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Show ..._+."r.+ ., . +..‘,._y n-. ». MALADIES DES VAISSE;\UX SANGUINS ET l.Yi\lPll.-\TIQIÎE S. avec une otite entre les deux "neux qui sont proportionnellement rare. Voici le tableau : De 15 à 20 ans. . . . . . . . . . . 20 5125 ans. . . . . . . . . . . 25 à 30 ans ........... 30à35ans..… es. 11 n‘est pas astatiques. 35 à lit) ans. . . . . A reporter. . . Gens. 6 lîcpm‘f. . . Deh0 a [:S ans ........... lu? a 50 ans ........... "ii) 3 42 27 cas !. ' 1 5t)êiôôziiis..….………i 55 a 60 ans ........... l 27 . 'Y ,... .,.» it l)ucrest (2) 7 plutôt a lage adulte, il y en avait pres d un tiers entre 15 et 25 ans, et près des deux tiers de 15 a 30. w ;) \ . . Un peu plus d ' un quart. se trouv ' ‘ e cnc01 e entre 30 et 45 ans, mais apres cet âge la plilébite devient - -. anée des sinus TOTAL. . . . -Î!t_ Quant aux causes plus directes de la phlébite et de la pyohémie, sans attacher une grande valeur au rmi les auteurs observations des causes plus immédiates; 9 avaient pour point de départ l'accouchement, dont les suites, hoenlein, Frei, en général, ontplus d'un rapport avec les grandes opérations et le traumatisme en général. Une seule :oup ce qu'il y fois, dans les 9 cas, le forceps a été appliqué, et une fois on a pratiqué la version. Le point de départ e rapportentà était ou directement dans les veines utérines, ou dans celles du tissu cellulaire du bassin; 5 fois la phlébite des sinus était consécutive à une otite interne avec carie du rocher. Dans 5 cas il existait une inflammation suppurative externe avec pyémie, mais sans que nous ayons pu trouver la veine enflammée; ? fois une inflammation de la muqueuse urétro-vésicale s'était propagéc a la veine spermatique. Dans Bednar et de le trouve pour dure du cordon sent bientôt de es organes, en suppurative de rforation de la ms ce cas, des soumons, sans ‘ar rapport aux la femme: sur ions venons de a 1103)- . .. "'[f .‘ ,., veines produisait des obstacles mécaniques, parce que les cellules du pus, plus volumineuses que celles du sang, ne pouvaient circuler et devaient s'accumuler dans les vaisseaux capillaires; toutefois, comme leur volume ne dépasse pas celui des globules blancs du sang, cette théorie est, par cela même, insoutcnable. D'après une opinion plus récente, il y aurait des obstructions mécaniques plus considérables, pro- venant de flocons pseudo-membraneux, d'agminations de cellules purulcntes, de fragments de caillots: cette opinion a pour elle une grande probabilité; toutefois on irait trop loin en y voyant la cause unique des abcès pyohémiques, et en outre elle n'est pas sullisamment démontrée par l'observation directe. Comment expliquer alors l'absence de foyers pulmonaires après la phlébite des veines des membres, et leur présence dans les poumons après la plilébite de la veine porte. Une autre opinion veut que la it. Il est enfin ute du cordon. sous le double A métastatiques. Une opinion très accréditée, encore soutenue par Sédillot, était celle-ci : Que le pus formé dans les pyohémie soit l'altération primitive du sang, dont la plilébite ne serait que la conséquence. Nous sommes loin de nier la possibilité d'une pyohémie spontanée, et dans tousles cas dans lesquels on aobservé l‘infection purulcnte sans qu'aucune veine ait été trouvée entiammée, on est bien plus en dl‘Olt . 7 . latente. La . p)_ ohemn ! -, spontame . . !. sans … pilleblle.'nitéi‘ieui'e ii est de l'admettre que de supposer une plilébité ( , , . . ' " ière )utride en SOÎt même pas très rare; ou ne saurait admettre davantage que l'abso…"°" d une …d' , . ' . , 1 pyohenne,qr atsellenen septico la qui' constitue "" - " la cause essentielle: c'est la une complication " A ' frequente , ‘ \ 7* , ‘ , estnullement la dernière cause. Pour nous, il' nous paraît de plus. en plus- probable) qil 1 l y a a tes causes " , . iiitox1catioii multiples, variées, en bonne panic inconnues, qui aboutissenta iii 1 résultat commun, a une _ _ _ . ,'ilcs. Dans la phleb1te Stlpplllm., du sang q… le dispose aux 1nflammat10 ns supplnathe= a1guet et "m'… ". 3 par Breschet, "' es en couches. de la distension par le caillot. L'un des points les plus intéressants des doctrines sur la phlébite, c'est sans contredit le rapport qui existe entre elle et la pyohémie. Diverses théories ont été émises pour expliquer la formation des abcès Y iétro-péritonite hypérémie avec épaississement et inflammation plastique toute locale à la surface du vaisseau, par suite AA»"" e bassin, et la tisse beaucoup - r . r'Z'A et de sang, et ‘ reines placen- . )rnée à un des faits que la phlébite spontanée est bien plus rare que celle qui est ou traumatique ou puerpérale, ou consécutive, par propagation, à quelque phlegmasie voisine. Je n‘ai jamais rien vu qui puisse confirmer l'opinion de Rokitansky et de plusieurs autres auteurs qui regardent la phlébite comme consécutive à la coagulation du sang dansles veines correspondantes. Cette coagulation peut tout au plus provoquer une ' et même dans tous les autres cas, il y a ou une cause traumatique, 7 fois la saigiiée, 6 fois l'amputation, ?. fois l'opération dela fistule à l'anus, 3 fois des plaies de tête, et "1 fois une contusion grave de la main. Il résulte de ces '! inc et surtout … ; et de caillots .-, heure mécon- ,. .:::Lf ' ‘âî M AAÊ‘ÊÎYÊ'Π‘,. ….AfiQA °*ÂÂÂ" AFF.l'Â-L‘âf-{ les ou dans la âÂ-Âag_À ', l'inflammation refroidissement, aux indigestions et à d'autres circonstances banales, nous trouvons dans 40 de nos ? ébite suppurée .. , 5 ces derniers ‘ÉËÊA AA.-.. .WËT ébite des sinus, ""‘."\ l'occasion des 535 parler de celle des lenlance, _ ‘ nouveau- Je l'ai _ nés. Pe, ndant vue survenir assez souvent a l'hôpital des _ Enfants, de Paris, a la suite des operations et surtout des amputatirm s. Sur 34 cas qui se rapportent i.' Hambf‘äñw … thèse fort bien |