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Show ‘ '-*-uo+-‘y.vuÙ»»-.;.v.-,.+._,,+H(,." ,_, ,,_ MALADIES DES VAlSSEAUX SANG UINS ET LYMl‘HATIQUES. ons; nous nt bornés, tt dans les bronches. tiques, de ré qu'une 543 Si nous jetons un coup d'œil $…. la fl‘éque nee relative des foyers métastatiques dans les divers organes, nous devons avant tout déclarer ineX act tout ce qui a ete d1ta ce su1et, et notamment ce qui yest relatif dans le beau travail de M, Sédi Ilot sur l'infection p _ , urulente. Dan" ‘ .. ‘ 26 fors des abces dans les _ poumons, 13 fois (1 ans le foie, 11 fois nos 3l cas, " y a eu dans le tis*su5 cellu laire ' sous-cutane' et dans les muscles, 10 fors dans les articulations, 6 fois dans le b assin, 4 fois dans la rate, 3 fois dans les reins, 2 f015 dans ] ovaire, 1 fois d ans le cerveau, 1 fois dans le cœur, et1 fois dans le tissu ' . de l'intestin. , . sous-muqueux . Quant aux inflammations secondaires, nous avons observé 12 fois la ‘ ' / / ' \ . pleuréste, Æ f015 la per1ton1te, & fors la méningite et 3 fois la lymphangite. Quant à l a ré artition des re que les p = , aux- env1rons . abcès, nous les trouvons 5 fo'ls bornés de la vente enflammée, et 26 fois dans des le volume, organes é101gnés, dont 19 en petit nombre, et 7 fois dans un grand nombre d'organes a la fois. Il y pyohémie. .émie, il y avait enfin une combinaison var1ee entre les foyers purulents et les inflammations secondaire s mentionnées. Je 5…5' frappé d'un certain degré de ressemblance qui existe entre ce genre d'infection Lérieur, de orgue et celle que determine une maladie chronique toute autre, comme le cancer. Il serait intéressant, :s, forment en effet, de comparer entre elles les diverses infections produites par des maladies différentes dans leur nature et dans leur marche. Nous avons généralement trouvé que les maladesjouissaient d'une bonne santé avant la phlébite et la : avec peu autouraient : autre fois pyohémie, qui ont été tantôt spontanées, tantôt traumatiques, tantôt puerpérales. L'examen des sym- ptômes, que nous avons donné ailleurs avec beaucoup de détails, montre également que, dans une pre- j'ai vu ses mière période, les phénomènes sont locaux, douleurs, tuméfaction sur le trajet de la veine, fièvre plutôt ur et 5 à nt donc les .hémiques; inflammatoire, tandis que la seconde période offre un caractère typho‘ide prononcé; et comme la première période peut durer huit, dix, jusqu'à quinze jours, il est à espérer que l'on parviendra à trouver des moyens thérapeutiques plus sûrs que ceux que l'on connaît jusqu'à présent contre cette des cas, le rée, tantôt cruelle maladie; déjà les sangsues et la cautérisation au moyen du fer chauffé à blanc ont en quelque succès, et M. Sédillot a même ajouté aux cas isolés de Vidal et de Bonnet (l) une série d'observations de endue, en- ne. Le tube IS l'intestin tpagné d'un guérison incontestable, dans la période infectieuse, par l'emploi des purgatifs combiné avec les moyens que nous venons d'indiquer, et auxquels on fait succéder l'usage des toniques. Outre l'état typhoïde général de la seconde période, ou peut souvent diagnostiquer pendant la vie les diverses inflammations secondaires et les abcès métastatiques des diverses parties du corps, d'après les signes propres à ces aigu, erreurs communes à cause des symptômes typhoïdes prononcés, des frissons longs et répétés, et tre fois il y des douleurs rhumatoïdes dans les articulations et dans la continuité des membres. her. J'ai vu La phlébite et l'infection purulente constituent une maladie aiguë, mais qui peut se prolonger plus ou 9 méningite moins, et varier, en moyenne, entre une et trois semaines. Nous avons noté la durée dans 33 cas terminés par la mort: 5 fois celle-ci était survenue au neuvième jour, 12 fois du douzième au quinzième, 17 fois du quinzième au vingt-Cinquième, et 7 fois passé le vingt-sixième jour, après une durée de une simple 1flammation tissu cellu- as. Chez des fl‘ection une aire, autour nndé. Dans des caillots rue la mort ;as, dans les quatre à sept semaines. Dans un cas que j'ai vu guérir, la durée a été de plusieurs moi5; dans les cas mais il cite de guérison cités par M. Sédillot, elle a varié entre cinq et six semaines et plu51eurs mors; semaine. aussi des cas dans lesquels la convalescence est survenue dans 13 5 econde ou dans la troisième Si ……5 jetons un coup d'œil sur plusieurs localisations de la phlébite, nous n'aurons que quelques remarques à ajouter à la description que nous venons de faire, Ciu- nous reviendrons encore sur ces affections ailleurs. . …. c'lé risées, lorsque la ' ux cata ' _ le mie ' hée, est une de celles qui sont ' e de la satg ' le, sall bt'aChla . La Phléblte de nos cas, il mort survient àla fin de la première ou dans le courant de la se coude semaine; dans deux s les en 1 835, un cas de guérison dan n'y avait ni abcès métastatiques ni caillots délimitants. J'ai observé, rvations de M. Sédillot. salles de Lisfranc. Il en a été de même dans les vingtième et vingt""e…"è…e obse _ [1 très grand faisceaux d€ tout observée comme La phlébite des sinus de la dure-mère m'a d'autant plus intéressé, que je "… sur" uoueun ‘l"e \1) R- Phlilp8nux, 77‘fult' [!7‘lllU/Nl‘ zic/u r:n,ut(wsatmn. l'm‘lF, 1856' ANAT. PATtIOL. - 16" mm. …" ,. wide sous- ‘\ il faut se mettre en garde. Nous signalons comme les plus fréquentes celles qui portent à confondre la pyohémie avec la fièvre typhoïde, avec la fièvre intermittente pernicieuse, avec le rhumatisme articulaire " aient point ais essaie-A.Aa",. r:.v 7.",-‘."‘t‘ afiections. Nous avons cependant vu commettre de nombreuses erreurs de diagnostic contre lesquelles trois, l'un |