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Show : . lieu autour ou avr-dessous d'une cicatrice qui, pendant plusieurs mois, était restée intacte et sans trace d'engorg0mêlth Tous les chirurgiens ont observé des faits analogues pour la l<éloïd0, 111ais_jamais ces bre-plastique. [ place même; . récidives n'ont en lien ailleurs que sur place, et de plus, chaque fois qu'on laisse les héloïdes sans )" .\ , lément envahi toucher, la marche locale n'est nullement envahissante vers la profondeur. llien dans leur marche, en pièce montre un mot, n'autorise a les séparer des affections purement locales, et par cmtst'æquent, on ne doit en aucune retourne dans aucun secours façon les assimiler avec le cancer. d'un homme âgé de trente-neuf ans auquel le chirurgien du Val-det}rziee enleve une vaste tumeur dans des opérations le jarret. Pendant plusieurs mois, tout se passe bien, la plaie se cicatrise, mais au bout de cinq mois 3 continuation ier de récidive survientune récidive qui prend promptement de l'extension; les ganglimus de l'aime s'engorgent, puis survient une infection générale, et le malade succombe avec une véritable infection lilao-plastique. Ce nous du reste, cas est, heureusement, exceptionnel. 3" Le troisième fait de ce genre que nous possédons est tout a fait le type de la récidive libro-plastique ordinaire. C'est également un malade présenté plusieurs fois a la Société de chirurgie par M. Chassaiguac. Un homme âgé de trente-trois ans s'aperçoit pour la première fois, en 1850, qu'il porte une tumeur dans la région thoracique gauche, entre la clavieule et le sein, un peu en dehors du mamelon. l.Îne pre- 4 mois d'août 1851, cas sur lequel nous reviendrons tout a l'heure avec un peu plus de détails. C'est celui par se guérirà . 2" Le second cas de récidive franche est celui communiqué par M. l,arre_v ;. la Société de chirurgie au finit par suc- et comme ces ‘0bable que la natif que pour mière opération est pratiquée en septembre 18H); 21 cette époque, la tumeur, tout a fait sous-cutanée, ant son mal se 1 devient néces- avait le volume d'une orange, extérieurement elle était entourée d'une espece de kyste tibro-celluleux, dans sa substance même. Elle était composée d'un tissu jaune rosé, mou, élastique, par places même très la tumeur avec vasculaire, montrant quelques épanchements hémorrhagiques, et offrant, a l'examen microscopique, une structure libro-plastique non douteuse. Lorsque je lis part, dans le temps, du résultat de cet examen a ence d'éléments M. Botrel, alors interne de M. Chassaignac, il en fut très étonné, il avait cru reconnaitre dans ce tissu out a fait diffuse mou, très vasculaire, le type complet de l'encéphaldide. Cependant l'examen microscopique n'eut-il En effet, l'alté- jamais été fait, la suite aurait prouvé qu'il ne pouvait s'agir que d'une tumeur libro-plastique. Cet homme, Ï. Maisonneuve, dont la santé est encore aujourd'hui florissante, a en quatre récidives. Chaque fois, après l'extirpation, la cicatrice est restée nette et intacte pendant quelque temps, puis au bout de six, huit ou neuf mois, une petite tumeur s'est montrée avr-dessous dela cicatrice et a nécessite, au bout d'un certain temps, une nouvelle excision. Ce sujet, qui est a peine malade, offre, encore aujourd'hui, un état général si ue possible par rire et de pourne montre pas re extrêmement pratiquée avec tion continueà e locale, qu'elle : l'économie, il dont les efforts t'étaitpasmoius t par celui aussi satisfaisant, qu'il peut continuer son métier de conducteur d'omnibus; a aucune époque les glandes de l'aissclle, région dont les tumeurs récidivées se sont de plus en plus ra…)roehées, n'ont offert le moindre engorgement. Qui ne voit dans. cette marche le type d'une maladie qui, bien que récidivant avec opi- niâtreté, n'est cependant qu'une affection tout a fait locale ? 4" J'ai connu, en Suisse, un homme qui a aujom'd'hui (pun'arttcwdeux ans, dont la santé générale n'a cessé d'être bonne, qui, depuis dix-huit an.-:, a été trois fois opéré de tumeurs "Ultllltlllm1505 ‘lU '" cuisse, et qui, après chaque opération, est resté C0…l)lf‘lclllt_‘tlt guéri pendant un laps de temps de plus de ueufans. Le volume, le siège, la facilité de l'énucléalion, la nature tout a fait locale de cette affection, douteux, celui , trois ans aut" malgré la tendance aux rt'utidives, me font volontiers supposer qu'il s'agissait, dans ce cas, d'une tumeur libro-plastique, bien que l'examen microscopique irait point. été fait. Du reste, la plupart des tumeurs volumineuses bien isolées des parties molles de la cuisse appartiennent a cette categorie- à cette époque' us tard, touth qui, 5° Le cinquième cas de réeidive, enfin, est celui d'un polype libro-plastique du conduit auditif, Welle, tl‘0Î5 ""' te cette tumeur» trois ans apres la première opération, s'est reproduit et a ensuite eu- completement extirpé. Je n'ai pas su ce due la malade, déjà d'un âge avancé, était devenue ulterieurement. Les observations de ce ë'…""a dans lesquelles on a constaté à. la fois la récidive et la structure libro-plastique, ne sont pas encore nombreuses dans la science; cependant nous pourrions en citer quehp1es-unes en dehors des laits qui [I'll CSL probable nous sont propres. cite une observation qui lui a été communiquée par .il, le docteur Heltze, et dont il a exa- Virchovv tl) ' . des Opération . ' / . . v _ , . . , _\.'., l\, . .‘ '. ,. . ) x»mme les pièces au microscope, à… homme, dont rage n est pas indique, lht -entr, . un le cote gauche des ' (le ", dans ‘ esp" (l) '- "".‘.'l'.‘.‘ "… W_‘)_, … .‘j'l'll. /)ll//ut/ll!/J',(V'/{t'll .l7/./ftlll/t'lfi l. l. t). '.Ë'.' ‘ "r.," ! ch ‘l'A‘i‘û‘æ‘ '- ont t0Ul°"" "' -_ .".ï'. ! '«‘- " X"). !" .. nr:s enorum‘tovs ET tri-:s Hun-ans Flintttd‘tAS'lli_>t'ti\. dérisation. Au |