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Show T6Aâsn°ëeAAs 'f\ -. »- '\Aq A AA 4 .;,_a: au,gg @@âÎiî A""""*Afi tiers. Les lois phœiol secondane. comme (l une vale… tout a fait s gée isa env t son lles ntie esse s que des dilTé rences clinique r ce nous no us sommes efforcé d'oublie issance de ces doctrines, connu en avons nous 18" Lorsqu'en . Animé du vif désir de s un sens tout 21 fait différent dan ris t app avai nous re rieu anté n que l'observatio urait rien sacrifice d'amour-propre qui n'a un c l‘air de t poin t gnan crai ne et té, ne chercher que ] a véri pro duits morbides et de la marche ncé avec impartialité l'étude des nnne reco s avon nous , nous pour été r aux mêmes t. Nous aurions e té heureux d'arrive refle le que t aien n'ét ils dont dies mala clinique des Nous qui ont tions d sur les tomiqu contrer profon sagent du iiiêi - . \ l - ‘ 7 . \ l " . : u Les ' . "' : 1 {\ " métho les car d'autr rappo Ind l'obse . AM,,» profondes nous assimiler les fruits de leurs savantes et à ché cher et ères lumi leurs de té profi s avon des notions nogement acquérir sur une multitude de p0ilit5, investigations: nous avons pu ainsi non-seul AAAAA"AÂAn Néanmoins le fond a l'esprit, abandonner d'anciennes erreurs. velles, mais, ce qui est plus doux encore re de s, mi croscopiques et cliniques d'un grand nomb de nos doctrines sur les différences anatomique ss ées antérieurement, s'est trouvé confirmé par l'ana- produits n'iOrl)ides, telles que nous les avions profe - sa Â'"o ÊÉgli ..-_ a ,_.--\4-\_ 't A % M "‘Añ de ne p………_ ns profmulement : to . et … nr "e us no el ‘ tout un ou‘t'e su 1 lequ dans ses doctrines des smnnes. Cependant il v a ien différente. s b ns tio 2… le vic con . -‘ , ie. "l( """l\t che dlr , d'un‘ité. ;‘i‘ laquel ., ce ' lut' et d "-que une espè om " ‘ " * word avec pour ‘t hol pat ‘ r‘v)"‘ ‘ _ l'exsudation ," ' , , admt, tOute .. MLo\\, ainsi que ses eleves at , du cance1 , de " Cli …e\ ii‘ de la tuberculis ion ll, tiû i£l lll ûtl de l'itlfl .". . Les plO(ltlllS essudes ' ole, que (les diffé. ' ‘ nous ne saurions croire nt, d api cs cette éc a1e tl‘r1r n'o , mot un en , ide sol liquide ou ulaires. C'est ainsi que espèce de t issu accidentel les éléments intercell ns da et es lul cel ppement d ans les rences d'âge et de dévelo c er, avec lequel la mélanose, e tuberculeux. Le anc èr act car le e dr en pr ait rr ‘ ‘ d ' exsudatwn pou ents microscopiques toute espece ainsi d ire, point d'élém ur po it, ura n'a , nis reu nt le sarconu‘, le cancroide, resteraie l lion- . par " niques signant des caractères cli as hu en . l'ontologie, 7 tomber ait dans . , spéciaux, de même que l'on * ier e su e v c uswe, man ' une d e ogi ' hol ? pat … le a la ' uées par cette eco ogiques sont appliq : il n en a 1161] Lit… Nous 5 nous professons une estime profonde résultats que des hommes pour lesquel 4« AAAAAAQgAMAM \ÔAÀAAH" . |N'l'll0DËCl‘lth. tation de pa d'une succes rempl Est tés par un artiste distingué, consciencieux lyse de nombreuses observations appuyées de dessins exécu théra*_ et étranger aux questions en litige. l'écha mmatoire de ceux de nature tuSi nous continuons encore à séparer les produits de l'exsudatiou infla physi reux avec ses éléments essentiels, et les berculeuse, si nous mainteuons la différence entre le tissu cancé norm s, nous n'avons jamais tumeurs libro-plastiques, épidermoidales, cartilagineuses, graisseuses et autre rcation spécifique prétendu que les différences microscopiques seules constituassent une espèce de déma des entre les divers produits morbides, comme on a voulu nous le faire dire. Nous savons trop bien que maladies spécifiques peuvent exister sans éléments anatomiques spéciaux, témoin la syphilis, la morve, et peut-être toutes les maladies d'origine miasmatique; qu'un même tissu morbide, tel que l'épidermoïdal, par exemple, peut tantôt être l'expression d'une altération locale insignifiante, comme dans les verrues, tantôt provenir d'une infection constitutionnelle, connue dans la syphilis, tantôt enfin être le reflet d'un mal qui, bien que local, est cependant susceptible de devenir très grave, comme c'est le cas dans le cancroide de la lèvre. Aussi, si nous admettons dans le tubercule et dans le cancer des éléments qui leur sont propres, c'est que nous possédons par-devers nous la double preuve que le microscope fait . , , distinguer 19…'5 elements de ceux des divers autres produits morbides, sinon pour chaque cellule ou cor- dicati etpn en ra matiè pathc de to L': nos é qu'el €Xpéi Le - & '- nts‘ et leur ensemble; - ' 3 dâs, eleme 03 " littt la ngfr: au moins vuscule, … à …I]J0ttl‘ e con… îé\,è1_ nombï et, d'un autre côté, l'analyse cliniQUe lasse e caiacteies qui permettent de les envisgiger comme des groupes muni isaii . s .1-1,_ ‘ ::ï::î;1: Pdlt, doîlt ltc diagnostic peut être établi, et pour le traitement desquels cette distinction est ‘ [ cetue ou ' "! . i , e du tubercule et la C€llUle îiÏ'r'iiomi c-a'icc_' tend a demontrer' Le COl'puscul du cancer de soiit donc [îiîçn » 1 cs (einiers termes de la nature intime, de l'essence de la maladie tuberculeuse o u cancueuç, ',- ;, mais ‘- des elénœnts ' que l'on ]aout et r1ue l' on duit ' distinguer, ' ' si' l ' on ne veut Pil‘ ‘ tl)lllbLl ([ ( \llb lll](: fd(i lt.tl:e LOllf u°lon dt d0Çfrl IDG-_ , nm…Œœ. _ "" »‘ v-4,‘ , , .. .,g. \,4,. d'à-"Ag +. ; " i*""'""=4'u-‘æ. ….a,, ( l.lnb :… ] (] IldltllL (UC ] bl," le tl dle |