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Show ., «.. ;--. …… .ç...,.,_,, ., 1ysémateux du dernier dent galcment existé dans près des =‘…1-ÿ-_, .ç. -'\v- ».….vn; f .» ""H‘r-v v‘ñ-ï.-' """'"* M,M" '!N=‘Y‘" __ . MALADIES DES BRONCHES. r t … (fiautant ' 1 639 . orns étonnant, que l on sent que les maladies organiques du cœur sont une complication très - requen e qui, en cas pareil, ahrége notablement la durée de la vie. Voici le tableau de ces 68 cas : 5 5110 ans. .. . .. . lOà15ans...….. 15 a 20ans....... oanvnrvnn. C..; mä'tels. T () 0 1 ml… l 0 0 0 1 lt 1 5 pathologie, que l'emph ysème 205125ans.....… 1 2 3 6 cas une altération org anique 25 à 30 ans ....... l t) 3 tv de gauche, et des altérations 30 à 35 ans ...... . 35 à [40 ans. . . . . . . l 'l 2 l 2 8 5 … les altérations du cœur sont ma clinique, nous observons ù0àh5ans....…. ? 1 lt 7 115 Et 50 ans ....... 5 lt 'are chez eux, nous diagnos- 50 à 55 ans ....... 3 l 3 1 5 7 55 à 60 ans ....... 11 2 2 3 pas encore donné un seul 60 a 65 ans ....... '1 t) t) '1 65 à 70 ans....... 2 t) 2 [; 7tlà75ans....…. 1 o 0 1 TOTAL. . . . . 23 T‘…)- Êt- -Œ 5 du cœur se rencontrentaussi ladie est parvenue à un degré é de volume, avec hypérémie Nous arrivons à présent à une des parties importantes de notre travail, à la théorie de la production .ie. Chez un seul malade nous de l'emphysème; nous serions conduit évidemment trop loin si nous voulions passer en revue toutes cet organe. La rate ne nousa :es d'une allection de Bright né, surtout les méninges, et montré une apoplexie du lobe n ramollissement pulpeux, le aisseur normale; il y avait des celles qui ont été proposées. Nous en indiquerons seulement quelques-unes, car nous verrons bientôt le situé a l'origine des gros :x, montrant plusieurs loges menteux, et renfermant à sa se, des plaques de véritable a du thymus ou une véritable rs t, chez une malade, plusieu bras du thorax, du dos et du roarononcée, anasarque, hyd es. Dans nos chez les deux sex les ll cas t si nous ajoutons notes, 36 faits avons, dans nos A rivé au meme ner n'est pas ar n ous avons es. Quant à l'âge, Garrdner. .ervati ons et 33 de manière & 35, répart is d'une s servons dan ainsi que nous ob nos tiers depetit ), pres des deux qu'on ne peut pas admettre une cause unique et constante de cette maladie, et qu'elle résulte au contraire du concours de causes multiples et variées. Nous rencontrons en premier lieu la théorie de l'illustre auteur qui a, le premier, décrit l'emphysème pulmonaire. Voici comment Laënnec (1) formule cette théorie : « Les petits rameaux bronchiques, dit- il, sont obstrués par des crachats ou par le gonflement de la muqueuse. Or, comme les muscles qui servent à l'inspiration sont forts et nombreux, que l'expiration, au contraire, n'est produite que par l'élasticité des parties et la faible contraction des muscles intercostaux, il doit souvent arriver que, dans l'inspiration, l'air, après avoir forcé la résistance que lui opposait la mucosité ou la tuméfaction de la muqueuse, ne peut la vaincre dans l'expiration et se trouve emprisonné. Les inspirations suivantes ajoutent encore à la dilatation des cellules auxquelles se rend la bronche oblitérée. Enfin, la dilatation contribuer à cette dilatation. » Pal" la chaleur pulmonaire de l'air introduit froid dans la poitrine doit Bien que l'on trouve, dans la théorie de Laëtinec, ce fait vrai et exact, que les quintes prolongées et souvent répétées de toux peuvent contribuer à développer l'emphysème, on observe cependant celui-ci du dans un certain nombre de cas antérieurement à la bronchite et à la toux. De plus l'accumulation aux mucus dans les petites bronches est si peu une cause de dilatation des vésicules qui correspondent que l'affaissement des bronches obstruées, que, bien au contraire, les travaux de Gairdner ont démontré que tout le monde a vésicules en est la principale conséquence, et il insiste avec raison sur le fait à fait différent. constaté que l'emphysème pulmonaire et les obstructions bronchiques ont un siège tout qu'elle soit médiate et Il faut par conséquent, si l'obstruction bronchique exerce ici une action, éloignés des foyers d'obstruction. Nous avons Pl‘0voque la dilatation dans des groupes vésiculaires que par la air e était obstrué par d‘autres causes également remarqué que, lorsque le tissu pulmon l'\ ltérations d'un catarrhe gasle pylore était le siège d'une le son calibre. -. A.._,, "AAAA,-\ " De ' /\_tmÈ ,,!" LEBEIt'I‘. Cas mortels, AAA"pR.A_,, tquelle cette fréq uence était me était générale ment moins analyse de 40 cas d'em phy. cœur, huit fois hype rtrophie par du cancer, par des condensation, suite de l'afl‘aissement vésiculaire, comme par dest ubercules, t dans des group ce vésiculaires tout autres f0yers hémorrhugiques disséminés, l'emphysème se produisai être obstruées. Laënnec et ses successeurs sont que dans celles dont les bronches afférentes pouvaient re un rôle important dans la production de donc dans le vrai en attribuant au catarrhe pulmonai M. Gavarret (2) invoque l'emphysème; seulement cette théorie pèche par so n application trop exclusive. comme cause de l'emphysème; non sans raison les grands efi"orts musculaires de la toux et (1 e la dyspnée et c'est dans ce peut-être pas assez de valeur au catarrhe et à l'obst ruction bronchique, mais il n'attache Un oport ionnellement 5 pr t que cette maladie abréâe la é} ce qui est nt: (l) Traité de l'auscultation médiate, t. 1, p. 292. (2) De l'emp/zysème du poumon. Thèse, Paris, 18113, p. 27. . . "'-r" «.. er à un âge ava |