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Show "";. « :,\ - .» Ib); ‘.11‘1';)\5 '-_._l' -;.,in/l_-‘ amifient de parties pro. voisine, a infecter enfin l'économie. Aussi est-ce en partie a cause de cela que les tumeurs fibre-plastiques, nomonique particuliè- euses. Celui ble cancer; parents qui rulents dans , . eratron, une :rtrophiques mons avons obablement, ‘o-plastiqtæ. tait rien de , \' 185 devons y rencontrer tous les éléments qui caractérisent les diverses phases d'évoluti on de ce tissu méla- morphique, et nous pouvons ajouter que ces éléments sont bien plus variés encore, en ve rtu de ce fait que nous avons souvent eu l'occasion de constater, a savoir: que les productions cellulaires pathologiques ollrent dans le développement des cellules une variété et une richesse de formes qui laissent en arrière tout ce que nous connaissons en ce genre dans la nature organique a l'état normal. Nous dirons dès a présent que ce fait, qui paraît une simple curiosité de naturaliste, a cependant une grande portée clinique, car plus le développement cellulaire est riche et varié, plus aussi le produit accidentel a de vitalité propre, de tendance à l'accroissement, de propension à exercer une espèce d'action de contact sur la nutrition ‘ente. Nous ' ,yw-g. rfi.'v-x r-:. 'i-È.‘i'!: t°.= l)läS l'HUDLC'I'IUNS ET DES TL'.\lEl'ltS l"llïlt0-l'LAS'I'IQl'tiS. .50iL qu'il se épidermiques et cancéreuses se trouvent en haut de l'échelle des productions anormales quant a leur action fâcheuse sur l'économie. La variété de texture dans ces tumeurs répond plutôt au groupement des derniers éléments qu'à des différences essentielles de ceuxci, et nous avons au contraire un point de départ anatomique fixequi lait mieux comprendre la connexion de ces produits, malgré leur physionomie variée. Voici les principaux éléments : Les cellules fibre-plastiques sont arrondies, sphériques ou ovoïdes, allongées ou irrégulières, généralement assez plates; plus elles sont jeunes, plus la membrane (l'enveloppe est pour ainsi dire aceolée à la surface du noyau; elles ont en moyenne une dimension de 1/100° à 1/60" de millimètre. La paroi cellu- laire est pâle, homogène, peu granuleuse. On rencontre un ou deux noyaux dans leurintérieur, cependant une variété de ces cellules, désignées comme cellules mères, renferment un grand nombre de ces noyaux. en avons vu tlacuneux et Ceux-ci ont, en moyenne, de 1/200" a l/lÆO" de millimètre de longueur; ils sont ronds dans le principe, mais plus tard ils sont ovo'ides et peuvent même s'allonger considérablement, au point d'atteindre 1340" Les corps fusiformes, si caractéristiques pour ce genre de tumeurs, constituent pour ainsi dire l'inter- médiaire entre la cellule et la fibre. Ils sont allongés et se terminent d'un côté, ou, la plupart du temps, rons, comme des deux côtés, par une espèce de prolongement très eflilé, quelquefois divisé. Leur largeur moyenne est re, nous ren- de HBO" de millimètre. Cependant ils peuvent atteindre l/lOO" de millimètre; leur longueur est parfois très considérable, de 1/400 de millimètre en moyenne, allant a 1/20", et même a 1 10". Il n'est pas rare de rencontrer le tissu fibre-plastique entièrement composé de ces fuseaux, ce qui nous a fait donner a 1ns le cancerv notre obser- 1e correspond t les unes ne eilleures 0Pé' … s'attendreà arence, il n'en _ faut que nous ont et partout différences de groupe5 dans _ imparfait des des du malade stoirc naturelle cette variété le nom de tissu l‘usiforme. On trouve enfin, microscopiquement parlant, aussi bien qu'à l'œil nu, tous les passages au véritable tissu fibreux. Outre les cellules simples et les corps fusiformes, on rencontre de grands feuillets ou des cellules mères variant entre 1/338 et 1/128 de millimètre, et renfermant un certain nombre de noyaux dont quelquesuns peuvent même être entourés de leurs parois cellulaires au dedans de la cellule principale. Ces grandes cellules sont quelquefois entourées et comme enroulées de fuseaux, et ces amas bien délimités constituent ce que j'appelle des globes concentriques fibre-plastiques, qui, par la suite, peuvent subir plusieurs altérations; telles sont : la séparation en anneaux épais, avec des espaces vides entre eux, une altération granuleuse particulière, une décomposition en vertu de laquelle des petites sphères albumiuoïdes et transparentes se forment dans leur intérieur. Les cellules et les fuseaux fibre-plastiques ordinaires subissent souvent aussi l'infiltration granulo-graisseuse, comme toute espèce de cellules. La substance gélatineuse des tumeurs fibro-plastiques est, sous le microscope, a peu près transparente, et parsemée de fibres fines, ainsi que de noyaux cellulaires. Les éléments graisscux libres sont excessive- ; généralisation ment rares dans toutes ces tumeurs. A leur surface, on rencontre quelquefois la couche épitliéliale de la 3 différents qui région correspondante; on rencontre enfin, dans leur intérieur, les éléments microscopiques de l'os, si des généralites ce tissu a été constaté à la dissection ordinaire. encore, servent Après avoir passé en revue les détails de structure de ces tumeurs, considérons-les maintenant dans leurs caractères, par rapport au reste de l'économie. Avant tout, nous devons envisager le rapport ,lastique, quelle connectif. …" avec les tissus et les organes voisins. Ici nous avons une grande différence à établir entre les tumeurs des . . -'__ …' , ‘ l"l""'_ parties molles et celles des os. Les dernières sont ordinaireme plutot des cxcrois nt diffusés et constituent ANAT. emtec-G" Ll\'R. .'u | )s capable de l . rs lacunes et de millimètre de longueur. Ces noyaux sont généralement plats et renferment un ou deux noyaux puncliformes. Dans les cas rares d'infection fibre-plastique, on trouve une grande richesse de cellules; ordi- nairement les fuseaux et les noyaux prédominent. . .. 3 et dans une -. ,.:z-:,tr : ! '."- Ï.'Y"'1." '. giques. Nous |