exsudation des fibres musculaires à stries transversales. Il y avait donc ici mélange de diphthérite et de croup. Les masses exsudées montraient de nombreuses cellules dans une substance amorphe, réticulaire ou fibrillaire; par places les parties profondes montraient une infiltration d'éléments cellulaires. d° L'ulcère syp/zz'litique est décrit avec beaucoup moins de détails. L'auteur entre seulement dans nnent de ces végétations, qui,à »-(-rbr : T'" -.Y.., s'étendait dans les ouvertures nasales postérieures, dans le larynx et dans le pharynx, dans lesquels l'exsudation était adhérente. Les ventricules de Morgagni étaient efiacés, la plus grande partie de l'exsudation ….,\ *-\Àf‘fifl . , es excroissances verruq ueuses et d'une manière secondaire au larynx et dans la bouche, en même temps que dans une plaie qui avait succédé à une grande opération. Le malade a succombé à un œdème de la glotte, malgré la trachéo- 4 a trouvées de grandeur , de forme , étendues, entouréesà peinede 3" |JtllCèl‘ê di'p/illiérih'que est rare: l'auteur n'en a observé qu'un seul exemple. Il s'était développé __4\_ _ _ - ‘ A-A,« 'Ô'\Te ,_'_\A* - « la côte de la bouc he. Autour des un certain temps, et les plus va. et forment plus tard, par leur confluence. des pertes de substance plus considérables. -.Ê'f‘5fàa "ÀAAÀÂ!A.A, e des [vestiges cepend antàl‘éur folhculan‘es ala base de l'épiglotte, jusqu'aux cordes vocales supérieures, à la face antérieure des cartilages al‘yle"01d€S, et un peu au-dessons des cordes vocales inférieures. Ces ulcères sont d'abord isolés A',- llimè tres de lontme '°" - Une "" ?S a eu lieu ausîi dursur 13m" ll‘ll€ par le ramoll isÏniaes h0ld5 indiqué antérieure ment … de " |