OCR Text |
Show V I,: ,. A 3 / " AA__ ÂAApAÀ"*‘ ' - ,7 - ‘ du cancer de ceux q… n y sont … constants, Nous distinguons les éléments caractéristiques et essentiels ni doués d'une forme particulière propre. . pouvait l . ' eophpms du cancer. & Il. --(Ïaractèrcs union-os « .. n AAAAAA . _ñ_flnflflfi .. A.,-.. ___ "Ê"» À i . le foie, lEs poumons et squirrheuse, tandis que le testicule, les et le pylore offrent volontiers la forme ancer m ou et encephdl01de- [untefms on trouve chez le reins et la vessie, présentent de préférence un c meme une consrstanœ de consistance dillérente dans les mêmes 01 ganes, et même individu des tumeurs . eur rses parties d une seule et même tum dure, molle ou elastique, dans les dive : ( .) A‘tf-P-x 15 K GÉNÉRALE. ANATOMIE l'ATHÛLOGlQFE 275 ]" Élément spécial du cancer; cellule cancéreuse. que 0""": tionnels cette mc l'extrém Le ty] ment pl: nucléole triangul; d'autres partant notre Physiologie pathologique, sur l'aspect spécial de lacetNous avons déjà longuement insisté, dans is l'importance, a été généralement reconnu par les lule cancéreuse. tie fait, dont on a sans doute compr graphes et par M. Mandl (1), micrographeseu France, et n'y a été contesté que par les praticiens non micro que Vogel et Virchow, et en Angle- tandis qu'en Allemagne, des savants d'un mérite incontestable, tels cellule < suffit de aucune uliers. Plein de déférence pour des hommes terre M. Bennett, ont cherché à combattre ces caractères partic grande, degrés t durant ces quinze dernières années, qui nous inspirent une aussi sincère estime, nous n'avons cessé, ons certainement d'étudier tout ce qui se rattache à cette grave et intéressante question, et nous n'auri bibition ralean eures n'avaient pas hésité a abandonner notre première opinion sur ce sujet, si nos recherches ultéri au fait . pas de plus en plus confirmé notre intime conviction sur l'exactitude de nos observations Quant seulement en lui-même, en regardant les dessins des auteurs cités, je vois qu'ils ont observé comme moi; es ils n'ont pas toujours séparé du cancer les produits morbides, qui, tout en lui ressemblant par quelqu contenu ateurs les points, en dilTérent néanmoins. M. Bennett lui-même, qui, sous ce rapport, est un des observ plus éclairés, ne me paraît pas avoir bien reconnu l'hypertrophie de la glande mammaire. Si l'on pose la question dans les termes suivants : Une cellule isolée étant donnée, peut-on toujours ment ur reconnaître, par l'examen microscopique, si elle appartient à un cancer ou non? nous n'hésiterons pas à répondre que cela n'est pas toujours possible. Mais la question que nous avons toujours cherché %] ré- soudre est celle-ci : Un tissu morbide étant donné, peut-on reconnaître, au moyen de l'inspection micros déjà tet rare, es Copique, s'il est cancéreux ou non? Sur ce point, nous n'hésitons pas à répondre par l'affirmative, touten 0""",05 exelusiv reuses, faisant d'abord une réserve en faveur de circonstances exceptionnelles que nous indiquerons plus tard, et dans lesquelles l'examen microscopique peut rester insuffisant. A près ces remarques préliminaires, nous allons donner une description succincte des principaux carac- lines et produits plutôt il deux m Dans des ce] tantôt | téres des cellules cancéreuses, en prenant pour point de départ le type de la cellule simple bien développée, reuse tt pour indiquer ensuite les principales variétés que l'on rencontre. Nous décrirons plus tard les formes dues a un développement incomplet, puis les principales altérations auxquelles les cellules cancéreuses sont sujettes, et qui peuvent les rendre méconnaissables. variété sont or les auh La cellule cancéreuse est souventincomplète, et, dans beaucoup de tumeurs, on constate un nombre cr…sidérable de ses grands noyaux a nucléoles volumineux, et un nombre proportionnellement exigu 011 et mên‘ même l'absence de cellules complètes, l'ait qui ne s'obserœ pas à ce point dans les productions épithéliales ni dans d'autres tumeurs qui peuvent avoir quelque ressemblance éloignée avec les éléments microsco- import: piques du cancer. Lorsque la paroi est complète, la cellule a une certaine fixité de dimension, et l'0fl peut regarder celle de 0""",02 a 0""",025 connue la véritable moyenne. Si l'on compare ces dimensions moyeu pouvoii avec celles que nous indiquerons tout a l'heure pour les noyaux, on arrive a cette conclusion importante, prompt qu'dy a une proportion particulière entre la dimension de la cellule et celle du noyau, qui est bien plus sttell€ ' - - > - g…… ‘lU'il "$C-"L Ul"ll‘…ll‘cmenly COnlparativementàla mroituil' n qu'a elle seule elle fait reconnaître, dans bien des circoi1starwés l'ienztiîuïî' it LÎ'te d'°Î‘ÎlÎO…ÊLÊS aveu; Le n uia grand "su" s noyaux- et eusees ' ut LdeCd…U " ( maren ' ' "enfe; 3‘ tlurr blu.-ieursl'ois examiné entre autres des caucer*e tau:: ces cellul à grands ……CUlŒ; lors,"… nous …… C…n‘ D U larges feuillets eta€5 , . !… _ …"b l cp1detme de la surface avec ses . petits novqu_ ……5 \. …) \.- _ ervateur le monts exerce ne u ""'" …… ……‘UWC telle que, réellement, l'obs " ) tt ; [Jul/Mur «lw /' th‘:ün[w «lu iii/«lvcim', Paris, ‘lSM, t. X\, p. 1911. Le ( premie contre lution. fortenn W,or voir au paroi e |