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Show ... .. .+…..+"uv-‘.:9w-0w-v-vavq',-+qaoq .+. ...-L0... v. :.v _ .... - -- .. - -- M - -- ' *; « < ." LE. ANATOMIE urruot.octoru GÉNÉRA "6 … ' ‘ / ‘ avec les masses 1solee>. étendue,. et l'infiltration coex1ste souvent ser le v olume très grande; nous ne les avons guère vues depas , Chaque tumeur à part ne devient guère . ' 7 tandis . pomme, d'un marron ou d une petite Ma_ÊÔ°ÛÏÔÀÂA ‘as» M Aññflfifiñfl. @ V' \14. s. Leur consistanc_e est à la 10 et même la kil ogrannne _, que, chez le cheval, elles }mme… atteindre 7, L ement suinter un suc brun noiràtre. A. letat de ramolhssement, fois molle et élastique, etl'on en fait facil enveloppe conrécs par une espece de boue liquide. eut . , . _ phase non obligatoire, elles sont comme iufilt leur mte1 teu1. _ nective est chargée de vaisseaux qui c nsuite se répandent dans , et on . ,les a…trop ana- . des tumeurs métalliques Ou s'est b >aucoup occupé de la composition chimique lles il estcomb1ne. Deja Thenard lysées en bloc, sans séparer le pigment des diverses substances avec lesque l a le premier insiste sur son analogie avait trouvé la mélanose surtout composée de carbone. Barrue , l'un et l'autre dans un état partiavec le principe colorant du sang qu'il a trouvé mêlé à de la tibrine phate de chaux et du fer. L'analyse de Foy, culier; il y a trouvé en outre des matièr es grasses, du phos confirme également ces résultats. L'analogie de ce citée dans le travail de MM. Trousseau et Leblanc, établie; en même temps, on a démontré que cette pigment avec celui du sang est donc, dès cette époque, y prédominait ess entiellement. Nous serions dismatière n'était point identique avec lui et que le carbone terrain en comparant entre elles toutes posé a croire qu'il faudrait placer la question sur un plus vaste pour voir si celle du sang n'est peutles matières colorantes que l'on rencontre dans la nature organique, e sur les pigments. En tout cas, il être pas plutôt une simple application d'une loi beaucoup plus général et cet excès de carbone est bon de ne pas per dre de vue que cette modification du pigment hématique s mélaniques. Ce sera peut-être prouvent en faveur del'origine exsudativ e et non hémorrhagique des tumeur son origine à du sang versé là un jour le véritable sens de cette question, à savoir : si un pigment doit ent de la circulation par exosmose, directement dansles interstices des tissus, ou à un liquide sorti du torr . avec modification préalable de ce liquide. xsudations, une hypercarbonisation En dernière analyse, on trouvera peut-être, comme cause de ces e pour de plus amples détails générale pour la mélanose multiple et constitutiomœlle. Nous renvoyons, Nous ajouterons sur les pigments noirs, au beau travail de Virchow (1) sur les pigments pathologiques. seulement le résultat de quelques analyses récentes empruntées a ce travail. les dans le poumon, de 7021 Melsens (2) a trouvé dans le pigment noir formant des amas considérab ne, et dans une 80 pour 100 de carbone, de 1 a 1 1/2 pour 100, même une fois 3 1/3 d'hydrogè Ce pigmentnoir de ces déterminations, 3 pour 100 d'azote. Il a trouvé, dans un cas, 06,6] de carbone. les liquides est difficile à examiner, parce qu'il retient l'ammoniaque et les acides et ne se dépose que dans et végétaux fortement acides ou alcalins; semblable au charbon animal, il attire les pigments animaux des liquides, et décolore, par exemple, les solutions alcalines d'hématine. A une température de 120 degrés, il brûle dans le vide sur le platine, sans flamme et presque sans résidu, comme le charbon; en le chauffant, on obtient des vapeurs acides et de l'huile empyreumatique. La solution de potasse n'a aucune action sur lui. La potasse solide le dissout pendant l'acte de la fonte par combustion, et reste incolore. Les acides sulfurique et chlorhydrique restent sans effet. lin faisant agir sur lui de l'acide nitrique et du chlore, on obtient un acide brun semblable à l'acide ulmique qui se forme du charbon dans des circonstances analogues. Une partie de la substance mélanique a reflet métallique, analysée par Melsens, suifi- rait pour teindre 200 parties d'eau distillée. Vogel (3) a vu le pigment noir des poumons insoluble dans les acides sulfurique et chlorhydrique, dans l'amnimiiaqtœ et la potasse, dans l'acide nitrique étendu, tandis que l'acide nitrique concentré le dissolvait en le décomposant. Dans les analyses élémentaires faites par Schmidt, le carbone a varié entre 07 et 73 pour 100, l'hydrogène entre 5 et 7, l'azote entre li et 8; l'oxygène a été environ de l8 pour 100, les cendres renfermaient surtout de l'acide silicique 61 du sulfate de chaux. Comme maladie locale, la mélanose n'est pas grave; nous l'avons vue persister à la surface de la conjonctive pendant douze ans, sans inconvénient. Presque tous les chevaux blancs ont de la matière mélanique sous la queue. Même dans les poumons de l'homme, il en faut une quantité notable pour produire dela ('t) Arc/Mu, t. I, p. [130 à 11115. (:!) Cump!cs rendus de l‘Académie des scz'cuct‘à‘, 180111 1- XIX: P- 1292( 3) Iraite' rl'auahmziepathologique géurü'H/l'. Paris. 15117, p. 170. |