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Show "'-*w‘r.ÿ_ . __' -"-:.V …- '__'i_,';il_v.v.. \. >f‘ ‘>ñ.-rfl'_'* MALADIES DES BRONCHES. téral, tous les élém ents une surface en co ntact 675 qu'entre les fibres élastiques elles-mêmes, ne la matière ' , _îÎfljîp}ûäœ|, et ce sont les caractères indiqués plus haut qui décident deqla fo…he granuléïjÿïîîî du dépôt lUbef0Uleux. On ne saurait nier cependant que le dépôt primitif de :$ plus importantes de ‘eusé de cavernes, voici l'étendue de la surface tant de communication tcore, pendant quelque :hes. Quelquefois cette ;, une espèce d'exutoire naires une f0i5 que les tubercules sont déposés sur de nombreux points. C'est cette hypérémie des vaisseaux ambiants qui a fait croire à M. Nat. Guillot qu'il y avait là une formation de vaisseaux nouveaux indépendants de la circulation générale. Je dois dire, à cette occasion, queje n'ai jamais observé nulle part, chez l'homme, la formation de ces vaisseaux indépendants, et que je les ai toujours vainement cherchés autour des tubercules. A la gêne d'abord mécanique de la circulation vient bientôt se joindre un travail d'irritation produit par la présence même des tubercules agissant comme corps étrangers; c'est ainsi que nous voyons naître de nombreux points (l'inflammation lobulaire ou peu étendue, qui, peu à peu, prennent les caractères d'hépatisation et diminuent de plus en plus le nombre des bronches capillaires et des vésicules capables de servir à l'acte de la respiration. Il est un point sur lequel nous appelons toute l'attention des pathologistes : c'est que, lorsque l'on examine attentivement, soit par la dissection, soit par l'examen microscopique, les tubercules fraîchement déposés au milieu de ce tissu pulmonaire liypéles rémié ou enflammé, on ne rencontre point, dans la substance des tubercules, de mélange entre isseaux de la membrane produits phlegmasiques et les éléments propres aux tubercules; nouvelle preuve que nulle part le tubercule ne se transforme en pus lorsqu'il se ramollit, mais qu'il y a simplement mélange entre ces diverses productions morbides, ce qui alors n'a rien d'étonnant. qui, du L'hépatisation pulmonaire s'accompagne souvent d'une abondante sécrétion pigmentaire, ttes parts et finir ainsi et à toutes reste, se montre également fort souvent autour des tubercules dès leur première apparition anisme que nous avons n tuyau bronchique. Ce r et par disparaîtreà ser peu à peu au point ?, au bout d'un certain c pas prendre pour une fibrineux dans du tissu te source d'erreurs, que et que la présence ou ta e nous l'avons vu tou as déjà à la surface des desquelles on reconnait de tes de corpuscules et les époques de leur évolution. est ordinairement d'une Le ramollissement inflammatoire du tissu pulmonaire autour des tubercules décrit ailleurs comme teinte rouge brunâtre, mais parfois au ssi d'un jaune très pâle, état que nous avons pulmonaire se trouve infiltré, dans utie assez grande hépatisation jaune, et dans lequel le tissu cellulaire étendue, d'une matière fibrineuse et de globules pyoïdes. pulmonaire, lorsqu'il y a un épanchement Il faut distinguer de l'hépàtisation l'état compacte du tissu ces cas il y a une condensation du tissu pleurétique abondant et qu e le poumon est refoulé en haut. Dans phlegmasique. On observe enfin une autre pulmonaire, qu'il est bon de ne pas confondre avec l'état ansformation fibreuse et fibre-plastique qui survient dans lésion que nous avons déjà signalée: c'est 'la tr _ ! . . entr e les cavernes étendues et la surface pulmonaire; les portions minces du tissu pulmonaire, Situées ses caracte res physiologiques ; les bronches, ainsi que le tissu de cet o rgane y perd alors complétement ou ne s'y trouvent qu'à ] 'élat Oblitéi‘é. les vésicules pulmonaires, y disparaissent ent été frappé de l'absence de tout cependant que, à Z urich surtout, nous avons souv Nous répétons e hysèm miliaires nombreux et récents. Quant à l'emp travail pli]égmasique autour de tubercules ation vous parlé longuement à l'occasion de cette altér rcules pulmonaires, nous en a consécutif aux tube . nnaitre articulier, fait co ce qut ‘n quelques mots morbide. umon àl'histologie du po s. Cette loi est certai existe aussi dans les poumon l'âge de quinze ans, il en ie; mposé de e élastique, co s organes_ a charpente de illes, ainsi st dans ces ma . x, Il nous faut dire à dire sur les poumons chez les tuberculeu Avant de terminer ce que nous avons surtout passé que, si un 0 rgane contient des tubercules, oir sav à s, Loui M. p.ir lie ‘, te de étab , " ) se _tconten deux mols de la loi . nement, si l'on telle qu e c es posee p…: une des plus incontestables en patholog , rale géné e règl me com ger visa l'en t rencontre nt son exactitude, Il ayan M. Louis, nous te, confirmer pleineme avons pu, pour notre comp iiitegrile des poumons; mais de tuberculisation étendue, avec s nnel ptio exce {69 cas de qu'un petit nombre Anar. rxTuon.--49' win. v ; traces d'une ancienne ns et dans les glandes le, on est étonné que i matière tuberculeuse souvent par la grande sensible; ordinairement il s'établit de bonne heure autour d'eux un état d'hypérémie, a cause du déplacement des vaisseaux et de la diminution de l'espace que peuvent occuper les capillaires pulmo- _ _ BAô _ AQ AAAAÂAA . fixée sur ce point, ou Ankàgïi ms leur progression ou tuberculeuse n'existait extremtles bronchiques. N_0"5 donnons cette manière de voir comme le résultat de très nombreuses investigations et de dissections faites avec soin sous le microscope. La c1rculatrondans le tissu pulmonaire qui entoure les tubercules éprouve souvent une altération ' ' s la cavité et y subit les AH ; ou moins abonda nte f' e " "mure "filtrée se. "55€ 5.0uventaussi dans '. ' ' 1‘ ] les terminaisons bronchiques, et surtout dans les vésic ‘ tion miliaire , ' ‘ : . -. . n es pu monatres: car il est impossible qu'une granlua , ‘ Il occupe pas d la fûts et les vésmules, et le tissu élastique, et quelques ptitees .Afl_Q‘ÎÎÎÊR , peu appuyés, peuven t |