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Show 13-Up: ; . "ff." æy‘f'u_..l' ','-. qb(l\-,- 1 . r autre q…; vie finissent une fois compliquée d'un chancre phagédénique. Le mal peut se propager aux corps caverneux et atteindre, à avoir des par l'intermédiaire des lymphatiques, les ganglions de l'ame, qui, à leur tour, s'ulcérent et deviennent de véritables foyers putrides. Cependant, s'il ne s'agit que d'un cancroïde, le mal ne dépasse pas ordinai- auses ocea. une prédis- rement la région inguinale, et l'on constate le plus souvent, dans les autopsies, l'absence de toute infection générale de l'économie. Nous avons vu sa durée varier entre 13 mois et 10 ans. Il peut se développer plus tôt. que les autres tue superfi_ cancroïdes, et, 3 fois sur 9, nous l'avons observé avant 40 ans. Il n'est susceptible de guérison que lors- rit d'emblée qu'il est opéré très largement et de bonne heure. Malheureusement l'existence du phimosis le cache pendant bien longtemps, et comme, à part quelques démangeaisons, les malades ne souffrent pas beaucoup pendant les premiers temps, ils ne viennent souvent réclamer les secours de l'art que lorsque la maladie s du derme, ‘ et les gan- est déjà passablement avancée. rties de l'or- Le cancer des ramoncurs ne paraît être, dans la majorité des cas, qu'un cancroïde épidermique, quel- r Virchovv et quefois peut-être un véritable cancer. Il commence par une verrue qui, plus tard, s'ulcère et produit )i constante. de vastes pertes de substance. De l'aveu des auteurs anglais, il est guérissable lorsqu'il est opéré de ale, d'abord .ouchements bonne heure et largement. L'action irritante de la suie, comme élément étiologique, nous parait fort douteuse. Abandonné à lui-même ou incomplètement traité, il amène le dépérissement et la mort. .lus fâcheuse Le cancroïde de la vulve est, le plus souvent, végétant et hvpertrophique, plus rarement rongeant; utour de la plus souvent ar sa grande .à la déglu- débutant par les grandes ou les petites lèvres, il s'étend a toute la région vulve-anale. On y constate, comme principal élément, l'hypertrophie verruqueuse de l'épiderme, du derme et des papilles; plus tard sa surface devient très v‘ast;ulaire, s'érode et s'ulcèrc. Lorsqu'il a atteint le pourtour de l'anus, il peutprovoquer, par suite de la propagation de l'inflammation, une colite, une péritonite ou un phlegmon du petit bassin. On a bien souvent, a tort, confondu cette maladie avec les affections syphilitiques. Sa marche est lente, de 3, de G, de 10 et même de 20 ans de durée. Il est plus fréquent dans la première moitié de la vie que dans la seconde. Son pronostic est fort grave, et sa terminaison fâcheuse, si l'on n'enlève pas de bonne heure toutes les portions malades avec leur base. Un traitement interne anti- varié entre scrofuleux est de rigueur, s'il existe quelque complication strumeuse; il en est de même pour la corn- est de même plication syphilitique. ou plusieurs Le cancroïde des membres a une prédilection pour le des de la main et le talon. Nous l'avons vu une .s les autres fois atteindre jusqu'à la substance du calcanéum. Dans un cas de cancro'ide du tronc, nous avons trouvé tout un nid de glandes sudoripares hypertrophiées. L'analyse des cas de cancroïde du tronc et des a, son aspect membres nous a démontré la prédilection de cette affection pour la vieillesse; l'âge moyen a été de êments fusi- 60 ans et 7/8. Nos cas de cancroïde du dos de la main se rencontraieut chez des personnes qui avaient l'on observe au delà de 70 ans, et leur début remontait à -'t ou 5 ans auparavant. d'une saillie Le cancroïde des membranes muqueuses est moins connu encore aujourd'hui que celui de la peau: 1bord exc0- cependant il est de la dernière importance qu'il soit bien apprécié par les chirurgiens; car, journellement de douleurs confondu avec le cancer, on ose à peine lui opposer un traitement actif, et on laisse périr des malades auxquels une opération pourrait souvent sauver la vie. Le plus important de ces cancroïdes est celui du col de la matrice. Depuis que nous avons étudiéavec un soin particulier les papilles qui environment l'ouverture du col, nous n'avons pas rencontré moins de onze cas de cette affection, dans lesquels nous avons pu observer toutes les phases de l'affection, depuis érison comde 3 ans, et a moitié des ne de durée: un simple engorgement avec allongement des papilles, une végétation granuleu:e plus etendue, une masse composée de papilles faisant déjà tumeur au-dessus du niveau du col, jusqu'à ces ‘.égétations en '0""…' êtes, par des de choux-fleurs, qui finissent par envahir le col tout entier et la partie Supérieure "" vagin. Plus "'n' meme les, selon les ces végétations se prolongent dans la cavité du col jusque dans le corps, provoquent des hémorrhagle fréquentes, un écoulement sanieux, et simulent en tout point le cancer. Lorsque la maladie est arrivee a .pd du gland. de ce degré, l'opération est presque toujours suivie de récidive: mais connue il n'est pas trés diflicile nent l'05Pec' AX\T. rv'ruoL.--f.' r.rvr.. "' l -\ végétant et. framboisé. Il se compose principalement de papilles hvpertrophiées et (l'épiderme, et il est surtout fréquent chez des individus atteints d'un phimosis congénital. L'orifice de l'urètre est habituellement caché par ces végétations, et quelquefois à tel point, qu'il en résulte des fistules urinaires. L'ulcération qui survient dans la seconde période est, le plus souvent, serpigineuse. Nous l'avons vue ! ! .» ; lèvres et la tn .… ir admettre :e fréquente _ !‘ Î'. luis 'l‘l'NII-ZI‘RS Étunr:muortas. lit)tt‘Ht-il.l.tl.lis E'l' r.wu.t..tuuas |